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Obsession vaccinale : réfutation de l’argument financier

Tout dans le couillonavirus est bidon : les risques, les cas, les morts. Ce virus n’est absolument pas une menace ontologique pour l’humanité.

On pouvait souiller son froc -de manière assez rationnelle- fin janvier 2020… Peu de données. Aucune visibilité.

Mais en avril 2021 ?

C’est terminé.

Nous avons accumulé un tsunami de données.

Depuis le tout début de la covidémence, une chose demeure constante, fanatique et même violente : l’obsession vaccinale.

Cette obsession, partagée par tous les gouvernements et institutions dans le monde, ne colle pas avec la réalité du danger posé par le virus.

Dans ces conditions, comment l’expliquer ?

Je vous propose de prendre l’ascenceur. Pour l’échafaud.

NIVEAU 2 : LA STUPIDITE

Ils sont stupides. Argument éculé en tout cas pour les personnes haut placées dans la hiérarchie covidémentielle.

Ils ont les mêmes données que nous et sont capables de faire les mêmes inférences.

Merkel, Johnson, Macron, Biden, Xi Jinping, Poutine, Netanyahou sont certainement des crapules voire des psychopathes pour certains… mais ils ne sont pas stupides.

De plus, la version humaine et donc excusable de la stupidité, c’est-à-dire “faire une erreur“, ne peut plus s’appliquer… 15 mois après le début de la terrible pandémie.

Ces dirigeants ont pu certainement pu faire une erreur de jugement concernant les vaccins en février et mars 2020… mais aujourd’hui ?

NIVEAU 1 : LA CUPIDITE

Réflexe quasi pavlovien, on répond : pour l’argent.

Concernant les sociétés pharmaceutiques et les prolétaires et employés de la covidémence, c’est une évidence. Ils picorent les graines.

Mais au-dessus ? Cela n’a aucun sens.

Vous voulez parler pognon ? Il suffit de passer un coup de fil à la Fed, la BOJ ou la BCE pour qu’elles rachètent du papier (public et privé). Dans des quantités astronomiques.

La BCE achète ainsi des dizaines de milliards d’euros PAR MOIS avec son programme PEPP (et avant OMT, plus tous les autres acronymes créés par Draghi et Trichet), y compris des obligations (dettes) d’entreprises… privées (lire ici) !

Les glandus ne le savent pas. Ce pognon de dingue, le vrai, inonde le monde depuis 12 ANS !

Au pire, ils sont incapables de comprendre ce mécanisme pourtant très simple. Au mieux, ils disent : “c’est virtuel, ce sont des trucs entre banques cela n’a aucun effet “.

Vraiment ?

La BCE d’un clic de souris, génère XX milliards d’euros qui servent à acheter XX milliards d’obligations émises par des entreprises comme Shell, Total, EDF, BMW, Fiat Chrysler, PSA, Renault ou encore Volkswagen (oui, oui, même les bagnoles !!!!) !

Et ce serait virtuel ?

Ces entreprises ne recoivent pas du vent contre leur papier… mais du cash. Du pèze. De la fraîche. De la thune.

Et que font-elles avec ? Des tas de choses très réelles, très concrètes.

Elles payent leurs employés, achètent des services, investissents dans des usines, rachètent d’autres sociétés, versent des bonus à leurs dirigeants et… même versent des dividendes…

Comptablement, il s’agit d’une dette… Balance actif/passif. Blablabla. Mais c’est quoi une dette qui n’est jamais réclamée par le créancier ? Ou si vous préférez qui est en permanence refinancée (le débiteur rembourse sa dette, en s’endettant de nouveau… grande spécialité des états) ?

Bref, ces sommes stupéfiantes créées d’un clic de souris (on parle en MILLIERS DE MILLIARDS d’euros, avec les principales banques centrales) sont… bien réelles.

C’est grâce à ces injections énormes et constantes que le système financier et économique mondial tient depuis 12 ans.

Donc même avec l’arnaque des doses multiples, les vaccins ne constituent pas un véritable enjeu financier. Les montants sur la table sont pathétiques.

C’est tout juste un peu de grain pour les volailles qui picorent dans la basse-cour.

Rien qui puisse justifier l’unanimité de tous les gouvernements du monde, autour de la nécessité absolue de vacciner la planète entière contre un virus qui tue quelques vieux déjà malades…

Nécessité absolue qui devrait également s’appliquer selon les autorités… autre étrangeté… aux enfants (lire dans mes archives), alors qu’ils ne sont pas du tout concernés par le Covid.

NIVEAU -1 : DESTRUCTION CONTROLEE

Ici l’argument pognon est en quelque sorte inversé.

Le couillonavirus est instrumentalisé pour détruire l’économie mondiale, la déflater rapidement. Pourquoi ? Plusieurs thèses peuvent tenir la route : pic ressources/énergie, “changement climatique”, etc.

Mais dans ce cas… les vaccins iraient de facto contre cet objectif ! A quoi pourrait bien servir une terrible pandémie… si on pouvait la stopper net et très rapidement avec des vaccins ? !

Si on pouvait grâce aux vaccins revenir… au monde d’avant, celui que l’on veut précisément détruire ? Absurde.

NIVEAU -2 : LA CHINE OU LA GEOPOLITIQUE

C’est là où j’ai posé mes valoches depuis le début. Inutile de répéter mes arguments (listés ici).

Mais je me retrouve un peu coincé… Comme au niveau -1, la Chine devrait en bonne logique tout faire pour s’opposer aux vaccins, sachant que ces derniers vont contre son intérêt qui est de faire durer la pandémie, afin d’affaiblir l’Occident !

Or, c’est tout le contraire. La Chine joue le jeu de l’obsession vaccinale (mais à mon avis, en trichant comme à son habitude : elle vaccine peu chez elle, et peu dans son arrière-cour en Asie).

Cette énième triche devrait à mon sens éveiller nos soupçons. Mais je reconnais que ma sinophobie m’aveugle peut-être. 😉

NIVEAU -3 : L’INDICIBLE COMBINATOIRE

L’obsession vaccinale cache logiquement autre chose.

Une chose très forte, voire extraordinaire.

A la mesure de sa puissance, de sa globalité et de sa simultanéité (tous les gouvernements du monde à l’unisson).

Et une chose qui aurait l’avantage de pouvoir COMBINER la plupart des thèses précédentes…

Les pseudos vaccins comme outils de blessures, voire de destruction.

Afin d’affaiblir et/ou réduire la population mondiale ou des sous-ensembles de la population mondiale.

C’est difficile à admettre, certes.

Mais il y a une logique derrière et qui hélas se renforce jour après jour.

LA COINCIDENCE FATALE

Est-ce une coïncidence ? Une de plus ? L’obsession vaccinale mondiale ne repose pas sur des vaccins traditionnels (exemple ceux développés en Chine).

Mais elle repose principalement sur une toute nouvelle technologie, jamais éprouvée à une grande échelle et sur le long terme : l’ARN messager.

Deux sociétés sont à la manoeuvre : Pfizer (grande société américaine associée à des Allemandss) et Moderna (jeune société américaine, mais beaucoup moins présente, le Poulidor des produits géniques).

Pfizer est en train de clairement remporter la partie

La société américaine est comme miraculeusement “poussée” par les événements successifs (retrait de nombreux acteurs pharmaceutiques de la course, sacrifice de l’anglo-suédois AstraZeneca).

J’ai utilisé l’expression “Winner takes it all “.

Pour résumer : l’obsession vaccinale n’aurait aucune conséquence sérieuse si on utilisait des vaccins classiques (conçus avec des virus atténués).

Comme pour les vaccins contre la grippe… au mieux ça ne ferait pas grand chose, au pire il y aurait quelques décès liés.

Mais dans la covidémence, le fanatisme vaccinal pousse de facto un produit très particulier, totalement nouveau, qui joue avec le système d’exploitation, le logiciel du vivant (pour reprendre les expressions que Moderna utilise dans ses présentations), et pour lequel nous n’avons recul, aucune données sur le long terme (et pour cause).

Une coïncidence ?

Une de plus ?

Fatale ?

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Pays Vaccinocircus

Pas de caillots sanguins au UK ? Encore un bidonnage

Les pompom girls qui veulent sauver le soldat AstraZeneca utilisent un argument qu’elles pensent massue :

“La Grande-Bretagne a injecté des millions de doses et n’a pas eu de problèmes, nananananère. Prout.”.

Sauf que l’on sait maintenant que c’est du pipeau.

Un de plus.

Il y a eu, dès janvier, des problèmes de thrombose outre-Manche… Mais les données n’ont pas été correctement rapportées, et le régulateur britannique -c’est trop bête- n’a pas reçu ou vu les signaux…

Reformulons : n’a pas voulu voir les signaux…

Encore une regrettable erreur, la faute à pas de chance, un petit soucis “technique”, un “algorithme” foireux (toutes les excuses sont utilisées)… mais qui va comme toujours dans un sens unique : protéger la covidémence, protéger les vaccins.

By the time cases of blood clotting in patients who had received the AstraZeneca vaccine had begun to emerge on the Continent (in March), Britain had already administered 11 million doses (the first ones having been given in January). No such adverse events had been reported publicly in Britain, but not for a lack of cases, according to the findings of a new investigation. Clotting cases were recorded in the UK’s Yellow Card database (a website for reporting adverse drug reactions) in January but were missed at first by the Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) – possibly due to the algorithms it uses to interrogate UK data. The Telegraph has the story. (lire le reste de l’article sur Lockdown Sceptics.)

Bref, que ce soit au UK, en Europe ou partout ailleurs, cette merde -inutile comme tous les autres vaccins pour l’écrasante majorité de la population- provoque les mêmes soucis.

RIP AstraZeneca.

Même si on doit se réjouir de voir cette saleté mordre la poussière… il ne faut pas être dupes.

Il ne s’agit bien entendu que de sordides réglements de comptes géopolitiques (c’est l’Europe qui demeure la plus critique face au produit de l’anglo-suédois, pour une raison évidente : la haine anti-Brexit).

Voire même d’une psyop dans la psyop covidémentielle.

Pfizer avec son produit génique est le grand gagnant.

The winner takes it all.

Moderna fait office de figurant, de Poulidor, de second rôle pour éviter que l’on puisse prononcer le mot “monopole“…

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Résistance

Le brouillard de la guerre nous submerge

A gauche, les muscles et la Saco M60 de Rambo, à droite, le cerveau de Clausewitz et au milieu le Brouillard de la guerre. C’est ça “la guerre absolue”.

Nous avons accumulé un tsunami de données relatives au couillonavirus depuis janvier 2020.

Et si l’on peut tirer une conclusion… c’est que justement il n’y a pas de conclusion. 😉

Une célèbre expression de Clausewitz illustre ce phénomène : le Brouillard de la guerre.

(Disgression : je signale d’ailleurs un remarquable documentaire US, au titre éponyme, The Fog of War… (dispo en torrent), conçu autour de Robert McNamara qui fut le secrétaire d’état à la Défense (sous Kennedy et Johnson) et surtout le grand manitou de la guerre du Vietnam.

C’est mon dada : ne pas comprendre comment McNamara a géré la guerre du Vietnam, c’est au fond ne pas comprendre comment des covidéments aujourd’hui gèrent la terrible pandémie. L’étude de l’histoire est primordiale pour éclairer le présent).

J’ai le sentiment que le chaos informationnel auquel nous sommes confrontés est ainsi… plutôt organisé.

Et qu’il prend le pas peu à peu…

Le Brouillard de la guerre sert objectivement la covidémence.

En regardant l’interview récente de Raoult par Bruce Toussaint (pseudo journaliste sur BFM, puant de rondeur niaise et vicelarde)… cela m’a frappé.

A un moment, comme à son habitude, Raoult défend l’HCQ et évoque les études démontrant son efficacité. Toussaint le coupe avec un petit air narquois de glandu absolu en disant : “des tas d’autres études démontrent le contraire“.

Voilà le Brouillard de la guerre, concrètement, à l’oeuvre.

Et ça marche !

On se souvient du Lancetgate… une des plus prestigieuses revues médicales qui publie un torchon écrit (dicté à) par 3 pieds “niqués”, aux conclusions ahurissantes (l’HCQ aurait tué des milliers de personnes dans le monde, et nous n’étions pas au courant)… torchon qui a bénéficié d’un passe-droit donné par de puissants intérêts covidémentiels imposant sa publication -contre toute logique-… et qui fut rétracté 15 jours après…

Comme une grosse merde.

Mais voilà, l’objectif avait été atteint : chaos informationnel… le brouillard de la guerre.

Cette étude a permis aux gouvernements de justifier leurs saloperies, et sert, encore aujourd’hui, à plomber tout débat autour de cette molécule.

Le bordello insensé du Lancetgate… a brouillé par ricochet et contamination aérosol si j’ose dire… cette molécule si ancienne.

Pour paraphraser Raoult : oui dans 15 ans il aura raison… Il a d’ailleurs déjà raison. Mais il sera trop tard… personne n’y prêtera attention.

Les mois passent, nos arguments s’affûtent, nous avons de plus en plus de données, de preuves, et ce dans tous les domaines (scientifique, politique, financier, médiatique comme outils de propagande etc.)… et nous reculons.

Car en face, la covidémence produit tout et son contraire. En même temps.

Le débat public devient chaotique, polyphonique. A force de crier, les gens n’entendent plus rien.

La covidémence y parvient -c’est un coup de génie- en s’appuyant sur la propre incompétence de ses agents (exemple, le gouvernement français qui le lundi explique qu’il est juridiquement impossible d’interdire les vols entre Brésil et France, et qui le jeudi finalement le fait. Mais à moitié, ou encore les multiples volte-faces au sujet du vaccin AstraZeneca etc.).

La sidération gagne du terrain.

L’esprit de résistance (et même son premier niveau, vraiment basique, “indignez-vous”) recule.

Le Brouillard de la guerre nous enveloppe peu à peu, nous submerge.

Jusqu’à nous engloutir ?