Novembre 2021. Pfizer dépose plainte contre une de ses employées à San Diego.
L’entreprise affirme que cette personne aurait copié 12 000 fichiers dont des documents confidentiels, “secrets commerciaux” et “analyses et études de vaccins“.
Son nom ? Chun Xiao Li.
Pfizer affirme que cette employée était sur le départ, avec une offre d’emploi de Xencor (société de biotechnologie, basée en Californie).
Pfizer soutient qu’elle a agi de manière frauduleuse, puisqu’une fois démasquée, elle aurait remis à Pfizer un ordinateur “leurre” (decoy) (pour ainsi maquiller ses actions).
Difficile dès lors de croire à une erreur de manipulation façon “oups, ma souris a glissé, j’ai cliqué sur le mulot, c’est pas de ma faute, prout“.
Qui est Chun Xiao Li ?
Elle débute sa carrière en 2006… au sein de Pfizer Chine… Et rejoint le site de San Diego, aux Etats-Unis, en 2016.
Mieux encore… sa position semble éminemment stratégique puisque elle est “directrice associée des statistiques cliniques” !
La mettant de facto au coeur… du produit ARNm couillonavirant.
Bingo.
Bref, avant d’accuser Xencor -indirectement- de chercher à piquer les secrets de Pfizer… le bon sens commanderait d’étudier d’abord la piste de l’espionnage d’état !
Car avec un tel parcours et un tel contexte… les lumières du PCC clignotent furieusement, telles des lanternes… euh… chinoises !
La Chine est une spécialiste de ces infiltrations “homo” (en plus des attaques informatiques), via les mondes universitaire, de la recherche et bien entendu des entreprises.
Sa très nombreuse diaspora (50 millions de personnes dans 120 pays, à l’échelle de l’Empire du Milieu) facilite évidemment ce type d’opérations…
Cela dure depuis des années et cela touche de nombreuses nations, universités, labos et entreprises.
La Chine pille tout, espionne tout, collecte toutes sortes de données (elle ne cherche pas uniquement des valeurs marchandes, mais aussi des informations pour pressurer ou acheter telle ou telle cible, voire les compromettre).
La pratique est tellement énorme et systématique (“échelle industrielle“) qu’on cite souvent l’exemple du FBI donnant des “cours de formation” aux entreprises (en relations avec la Chine), pour les “sensibiliser” (on a les mêmes “stages” en France).
Revenons à Pfizer.
Une chercheuse chinoise, travaillant depuis 15 ans dans la société, d’abord en Chine puis aux Etats-Unis… avec un poste de direction… vole de nombreux fichiers confidentiels, à un moment ultra critique (novembre 2021… la terrible pandémie, les injections des “vaccins” ont débuté depuis 10 mois, Pfizer possède déjà des données en interne à ce sujet, forcément)…
Et personne ne percute ?
Ou alors au contraire… tout le monde percute FORT BIEN ?
Car figurez-vous -énième mystère mystérieux- que les deux parties se sont entendues pour classer l’affaire… dès le début du mois de décembre 2021 !
Exactement, neuf jours après le dépôt de la plainte. Rapide hein ?
Le classement de l’affaire fut entériné par un juge fédéral californien en février 2022, trois mois plus tard.
Alors on s’interroge. Pfizer s’est-il trompé ? Le géant pharmaceutique a t-il abusé de son propre viagra au point de souffrir d’hallucinations ?
La salariée indélicate téléchargeait en réalité des photos de cul ou des séries télévisées ? Elle jouait à Fortnite pendant ses heures de travail ? Ou faisait des vidéos de danse sur Tik Tok ? 😉
Ou bien plutôt fidèle à la tradition des affaires d’espionnage… on a préféré enterrer les choses et ne surtout pas faire -publiquement- trop de bruit ?
A fortiori si… la téléchargeuse compulsive a dérobé des documents compromettants ?
Par exemple – au hasard ! – des données cliniques embarrassantes liées à un certain nouveau produit développé et fabriqué à la va-vite et injecté de manière inutile à des milliards d’individus dans le monde dans le cadre d’une fausse pandémie… Hum ?
Mais halte aux conjectures ! 😉
Nous pouvons avoir en revanche une certitude : peu importe que Chun Xiao Li soit une Mata Hari à la petite semaine ou pas… Pékin CONNAIT les secrets industriels et les données internes relatives aux pseudo vaccins “ARNm”, chez Pfizer et chez tous les autres.
Et ne parlons pas des liens officiels cette fois, car capitalistiques, d’entreprise à entreprise (le chinois Fosun prenant une participation dans Biontech début 2020, rien que ça, lire ici).
C’est pourquoi le refus obstiné de la Chine d’utiliser les produits ARNm de Pfizer et de Moderna -alors que nous étions en “guerre” contre le terrible virus dixit l’Empeur Rouge- … devient parfaitement clair.
Et surtout très parlant.
Il n’y a jamais eu de “guerre” contre un quelconque virus.
Mais en réalité une guerre géopolitique féroce.
POST-SCRIPTUM
Allez, puisque c’est bientôt Pâques, je vous offre un oeuf.
En février 2022… Pfizer a porté plainte (encore !) contre 2 de ses cadres (qui avaient démissionné en… 2018).
Leur crime ? Vol de données liées à des traitements contre l’obésité et le diabète… Ils créèrent leur propre startup aux Etats-Unis ainsi qu’une autre société à… Shanghaï !
Peu importe.
Par contre les patronymes sont très parlants.
Min Zhang et Xiayang Qiu !
Oh ! Nooooooon !
Je sais, vous pensez à une de mes blagues sinophobes. 😉
Hélas, non.
Les détails ici :
Lien : https://www.govinfosecurity.com/pfizer-2-ex-executives-stole-drug-ip-to-help-their-startups-a-18447
Et le texte de la plainte ici.
Selon des informations non confirmées venant d’une source à la Maison Blanche, ces 2 voleurs ne seraient SURTOUT PAS originaires de Chine, mais bien de… la planète Jupiton. 😉
Eh oui, il suffisait d’y penser.
L’honneur et la sécurité nationale des Etats-Unis sont saufs.
Pardon… vaccinés.
Pardon… protégés.