Il y a les cons comme des enclumes. Il faut en plus se coltiner les cons comme des bûches, version circuit court et éco-racialisé-conscientisant.
Dominique Martin, c’était le directeur de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament), le mec en pointe dans la lutte contre l’hydroxychloroquine et toute autre idée de traitement du couillonavirus.
Dans un courrier du 21 octobre, il a écrit une tartine pour justifier son refus de donner une recommandation temporaire d’utilisation pour l’HCQ (demandée par le professeur Raoult).
La-dite tartine n’a aucun intérêt à part une ligne qui résonne… étrangement.
Guérison spontanée dans la grande majorité de cas ? !
Ben alors Martin ! Tu parles bien de la terrible pandémie ? Celle qui nous tue tous ?
Contre laquelle nous devons nous confiner, signer des auto attestations, et détruire nos commerces, nos économies, tout ?
Et contre laquelle notre seul espoir est le vaccin ? 😉 Et le vaccin pour tous, enfants, plantes et animaux de compagnie compris ?
Eh oui Martin a voulu faire son malin. Il a cherché à dégommer l’HCQ en rappelant ce fait -bien réel : le couillonavirus… dans la grande majorité des cas c’est soit rien, soit un rhume, soit une grippe (gradation de la sévérité)… Et que donc l’HCQ au fond n’est pas nécessaire, et qu’il n’est pas utile de prendre des risques (puisque l’HCQ tue des millions de personnes dans le monde chaque année, depuis des décennies) pour si peu. 😉
Sauf que l’argument ici est un excellent boomerang.
Que les covidéments se prennent en pleine gueule.
A quoi servent des vaccins contre une maladie… qui guérit spontanément dans la grande majorité des cas ?
Fonctionnaire britannique en pleine séance de brain storming pour créer des chiffres covidocompatibles.
C’est un sport national outre-Manche. Les autorités bidonnent… puis “révisent ” les chiffres quelques semaines ou mois après, voire corrigent des “erreurs” (lire ici et là).
Cette méthode est employée avec une constance et un sens du foutage de gueule digne des plus grands crevards anglais : flegme et doigt dans le derrière (pardon my french).
Pour justifier le confinement version 2, Londres a bidonné les chiffres des infections (taux d’incidence) en octobre.
Et on ne parle pas d’une petite marge… non… un bidonnage de moitié ! Pépère.
On October 30, the ONS estimated that 9.52 people per 10,000 in England were catching the virus every day by October 17. In its most recent report on December 4, the body halved its estimate to 4.89 (source DailyMail)
Rappel : ces tripatouillages ont lieu virtuellement partout en Occident.
Covicas, covidécès… tous les chiffres sont tordus, biaisés, etc.
Et ce en permanence afin de justifier toute la covidémence et toutes les mesures prises par les gouvernements.
On a encore eu un exemple en France, avec le nouveau nombre magique balancé par l’adolescent perturbé de l’Elysée.
5 000.
Tu sens comme c’est magique ?
J’ai demandé à un mage malien à la porte de Montreuil. Il était formel : 5 000 c’est très, très magique.
Mamadou le marabout malien est formel : tout est magique. Surtout 5000.
Donc si on passe à moins de 5 000 “infections” par jour (ah ah ah ah, autant de tests PCR foireux), alors nous serons libérés.
Mais si on est toujours au-dessus de 5 000, le nombre magique, alors désolé, confinement, et tout le tralala.
Bidonnage outrancier, propagande utilisant la religion du chiffre, fausses déclarations… Le gouvernement français poursuit avec une obstination démentielle la destruction du pays, la pysop mondiale, la manipulation couillonavirale.
Nous sommes déjà fin 2020…
Et plus ça dure, plus le crime se révèle, odieux, évident.
Personne ne peut contester cet Acid Test.
Avec le temps, la covidémence du début, mélange de bêtise et d’erreurs humaines… se mute en terrorisme.
Les autorités sanitaires britanniques ont déconseillé mercredi 9 décembre d’inoculer le vaccin de Pfizer et BioNTech contre le nouveau coronavirus aux personnes ayant eu dans le passé d’«importantes réactions allergiques», deux personnes ayant mal réagi aux premières injections.
Le Royaume-Uni a été le premier pays à autoriser ce vaccin et a commencé mardi une campagne massive de vaccination, dirigée pour l’instant vers les soignants et les personnes âgées. «Deux personnes ayant connu des réactions allergiques importantes ont mal réagi», a indiqué Stephen Powis, directeur médical du service national de santé (NHS) pour l’Angleterre. (source Le Figaro)
Les essais cliniques de la thérapie génique de Pfizer n’avaient -curieusement- pas révélé cet effet secondaire fâcheux. En tout cas pas publiquement.
Et comme par hasard, c’est seulement hier que Pfizer a lâché quelques données à ce sujet.
‘The occurrence of any allergic reaction was one of the factors monitored in the phase 3 clinical trial of this Pfizer/BioNTech COVID-19 vaccine, the detailed data from which was released yesterday. In this, they reported a very small number of allergic reactions in both the vaccine and placebo groups (0.63% and 0.51%). (DailyMail)
Oh c’est vraiment trop dommage. Quelle tristesse. Tous ces allergiques qui ne pourront pas recevoir la précieuse thérapie génique de Pfizer révolutionnaire de la galaxie.
Plus sérieusement cela confirme tout ce qui a été dit : les gens qui se font injecter ces produits sont… des cobayes, ni plus ni moins.
Ca peut très bien se passer… Ou pas.
Et il faudra attendre 2 ou 3 ans avant d’avoir des données solides et surtout complètes.
D’ici là, si vous êtes en bonne santé, et si vous avez moins de 65 ans, refusez absolument tous ces “vaccins” contre une maladie bénigne.
Ces produits sont parfaitement inutiles.
Et c’est à ce jour la principale critique rationnelle et factuelle que l’on peut, que l’on doit faire (quant aux risques, il faudra attendre).
POST SCRIPTUM
Et comme un gag n’arrive jamais seul, signalons que 4 testeurs de la thérapie génique de Pfizer aux Etats-Unis ont développé… une paralysie faciale (source RT).
La FDA réclame de la vigilance mais note que de tels nombres sont attendus dans la population générale, statistiquement parlant. Donc, pas de soucis.
😉
Il est vrai aussi, statistiquement parlant, qu’en sortant dans la rue tu peux te faire renverser par un bus.
Ou te faire égorger par un islamiste ne partageant pas tes codes culturels.
C’est vrai.
Vivre c’est mourir. Et vice et versa. 😉
POST COITUM
Encore un dangereux complotiste qui prend la parole.
Eric Caumes, chef du service infectiologie de la Pitié-Salpêtrière (gros hôpital à Paris 13ème), hier dans le Parisien.
“En lisant les 53 pages, quelque chose m’a frappé. Je n’ai jamais vu une fréquence aussi élevée d’effets indésirables pour un vaccin ! En dehors des réactions minimes dues à l’injection comme des rougeurs et douleurs locales, d’autres effets indésirables sont recensés à des taux relativement élevés surtout chez les jeunes et après la deuxième dose. Prenons l’exemple de la fièvre, elle peut survenir de manière passagère après une injection, c’est classique. Mais là, 15,8 % des 18-55 ans ont eu 38 °C ou plus dans les sept jours qui ont suivi la seconde injection. Et 45 % ont dû prendre un médicament contre la fièvre ou la douleur. On parle aussi de 55 % de maux de tête, 62 % de fatigue. Non mais là, c’est beaucoup trop, il y a peut-être un problème…“