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Tests PCR

Point d’inflexion ? Des labos se plaignent… de la baisse du nombre des tests

“Eh merde, si en plus les labos s’y mettent maintenant…”

C’est le genre de détail qui pourrait se révéler… significatif.

Des labos qui se faisaient un max de pognon (plus de 350 millions d’euros par mois) avec la campagne de terreur des tests PCR, commencent à se plaindre en mode Calimero : ça baisse !

Alors que les courbes épidémiques s’affolent en Alsace, l’agence régionale de santé ainsi qu’un certain nombre de laboratoires tirent la sonnette d’alarme face au nombre de dépistages enregistrés. Par endroit, ils ont baissé de moitié en l’espace de quelques semaines. (source FranceInfo)

Comme il s’agit de FranceInfo, “Radio Paris ment Radio Paris est allemand “, on ne relèvera pas le registre verbal terrorisant : s’affoler, alarme etc.

Le reste de l’articulet vaut son pesant de centaines de millions d’euros… perdus.

Au total dans le Bas-Rhin, le taux de dépistage est passé de 3557 à 3230 pour 100.000 hab depuis le 30 octobre dernier. Comment expliquer ces chiffres alors que le risque de contamination reste élevé ? “Les gens ne savent peut-être pas qu’ils ont le droit de sortir pour se faire dépister. Il faut davantage communiquer sur ce point”,

Alors la faute au confinement 2.0 ?

Ou alors le cheptel commence à en avoir plein la mangeoire de ce covifanatisme, de cette covidémence ?

On sera rapidement fixés…

Mais on n’échappera pas à cette vérité que l’on pourrait quasiment qualifier de philosophique : trop de tests tuent les tests. 😉

Le gouvernement va devoir trouver mieux que l’accumulation de millions de tests PCR… s’il veut continuer à capter l’attention du troupeau.

Un petit attentat terroriste musulman ? Non juif ! Boudhiste encore mieux ! Allez quoi, un peu d’imagination, merde quand même !

Car malgré tous les efforts des propagandistes, rappelons que la mortalité ne suit absolument pas ces millions de tests… tous plus foireux les uns que les autres…

On peut tromper beaucoup de monde pendant longtemps, mais pas tout le monde tout le temps…

4 672 covidécès ont été déclarés à l’hosto pour le mois d’octobre.

Un regard vers l’Insee : voici la mortalité toutes causes confondues pour le mois d’octobre (France) :

2019 = 50 410

2018 = 49 993

2017 = 49 452

Donc les 4 672 d’octobre 2020 ça ne casse pas 2 tests PCR à un canard sauvage octogénaire couillonaviré.

“Monseignor, il est l’or de se réveiller ! Gouzy, gouzy… Il en manque un ! Quoi un test PCR ! Vous êtes véran ? Tout à fait véran !”
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Saloperie et sida mental

Sous-marins lanceurs de conneries : le Suffren rejoint l’Intraitable

“Ce soir la France a peur, euh pardon, le monde a peur de la France”

Vous allez me dire, je fais une fixation. Et puis quel rapport avec la choucroute couillonavirale, hum ?

Il est « deux fois plus silencieux » et il « frappe deux fois plus fort. » La ministre des Armées Florence Parly a célébré vendredi l’arrivée du nouveau sous-marin nucléaire Suffren dans la base navale de Toulon. Ce mastodonte de 99 m de long et de près de 5 000 t concentre une multitude d’innovations qui en font un engin redoutable. (Le Parisien)

Rappelons d’abord que la Marine nationale dispose déjà d’une arme expérimentale (même si plus vraiment secrète) : l’Intraitable.

Si, si. Regardez sa tête de vainqueur. On imagine tout de suite les missiles sortant de sa bouche dans un bouquet d’étincelles (et de postillons avé l’accent).

“Je suis VRP, je vends des aspirateurs, des tests PCR et des bibles.”

Ensuite évoquons le “pognon de dingue” :

Le programme Suffren représente un budget global de 9,1 milliards d’euros, avec un coût de série (hors développement) d’environ un milliard d’euros par sous-marin.

Enfin, rappelons que pendant que la Royale réceptionne son nouveau et coûteux joujou (avant noël !)… le pays est :

-incapable d’avoir suffisamment de lits de réanimation face à la terrible pandémie qui tue des vieillards malades

-incapable d’expulser quelques dizaines de musulmans cinglés, et de fermer quelques mosquées abritant les mêmes musulmans cinglés.

-incapable de contrôler ses frontières et d’arrêter le tsunami de médecins, physiciens, ingénieurs, avocats et doctorants en lettres venant du tiers-monde (dont certains utilisent le couteau comme arme de prédilection une fois leurs deux pieds et leurs deux mains posés sur le territoire nationnaaaaaaaaaaaâl)

… Vous pouvez continuer la liste ad nauseam.

Poutine est terrorisé. Xi Jinping se cache dans son bunker sous la cité interdite. Quant à Biden, il est déjà à la cave (comprendre : depuis longtemps et très profondément enfoui).

Voilà pourquoi on ne peut s’empêcher d’éclater de rire (nerveux) en lisant la nouvelle au sujet du Suffren…

Parfaite épitaphe sur ce pays, autrefois glorieux, certes encore capable de construire un sous-marin nucléaire de temps en temps… Mais aujourd’hui atteint de sida mental et totalement couillonaviré…

Un pays peuplé de clowns terrorisés qui attendent soit le couillonavirus soit le couteau de l’égorgeur coranique…

Ironie de toute l’affaire : ce ne sera ni l’un ni l’autre.

Mais plutôt la vieillesse, le grand âge bien dégueulasse (se chier dessus dans un ephad, se noyer dans sa propre urine), bien pathologique, bien alzheimérisé, cris étouffés sous une piqûre de morphine…

Un naufrage.

Et le Suffren n’y coupera pas non plus.

Au naufrage.

😉

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Résistance

Contre l’excuse de l’incompétence, du scientisme et du mal pour le mal

Comme prévu… les mois passent… le temps s’étire et la covidémence pose question.

Des esprits brillants s’arrachent les cheveux : pourquoi, comment ?

Tout le monde comprend les prémices :

-en février, le virus est “nouveau”… Toutes les erreurs, les mauvais calculs sont possibles. Tous les biais imaginables sont de la partie. C’est le bordel.

-9 mois après… ça commence à grincer, voire à coincer.

Certains réfléchissent, conscients que quelque chose cloche

Jean-Dominique Michel, covirésistant de la première heure, publie ainsi sur son blog le texte d’un anthropologue qui étudie la polémique autour de l’hydroxychloroquine : “réflexions épistémologiques pour une sortie du déni “. Un texte de haute tenue. Pour aller vite : il désigne le “scientisme” comme coupable.

Un autre blog que j’apprécie celui de Franck Boizard, publie un article sur… le Mal : “qu’est la crise du COVID si ce n’est une bouffée délirante, perverse, tyrannique, de fous dangereux ?

Un Eichmann ou un Macron ont gravi les échelons de la carrière de pervers. Ils n’ont vraiment rien de banal dans la perversité. Ce sont des manipulateurs expérimentés, pas des petits sadiques de bas étage qui se contentent d’exécuter les ordres.

La covidémence s’expliquerait donc par des personnalités psychopathes.

Un troisième covirésistant, le docteur Maudrux, écrit un billet brillant sous la forme d’une pirouette… au sujet de l’incompétence.

Et dieu sait qu’elle est bien partagée chez les médecins, les politiques, les fonctionnaires, etc. !

D’autres encore ont une analyse strictement économique : les fameux conflits d’intérêts, l’éternel manque de moyens dans l’hôpital public, la suppression des lits de réanimation, etc.

Je pense qu’ils font tous fausse route. Du moins qu’ils s’arrêtent tous à la deuxième station service, au lieu de poursuivre sur l’autoroute de la vérité.

Le biais ici est évidemment l’échelle.

On observe micro. Et on se perd ensuite dans des détails.

Par exemple : on observe Olivier Véran, on voit ses limitations intellectuelles, son caractère, ses conflits d’intérêts, donc on peut expliquer ses actions.

On voit tel ou tel labo qui bosse sur un vaccin, et qui donc a intérêt à flinguer toute idée de traitement, etc.

On voit Macron… qui est un psychopathe patenté. Donc on a trouvé l’explication à son comportement (“je vous confine, vous déconfine, vous reconfine”).

Mais la vue d’ensemble nous échappe.

Tout cela (scientisme, conflits d’intérêts, conflits de personnes, intérêts financiers, psychopathie, perversité etc.) ce sont des moyens.

Ce ne sont que des outils mis en oeuvre.

La covidémence est parfaitement… rationnelle pour ceux qui l’ont conçue. Aucune folie chez eux.

C’est pourquoi je reconnais que le néologisme que j’ai choisi pour mon blog est limitatif : car il décrit de fait un moyen (un état qui est la résultantes de moyens).

Démonstration :

-nouveau virus

-pandémie mondiale

-morts

-peur

-les électeurs américains voteront alors par correspondance

-ce qui permet de truquer les résultats des élections US sur une large échelle, et de remporter une élection stratégique qui était certainement perdue.

Les résultats extraordinaires de Trump mardi 3 novembre (après 4 années de guerre contre lui d’une violence inouïe ! ) permettent de comprendre, rétrospectivement, ce fait : en janvier dernier, le président US était assuré d’être réélu, et avec une large avance.

Conclusion rationnelle : il fallait tricher. CQFD.

Et tricher sur une large échelle, tant Trump représente une menace ontologique (vous l’aurez compris, aussi bien pour les Démocrates, que Pékin, que les GAFA, que les Globalistes etc.).

Et donc le virus est apparu. Miraculeusement.

Et puis il est devenu  une “terrible pandémie“. Miraculeusement.

Les gens ont eu peur. Et puis, il a fallu confiner. Et puis on a dit qu’il n’y avait pas de traitement.  On a donc fait la guerre contre l’HCQ. Et puis on a relâché un peu la pression. Et puis “la deuxième vague” est arrivée. Pas assez de lits. La peur de nouveau, etc.

Chaque élement, chaque outil, chaque moyen (Véran est un simple moyen en France, comme le sont Salomon et Macron) s’articule parfaitement dans une stupéfiante scénographie mondiale.

Conduisant au 3 novembre 2020.

Pour boucler sur l’hydroxychloroquine : le scientisme bas de plafond de nombreux responsables n’est répétons-le qu’un moyen.

Il fallait et il faut toujours lutter contre l’HCQ car si on peut traiter facilement les malades du Covid… alors de facto il n’y a plus de “terrible pandémie” !

Et tout le décor s’écroule.

En clair : on se perd en cherchant à expliquer les moyens, à leur trouver du sens… et on oublie la fin, qui est d’une simplicité enfantine et d’une logique imparable !

Au-delà de l’enjeu considérable du 3 novembre, on peut poursuivre la réflexion. Trump était bien entendu une cible majeure. Mais pas la seule.

Le coronacircus sert les intérêts de la Chine qui pousse ses avantages (lire ma série A qui profite le crime ?).

Les mois passent, la covidémence se poursuit… Et elle se poursuivra même si Biden parvient à s’imposer.

L’un des gros objectifs aura été atteint. Mais la Chine en a d’autres.

Chaque mois supplémentaire détruit un peu plus toutes les explications focalisées sur les moyens… et renforce l’explication globale, que l’on qualifiera à défaut de meilleur terme de “conspiration“.

Quand Raoult ditvous êtes tous fous. Vous êtes devenus tous cinglés“… Il bloque. Il se heurte à un mur. Alors il psychologise l’obstacle.

C’est valable pendant quelques mois… Mais après ? Ca ne fonctionne plus. L’hystérie collective (bien réelle, créée et exploitée en tant que moyen) ne peut pas durer éternellement.

Didier Raoult, J-D Michel, Maudrux etc. (et de nombreux autres) sont très intelligents. Sauront-ils franchir la ligne ? Et quand ?

MISE A JOUR

Il est fascinant de voir que la première annonce concrète de Biden, qui se présente comme “president-elect”, est de créer une “cellule de crise Covid” !

Cette future cellule de crise, composée de scientifiques et d’experts, serait chargée de bâtir un «plan qui entrera en vigueur dès le 20 janvier 2021», jour de son investiture (Le Figaro)