Bientôt le test PCR 2.0 : le pipeau dans le nez. Préparez-vous pour la version 3 : l’intromission rectale !
Ces derniers mois, la France a massifié les tests de dépistage, dépassant l’objectif affiché d’un million de tests par semaine pour atteindre 2.186.600 tests validés la semaine dernière, précise la Drees. La durée médiane entre prélèvement et validation du résultat du test est supérieure à 36 heures pour un département sur dix, note-t-elle. (Le Figaro)
On rappellera que sur la base d’un million de tests par semaine… nous étions sur un coût total pour la Sécu de 350 millions d’euros par mois.
Un pognon de dingue… pas perdu… puisque tombant principalement dans l’escarcelle de quelques grosses sociétés.
-non seulement on continue à tester n’importe qui, n’importe quoi… Certains cinglés réalisant jusqu’à… 15 tests d’affilée (lire ici).
-pour simplement trouver des faux “cas positifs” (l’arnaque totale des tests PCR), comprendre des gens pas malades, pas contagieux, pas morts… rien. 😉 Avec comme unique objectif de communiquer des chiffres en hausse, chaque jour, pour terroriser la population.
-pour un coût extravagant
-mais en plus on appuie sur l’accélérateur… !
Quand la covidémence s’accouple avec le covifanatisme…
Le petit Olivier, on l’a encore constaté durant la séance à l’Assemblée, est incapable de se maîtriser.
Ainsi, après le coup de Trafalgar de l’ANSM refusant à Raoult un RTU (règlement temporaire d’utilisation) pour l’hydroxychloroquine, suivies par les pressions sur Sanofi (le fabricant, pour l’empêcher de livrer l’IHU de Marseille)… Véran ne s’est pas rendu compte qu’il était coincé.
Il s’est coincé lui-même comme un demeuré.
La raison ?
Raoult a écrit officiellement à Sanofi. Lequel a botté en touche et s’est caché derrière… le ministère de la Santé. Sa présidente mouillant de trouille déclarant :
Je m’en remets à la sagesse du Gouvernement et plus spécifiquement à celle de votre Ministère, seul légitime pour trancher cette question délicate.
Donc, Raoult a écrit… à Véran.
En lui demandant cette fois… d’ouvrir l’importation du médicament. 😉
Ce jour c’est l’IHU et le professeur Raoult qui écrit au ministre à ce sujet, lui demandant d’ouvrir le marché de l’hydroxychloroquine à la concurrence internationale mettant en avant le préjudice pour le traitement des patients. (France Soir)
Raoult a dû caresser sa célèbre barbichette en écrivant le courrier…
Extrait :
Ce refus de vente de la part du laboratoire Sanofi est préjudiciable pour nos patients et nous vous demandons l’autorisation d’ouvrir le marché de hydroxychloroquine à la concurrence internationale (Novartis, Sandoz, Mylan… )
Nous attendons votre réponse pour entamer les démarches règlementaires nécessaire à l’importation de cette spécialité.
La tuile.
Car si Véran accepte, alors tout son petit édifice anti-HCQ s’effondre, et Raoult continuera de traiter et soigner avec sa bi-thérapie les couillonavirés à l’IHU de Marseille… Et il continuera d’engranger de précieuses données scientifiques qui plus tard contribueront à envoyer Véran en taule…
Et si Véran refuse… alors il s’enfonce et renforce encore davantage le dossier pénal contre lui (car il sera alors responsable, directement, de la mort de futurs couillonavirés… qui ne pourront plus être soignés à l’IHU).
Le temps joue contre lui… Les études qui démontrent l’efficacité de l’HCQ s’accumulent (lire ici)… Didier Raoult avait prévenu : le temps… voilà le seul juge de paix.
La cause est entendue : le petit Olivier est un adolescent colérique et perturbé qui joue très mal aux échecs. Il ne fait pas le poids.
Je répète ma prévision : quand il s’agira de sauver ses propres fesses, Macron n’hésitera pas une seule seconde à le jeter sous un bus…
Véran c’est le fusible parfait : responsable ET coupable.
Plus une vraie tête de gland.
Gland couillonaviré. La tête de l’emploi ! Véran pourra toujours se reconvertir… Après avoir purgé sa peine de prison.
Car, sous la covidictature actuelle, rien n’est plus moderne.
Faire péter, dans un grand feu d’artifices final et verbal, ce gouvernement illégitime et pourri.
V For Vendetta, film à voir bien entendu.
Remuez-vous, bon sang.
There are of course those who do not want us to speak. I suspect even now, orders are being shouted into telephones, and men with guns will soon be on their way. Why?
Because while the truncheon may be used in lieu of conversation, words will always retain their power.
Words offer the means to meaning, and for those who will listen, the enunciation of truth.
And the truth is, there is something terribly wrong with this country, isn’t there?
Cruelty and injustice, intolerance and oppression. And where once you had the freedom to object, to think and speak as you saw fit, you now have censors and systems of surveillance coercing your conformity and soliciting your submission.