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Humour Saloperie et sida mental

Star Trek : Grasse teste un portique de désinfection à énergie ionique et vibratoire

Tu mets une pièce de 2 euros dans la fente, tu cliques, tu appuies sur le bouton, et pouf, tu es désinfecté. Atomisé le couillonavirus ! (sur la photo notre équipe d’astrophysiciens en pleine conférence technique avec distanciation sociale, mais sans les masques).

D’abord, on croit à un gag.

Et puis on creuse. Non ce n’est pas une plaisanterie.

Le Maire de Grasse a décidé de tester le premier portique de désinfection et prise de température, entièrement créé sur la Côte d’Azur. (source)

Cet engin s’appelle la SANIBOXX (avec 2 X).

Alors, concrètement comment ça marche ?

J’ai bien entendu contacté Michel Chevalet.

Ses explications sont parfaitement claires, comme d’habitude.

La “brume sèche électrostatique attire les éléments en suspension dans l’air”, tandis que “l’ozone et les UV ont un pouvoir oxydant sur les germes et virus, ce qui conduit à leur dégradation”. Le cycle complet d’utilisation “n’excède pas les 7-8 secondes”, précise le dirigeant de la société, Eric Peltier. (source LCI)

C’est Star Trek. C’est un aller (qu’on n’espère pas simple) pour la Lune.

L’électrostatisme va attirer et dresser tes poils de cul, ensuite l’ozone, les UV (et un brin de Zyklon B, deutsche qualität) les coupent (tes poils, faut suivre) et avec eux le couillonavirus, bien entendu !

Mission accomplie.

“Ici la base de la Tranquillité, l’Aigle s’est posé”.

Manque plus que la sonde rectale pour… pour… mais pour quoi au juste ? Le fun, mais passons, c’est un autre sujet et cela ne nous regarde pas.

Alors la technologie, les étoiles et les galaxies, fort bien, mais quid de la sécurité de l’appareil ?

Les questions abondent parmi les ménagères de moins de 90 ans.

Vais-je perdre mon maquillage, ma peau, mon bronzage, ma coiffure ? Et ma robe Yves Saint-Laurent, on y a pensé hein ? Qui va me payer les frais de teinturier si je me retrouve à poil, avec un morceau de tissus troué et totalement décoloré ?

Pour s’assurer de la sécurité du dispositif, “nous avons fait appel au Docteur Alain Burr, chercheur au CNRS”, ajoute-t-il. “Ses calculs ont permis de déterminer des temps d’exposition et par sécurité nous avons programmé nos portiques en dessous de ces valeurs.”

Un fonctionnaire chercheur du CNRS a fait des… quoi ? Des calculs !

Nous voilà donc rassurés… 😉

Les explications laborieuses qui suivent, le sont un peu moins (rassurantes).

Pour ne prendre aucun risque, la durée d’exposition a été réduite par rapport aux seuils maximum tolérés, un choix assumé “quitte à ce que l’efficacité soit un brin réduite”. 

Ah bon ? Y’a des seuils maximum ? Ah zut.

LCI enfonce le clou et finit par nous foutre franchement la pétoche.

Que sait-on des techniques utilisées avec ce portique ? “Elles sont bien connues et validées”, note Dr Bruno Grandbastien, président de la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H), mais “sans présence humaine”. Les UV en particulier sont les plus utilisée, “notamment aux Etats-Unis où l’on s’en sert pour désinfecter des pièces, que ce soit des chambres à l’hôpital ou des blocs opératoires”.

Eh oui… les UV c’est bien pour désinfecter des objets… mais pour les humains (nous !) … euh… non c’est pas validé. 😉

La tuile.

Enfin, cet engin, coûte un “peu moins de 16 000 euros“. C’est cadeau ! C’est la Côte d’Azur.

A présent, c’est l’heure de la conclusion pratique.

Tu passes dans le portique qui te défonce la gueule à coup d’UV et d’ozone. Parfait.

Ensuite, tu es totalement désinfecté, rendu vierge tel Adam à poil du côté de chez Eden, même ton slip sale et plein de miasmes ressort plus blanc que blanc (les enzymes sont gloutons, surtout là !)… tu pénètres ensuite dans le bureau de la mairie.

Et là tu peux tousser, cracher tes poumons et infecter tous les fonctionnaires fainéants (car tu as l’esprit de contradiction, sans oublier le glaive vengeur et le bras séculier).

Eh oui, le couillonavirus se cache profond dans le nez et les bronches… Là où les rayons UV ne pénètrent pas.

Zut. Faut tout recommencer.

Captain Kirk peut aller se rhabiller. Tu peux pas lutter contre la Côte d’Azur.
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Résistance

Infecté ou pas ? On a enfin trouvé le chaînon manquant

Il y a cependant une exception, et une seule : Olivier Véran… Hors concours et surtout hors évolution.

J’ai souvent écrit au sujet des invraisemblables différences couillonavirales entre l’Occident et l’Asie.

Invraisemblables dans un monde “globalisé“.

Vous connaissez maintenant les lignes de force de cette observation :

-France : 30 000 morts (remplacez par Espagne, Italie, Belgique, Royaume-Uni, Etats-Unis, etc.)

-Thaïlande : 59 morts. Vietnam : 35 morts pour une population de 96 millions. Japon : 1 500 morts pour une population (très âgée) de 126 millions de personnes !

Inutile de continuer.

Et j’ai souvent affirmé que le bidonnage était forcément de notre côté, en écartant toute hypothèse pseudo scientifique (comme par exemple la souche en Asie, et seulement en Asie, serait totalement différente, ou autre comme la nourriture, l’air, l’eau voire mêmes les pratiques culturelles).

Mais comment médicalement expliquer cela ? Il y avait un chaînon manquant.

Je pense qu’on vient de le trouver. Et il paraît évident, rétrospectivement.

L’immunité.

Des scientifiques anglais ont publié une remarquable tribune dans The Telegraph, au titre punch  : “Let’s stop the continued self-destruction and test for Covid immunity” (texte disponible pour une large partie sur le blog Lockdown Sceptics).

China, a country of almost a billion and half people, eventually registered less than 5,000 deaths, and South Korea (51 million people) – about 300. The obvious explanation for those negligible mortality rates – highly prevalent pre-existing immunity – was widely ignored. The world chose to believe that the tough lockdown in Wuhan, along with restrictions in other parts of China, somehow eradicated the virus.

Leur conclusion ?

In short, it is extremely likely that most of us are at least partially immune to COVID-19. Let’s accept this fact and try to quantify it. Continued self-destruction is a bad alternative.

Au lieu de dépenser de l’argent pour des vaccins absurdes, des tests PCR imbéciles par dizaines de millions, de détruire avec obstination les économies occidentales, de terroriser les populations… concentrons les recherches et les ressources pour élucider cette mystérieuse immunité (sa ou ses origines), la quantifier, et surtout identifier les groupes réellement à risques.

Ajoutons une autre preuve, éclatante qui a été là encore… très rapidement oubliée, passée sous silence, fort opportunément.

Prenez une parfaite boîte de Petri : un navire de croisière avec 3711 passagers (plutôt âgés) et membres d’équipage, venant des quatre coins de la planète (belle diversité de gènes)… Avec donc une densité humaine élevée (24 400 par km2, plus que Paris).

Balancez le couillonavirus dedans. Et laissez incuber. En fermant toutes les issues. 😉

Vous avez reconnu le fameux Diamond Princess, le “navire de la mort” au début de la covidémence (février). Les Japonais avait mis en quarantaine le navire. Personne ne pouvait sortir… 14 jours d’enfer.

Bilan ?

On a focalisé à l’époque sur les morts : 14 (nombre déjà ridicule). Et le nombre de cas : 700, soit 19 % du total de la population prisonnière de la boîte de Petri…

Ce qui signifie que 81 %… n’ont pas été infectés alors que le virus est réputé très virulent et que l’environnement était idéal pour sa propagation…

Sérieuse dissonance cognitive et épidémiologique…

Ces 81 % ne venaient pas d’une autre planète, ils n’avaient pas mangé des sushis magiques les protégeant, ou prié Allah Le Miséricordieux, ou sorti les amulettes du papier de soie… ils étaient simplement immunisés. CQFD.

Tout s’éclaire.

Le couillonavirus, se heurte à une vaste immunité collective. Et in fine, ne peut tuer que quelques vieillards, fragilisés par des pathologies pré-existantes (et ajoutons quelques cas “pas de bol”, hors clous statistiques).

Si on introduit cette notion d’immunité dans les observations et les analyses du fait couillonaviral de part le monde… alors toutes les pièces du puzzle s’assemblent.

20 % de la population en gros sont susceptibles d’être infectés.

Sur ces 20 %, un nombre infime perdra la vie (les très vieux et très malades, plus quelques cas pas de chance/mystérieux).

Voilà. La comparaison des bilans en Asie devient alors logique, avec l’Occident où tout est fait pour grossir la menace (millions de tests inutiles, politiques de santé publique absurdes et dangereuses comme les confinements, attendre le dernier moment pour prendre en charge les malades, conflits d’intérêts multiples entre fonction publique, les et entreprises pharmaceutiques, etc.).

Et à la fin, inévitablement, on en revient à cette évidence… La justice va devoir passer.

Et chez nous, elle va avoir un gros, un très gros travail

Chaque jour supplémentaire de covidémence, malgré les évidences scientifiques, épidémiologiques, arithmétiques, va devoir se payer. Cash.

Après les plaisanteries, la covidémence, l’idéologie… il va falloir redevenir sérieux… Le petit Olivier est demandé à l’accueil.

 

 

 

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Résistance

Résumé de la schizophrénie française

le masque ne sert à rien, mais il faut ad vitam se masquer ;

leur virus ne tue plus, mais il faut se cacher ;

les tests ne prouvent rien, il faut les multiplier ;

les cas recensés ne sont pas des mortels, mais il faut faire comme si ;

il y a un vaccin russe, mais il faut lui dire merde ;

le Donald veut son vaccin, mais il faut lui dire merde ;

les enfants ne meurent pas, mais il faut les masquer ;

les jeunes ne meurent pas, mais il faut les emmerder ;

les jeunes gens ne meurent pas, mais il ne faut pas les marier ;

les familles existent encore, mais il faut les crever ;

nous sommes indemnes et en faillite mais il faut les payer (pour trouver un vaccin) ;

nous respirons encore, mais il faut nous taxer ;

nous survivons encore, il faut nous confiner ;

le peuple est à épouvanter, mais pas à effrayer ;

il faut lui faire peur, pas l’infantiliser ;

et puis continuer en attendant fracture…

Un excellent résumé de la démence française par l’écrivain Nicolas Bonnal.

Avec en filigrane, l’infection macronienne… et son “en même temps“…

Je boucle donc sur Marsault. 😉

A ce stade de la démonstration, un rappel de l’essence de la pensée macronienne s’impose…