Paul Joseph Watson éviscère dans sa dernière vidéo le phénomène des “Corona Karen“. Une race étrange. Des femmes souvent, toutes atteintes d’hystérie couillonavirale.
Lire mon article précédent à leur sujet (symbole que nous avons tous vu dans les rues de France : la gourde de 30 ans qui est masquée, seule au volant de sa voiture, toutes fenêtres fermées).
Watson parle également d’une étude stupéfiante (USA, UK etc.) qui montre que les gens surestiment par un facteur XX les nombres réels de covidécès et de covicas.
La démence s’est ainsi emparée de dizaines de millions de pauvres hères dans le monde, morts non pas du couillonavirus, mais bel et bien morts de terreur.
Une terreur alimentée par des médias aux ordres, et par les gouvernements complices.
Depuis quelques semaines, une chose extraordinaire se produit.
Des gouvernements font des deals avec des labos pour acheter (pardon “sécuriser“) des centaines de millions de doses de vaccins contre le couillonavirus… vaccins qui n’existent pas, et dont les pré-versions n’ont même pas encore été testées (tout vaccin sérieux nécessite des années de développement et de tests).
Et plus fort encore, comme ces vaccins sont virtuels et que plus d’une centaine sont en cours de développement, alors les Etats se croient obligés de miser leur notre pognon… sur plusieurs chevaux en même temps.
Les centaines de millions de doses s’additionnent ainsi dans une Fantasia aussi délirante que lucrative.
ANGLETERRE
UK Government signs ‘£500million’ deal with drug giants GlaxoSmithKline and Sanofi for 60 million doses of fourth potential coronavirus vaccine
-en juin, le laboratoire AstraZeneca a fait un deal avec l’UE, pour la livraison de…. 400 millions de doses. L’accord prend soin de préciser… “en cas de découverte du vaccin” 😉 Vraiment sympa de la part de AstraZeneca… (source)
MISE A JOUR 20/08/2020
L’UE rajoute 225 millions de doses du “potentiel vaccin” de CureVac, société allemande. (source Le Figaro)
ETATS-UNIS
-Le même article nous apprend que Sanofi a signé une autre convention la même semaine avec les Etats-Unis pour 100 millions de doses. Valeur ? 2,1 milliards de dollars (source)
-Les USA ont négocié 100 millions de doses (pour 1 milliard de dollars) avec Johnson & Johnson (source)
-Les USA ont négocié 100 millions de doses avec Pfizer (Viagra pour les intimes). Valeur : 1,95 milliard de dollars (source). Le deal contient une “option pour 500 millions de doses supplémentaires” (quand on n’aime on ne compte pas).
CANADA
Le gouvernement du mec qui faisait des black faces à la fac, a négocié avec Pfizer et Moderna pour des “millions de doses“.
Comme les Canadiens ont honte ils ne révèlent pas le nombre exact de doses commandées (car il s’agit bien d’un procurement, en clair d’un achat).
Eh oui, quand on fait des black faces comme un crétin, on ne peut pas être tout à fait franc du collier, n’est-ce pas ? Prenons donc la population : 37 millions. Donc zou, mettons 30 millions de doses. (source)
SUISSE
La Suisse (snif) a signé avec Moderna pour 4,5 millions de doses (source). Le budget aloué pour le cirque vaccinal s’élève à 330 millions de dollars.
Sachant que le pays compte 8,5 millions d’habitants, on sent les mecs près de leurs sous, limite pingres (ou alors inquiets pour la santé de leurs concitoyens 😉 …)
Le couillonavirus est raciste. Si, si (j’y reviendrai plus tard).
Mais en plus il est terriblement… grossophobe.
D’ici à ce qu’il soit en plus, homophobe, les carottes seraient totalement cuites. 😉
De très nombreuses séries de données, à travers le monde, pointe vers ce fait :
-l’obésité est un facteur de risque (en plus de l’âge, des pathologies ou comorbidités comme le diabète, des facteurs ethniques, etc.).
Ce n’est pas politiquement correct de le dire, et pourtant. Ce sont ces personnes que nous devrions protéger en priorité, au lieu de délirer sur les enfants, et les jeunes, et de détruire notre économie en imposant des “lockdowns” (con-finements pour les lettrés versaillais).
Public Health England a mené une étude (en Angleterre) à ce sujet.
Le risque d’hospitalisation, de traitement en soin intensif et au final de mort, augmente progressivement avec le Body Mass Index (une mesure de l’obésité).