Je sais, c’est bête. Mais ça me fait rire.
“Le traitement existe”
La vidéo du Docteur Stella Immanuel, lors de la conférence de presse du groupe America’s Frontline Doctors, devant Capitol Hill à Washington DC, est devenue, sans mauvais jeu de mot, virale.
Cette vidéo a été ensuite supprimée par Facebook (14 millions de vues), Twitter et Youtube (lire article ici)
Son message -en plus venant d’une afro-américaine, très habile- est puissant :
-il existe un traitement contre le Covid : hydroxychloroquine, zinc et azithromycine
-je l’ai donné à 350 patients, and counting, dont certains des afro-américains avec du diabète (donc à haut risque) : j’ai eu zéro mort
-moi, mon staff et d’autres docteurs prennent ce traitement en préventif. on voit 10 à 15 patients par jour. Aucun de nous n’est tombé malade. Ca marche.
-je viens à Washington pour dire : “Amérique, personne ne doit mourir”. Je suis en colère.
-ce virus a un traitement
-vous n’avez pas besoin de masque. Il y a un traitement. Vous n’avez pas besoin d’être confinés. Il y a de la prévention, et il y a un traitement.
-vous pouvez me dénoncer au board, je m’en fiche.
Les malentendants et malcomprenants auront bien sûr reconnu le traitement… Raoult.
Une fois de plus la réaction de censure, globale et simultanée, et donc coordonnée, signe le crime.
L’obsession contre toute forme de traitement au profit (au sens propre) d’un vaccin, ainsi que le fanatisme (il n’y a pas d’autres mots) contre l’hydroxychloroquine … signe également le crime.
Et même si ce médicament n’avait aucun intérêt thérapeuthique, voire même n’était qu’un simple placebo… pourquoi une telle mobilisation de moyens, depuis février, dans un grand nombre de pays… pour le dénigrer, l’interdire ?
Là encore, la timeline, la palette des moyens mis en oeuvre (médias, géants Internet, fausses études, dispositions légales et réglementaires, etc.) et l’échelle globale, signe le crime et la conspiration.
Nous sommes en effet “en guerre” pour reprendre l’expression de Xi Jinping, le président chinois. C’est une guerre d’un petit nombre contre nous tous.
La vidéo complète de la conférence de presse est disponible ici.
UPDATE 32/07/2020
Ca n’a bien entendu pas loupé : l’un des médecins ayant participé à la conférence a été… licencié quelque jours après.
Guyane : ça fait pschiit. Et prout.
Caramba ! Encore raté !
Vous vous souvenez de la Guyane ? Le shithole de 290 000 habitants, la fameuse “île” quelque part en Amérique du sud ? En juin, le couillonavirus y faisait des ravages. Oui ma bonne dame.
Barjavel pouvait aller se rhabiller chez Prada ou chez le Diable himself.
“The horror, the horror”.
La métropole, dans sa grande générosité maternelle monta prestement un “hôpital de campagne”. Ben oui, fallait bien leur venir en aide. Ils allaient tous crever du virus.
Fast forward 28 juillet :
L’hôpital de campagne de la sécurité civile qui avait été installé le 28 juin à Cayenne pour aider à la lutte contre l’épidémie de Covid-19 est en cours de démontage en raison «d’une tendance épidémique à la baisse», a annoncé mardi 28 juillet la préfecture de Guyane.
(source Le Figaro)
Oh ben non ! Pas déjà ! C’était si excitant, si terrorisant ! Un “hôpital de campagne”, ça faisait “guerre” en plus… Car, nous sommes bien en guerre, comme l’a dit et répété l’adolescent troublé de l’Elysée. Non ?
Une nouvelle fois : face aux fantasmes pourris le Réel fait pschiit. Prout. Flatulence dégueulasse et foireuse.
Cet hôpital de la sécurité civile, aérotransportable et projetable en 12 heures, avait été déployé le 28 juin au Centre hospitalier de Cayenne afin d’accueillir des patients non-Covid et de libérer des capacités hospitalières, notamment pour les urgences, très sollicitées en raison de l’épidémie de coronavirus.
C’est émouvant.
“404 personnes ont été prises en charge dans cet hôpital“.
On se rappellera l’hôpital de campagne monté en neuf jours à Londres début avril, avec 4 000 lits !
Et qui finalement ne traita que… 51 patients (source BBC).
Non, je n’ai pas oublié trois zéros… 😉
Comment dit-on “je me fais caca dessus” en anglais ?
On se souviendra également (cocorico) de l’hôpital de campagne monté par notre valeureuse armée française, fin mars, à Mulhouse. Là encore c’était pour faire face à l’apocalypse.
A l’époque, ils voulurent engager Marlon Brando, mais ce dernier n’était pas disponible.
Et ce fier hôpital kaki, comme la couleur du slip de Véran le Verrat, était à la mesure de la même armée française, avec sa capacité… de 30 lits (non, une fois de plus, je n’ai pas oublié trois zéros) !
Alors que des cliniques privées, à 100 mètres (alerte exagération) dans la ville étaient… vides.
Le bide fut tellement complet que dés la mi avril… on passa sa capacité de 30 à … 20 lits. Avant de commencer à… le démonter ! (source Voix du Nord).
Comment dit-on “Je me chie et me vomis dessus” en français ?
Conclusion : bordel ! Vivement la troisième vague, quelque chose ! Une énième vague ! Un reconfinement ! Même un tout petit ! Une nouvelle hécatombe dans les Ehpad (où les vieux crèveront de chaud plutôt que du virus, comme durant la canicule de 2003, 20 000 morts une paille).
Des enfants ! La rentrée scolaire ! Faites quelque chose ! Donnez-nous nos morts quotidiens !
Saint Couillonavirus priez pour nous !