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Tests PCR et explosion des “nouveaux cas” : le scandale est énorme

Depuis début juillet, le gouvernement vous harcèle, vous terrorise avec la “seconde vague“… et les “nouveaux cas” dont le nombre explose chaque jour, un peu plus (lire ici).

“Liliane ! Fais les valises !” (source). La hausse des nouveaux cas est en effet terrifiante, depuis fin juillet.

On a atteint 9 000 “nouveaux cas” en 24, la semaine dernière !

On est presque à 1 million de tests PCR effectués chaque semaine.

La dissonance cognitive commence lorsqu’on constate que les hôpitaux sont vides, y compris en réanimation, et que les morgues sont vides itou.

Le nombre des infections explose, mais… tous ces gens ne sont pas malades. 😉

“Je suis infectée. Mais pas malade. Pas contagieuse. Et pas morte… Zut. C’est pas le bon moment pour arrêter la picole !”

Ce délire qui revient à tester des gens, jeunes, absolument pas à risque, et qui n’ont aucun symptômes, qui ne sont pas contagieux, en clair qui ne sont pas malades, coûte en plus un pognon de dinnnnnnnnnnnnngue (lire ici).

Passons dans l’arrière-cuisine à présent. Pourquoi le nombre de cas explose ? Parce qu’on teste davantage bien entendu. Parce que oui le virus est brassé pendant l’été, un peu plus que d’habitude, et qu’il continuera toujours à infecter et tuer quelques vieillards malades.

Mais surtout, parce que les tests PCR sont manipulés.

Le New York Times, grand quoditien américain, a vendu la mèche. Le professeur Didier Raoult a également alerté l’opinion publique à 2 reprises : dans son IHU… les “cas positifs” qu’on lui envoie… étaient à 20 % en fait négatifs… Fin août, ce pourcentage est passé à 30/40 % !

L’arnaque tient dans la sensibilité de ces tests, exprimés en “cycles”. Plus ce nombre est élevé, plus il y aura de “positifs”. Mais n’ayant alors plus aucun rapport avec le Réel biologique et épidémiologique : le patient ne sera absolument pas malade et encore moins contagieux.

Son organisme contient des traces de virus… comme nous en avons tous en permanence des gazillons.

Donc, ce sera un faux positif (certains pensent que l’expression est impropre, peu importe), et qui pourtant viendra incrémenter le bilan des “nouveaux cas“, annoncé chaque jour par les autorités.

Et ce nombre n’est pas anodin puisque le gouvernement l’utilise pour ensuite justifier des mesures de restrictions de nos libertés. Tel préfet constatera alors que son département est passé en “zone rouge” et hop, comédie du masque partout, décrets scandaleux etc.

Les “nouveaux cas” sont donc de facto un outil pour les autorités. Un outil de propagande.

Ce scandale est énorme. Car il vient après plusieurs mois… de scandales en France. On ne peut donc pas invoquer des “erreurs“, la “précipitation” ou encore le “manque de données“.

C’est une manipulation délibérée menée par les autorités françaises (avec la complicité de très nombreux pays hélas), dans le but de terroriser les populations et de justifier le maintien de la fiction couillonavirale et la prise de nouvelles mesures coercitives.

Voici un texte important écrit par Peter El Baze, ancien médecin à Nice, et publié sur son compte Facebook et qui complète parfaitement l’article du New York Times.

J’ai décidé de le copier intégralement de manière éhontée et sans lui demander l’autorisation (car je tiens à mon anonymat). La fin justifie les moyens, et même l’impolitesse. 😉

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Explications complémentaires sur les tests P-C-R pour comprendre pourquoi ils donnent autant de FAUX POSITIFS

Dans un test P-C-R il y a un facteur trés important qui n’est pas mentionné dans les résultats, c’est le CT (Threshold Cycle).

Il s’agit du coefficient d’amplification de l’ADN .

Le test ne détecte pas des virus entiers en état de marche, mais des morceaux de ce virus actif ou non.

Donc il peut détecter des petits morceaux de virus d’une infection qui date de plusieurs semaines, voir plus.

Dans les prélèvements il y a très peu de morceaux d’ARN viral, donc ils ne peuvent pas être détectés tel quel.

Il faut augmenter le nombre de morceaux de manière très importante pour pouvoir les détecter.

On transforme cet ARN viral en ADN puis on met un produit qui fait que tous les ADN du prélèvement sont dupliqués de nombreuses fois.
On répète plusieurs fois cette opération.

Plus on la répète, plus on amplifie leur nombre, plus le CT est grand, plus on risque d’avoir des faux positifs.

Moins on la répète moins on a de faux positifs mais plus on peut avoir des faux négatifs.

Suivant les appareils et les labos on peut utiliser des valeurs de CT plus ou moins grandes.

On peut déterminer un seuil de CT ou on arrête la duplication.

CT = de 25 à 30 => charge virale importante, peu de faux positif, si positif on est certain qu’il y a bien infection au CO VIDE. Mais risque de faux négatifs

CT = 35 => compromis utilisé par l’IHU, quelques faux positifs et peu de faux négatifs

CT = 40 ou plus => charge virale pratiquement inexistante, plus de 90% des positifs sont FAUX sans virus CO VIDE, pas de faux négatifs

Les recommandations des scientifiques sont un CT = entre 20 et 30
La pratique des labos en France est un CT à 40 ou plus !

Ce qui explique que 40 à 90% des résultats positifs sont des FAUX positifs mais très peu de faux négatifs

Raoult a constaté que 40% des gens testés en ville comme positifs étaient re testés à l’IHU négatifs.

Ces tests P-C_R auraient été très utiles en Février ou Mars 2020 pour isoler les positifs avec CT à 25

Depuis 5 mois ils n’ont plus aucun intérêt car avec un CT à 25 on ne trouve plus personne de positif.

Bullard J. et al., 2020, n’ont pas retrouvé d’infectivité pour une CT supérieure à 24

Leur SEUL intérêt d’annoncer tous les soirs “5000 nouveaux cas” dont 4500 sont faux et 500 sans symptômes, donc pas malades, est POLITIQUE et certainement pas médical.

Docteur Peter EL BAZE
Ex Médecin Attaché des Hôpitaux de Nice
Ancien Chef du Service de Médecine Interne A1, Les Sources, Nice