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Médicaments contre le Covid : silence et offuscation

Le docteur Maudrux (son blog est listé dans mes Sources) publie un excellent article au sujet de l’étude “L’usage des médicaments de ville en France durant l’épidémie de Covid-19 jusqu’au 13 septembre 2020“, réalisée par Epiphare, un groupe d’experts créé par la CNAM et l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament.

Le titre est diablement excitant !… Mais… vous n’en saurez pas plus.

Car les deux seuls “médicaments” reconnus sont… le paracétamol et l’ibuprofène.

😉

Ils auraient ajouté… l’eau du robinet, l’effet aurait été identique…

Pire encore, les statistiques de prescription… ont été soignement expurgées.

Ainsi pour les antibiotiques… l’Azithromycine a purement et simplement disparu…des 386 pages de l’étude…. alors que c’est une molécule très largement utilisée (pour les infections pulmonaires)… et pas de bol… elle fait aussi partie du protocole Raoult (en association avec l’hydroxychloroquine, la fameuse).

C’est trop bête. 😉

Conclusion de Maudrux : “C’est une vraie manipulation de l’information, manifestement sur ordre politique”.

L’essentiel à retenir de cette étude et selon les auteurs « l’effondrement des prescriptions de Paracétamol et des antibiotiques » cet été après déconfinement. Pour les antibiotiques, c’est hors Azithromycine, donc on ne sait pas vraiment.

Pourquoi ?

Pourquoi en permanence, depuis le début de la terrible pandémie, les pouvoirs publics tournent autour du pot, biaisent, mentent, dissimulent ?

Le docteur Maudrux ne répond pas à cette question brûlante, mais il note :

On a interdit aux médecins de communiquer sur les résultats de leurs prescriptions, on interdit aux organismes publics de communiquer sur ce qui se prescrit en bien ou en mal. Refuser délibérément, volontairement d’informer sur les traitements du Covid, va contre l’intérêt de santé publique et peut nuire à la santé des Français.

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Mensonge institutionnalisé : le petit Olivier humilié en 2 minutes

Superbe travail de compilation et de montage (“a nécessité 8 jours, soit 192 heures de replay dans la gueule“, disent-ils, on veut bien les croire).

Véran pendu à croc de boucher ! Véran qui raconte tout et son contraire. On le savait bien sûr. Mais cette vidéo qui récapitule… ça fait mal.

Ce n’est même plus un ministricule : c’est le Benny Hill de la fake news et du mensonge.

 

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Inversion accusatoire : les terroristes dénoncent les “rassuristes”

La presse française s’expose. Fière. Toute nue.

L’Express, la poubelle hebdomadaire possédée par le multipatride “maroco-franco-luso-israélien” Patrick Drahi (je cite Wikipedia) est à la pointe de la covidémence (BFM, etc.).

Forcément, puisque ce magazine est par essence mainstream.

Ils viennent de lancer une offensive contre… les “rassuristes” !

Article publié le 6 octobre.

Toubiana, Mucchielli, Toussaint… Enquête sur les marchands d’espoir du Covid

Qui sont ces “rassuristes”, très présents dans les médias, qui nient la reprise de l’épidémie et assurent que les autorités nous font volontairement peur ?

Des marchands ? Depuis quand les résistants vendent quoi que ce soit ?

Ici, c’est L’Express qui vend, littéralement, sa propre merde sous la forme de publicité. Payante. Comme un tapin vend ses miches.

Le dispositif, car c’est cela dont il s’agit, se trouve prestement complété par un deuxième article, au titre encore plus direct :

Covid-19 : Pourquoi il faut dénoncer les “rassuristes”

Laisser dire que l’épidémie s’essouffle nous met tous en danger. Le relâchement des gestes barrière et le rejet des mesures de prévention seraient catastrophiques.

On voit bien le pas de deux, le pas de danse emmené par une bande de petits télégraphistes, de porteurs de valises du FLNCovid.

Et je boucle avec l’expression, parfois galvaudée, mais qui se révèle ici appropriée : l’inversion accusatoire.

Voilà un média qui n’est qu’une vulgaire caisse de résonnance de la campagne de terreur organisée par le gouvernement… campagne qui détruit volontairement le pays et même provoque des morts… ce média se permet de dénoncer ceux… qui dénoncent la terreur couillonavirale, en les qualifiant de “rassuristes“.

Comme si “rassuriste” était désormais une insulte, ou la marque d’une maladie mentale, ou d’une tare.

Rassurer autrui en se basant sur des faits c’est mieux, c’est plus sain, c’est plus noble, c’est plus intelligent que de terroriser autrui avec des mensonges.

Ces mots ne sont pas sur le même plan. Il y a clairement une hiérarchie.

Et pourtant, ces étrons, pseudo journalistes tentent le coup.

En clair : le salopard dans l’histoire c’est… le terroriste, plutôt que le rassuriste.

La justice finira par passer… En attendant, boycottez tous ces “journaux”.

Ou à la limite vous pouvez vous en servir de cette façon :

On appelle cela le “principe de réalité”…