Vous vous souvenez de l’étude danoise sur l’efficacité du masque contre le Covid… la plus vaste à ce jour… et qui ne parvenait pas à être publiée car ses conclusions n’étaient pas… au moule ?
Ca y est, elle est enfin sortie. 😉
Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers. A Randomized Controlled Trial
6 000 participants pendant 2 mois (avril et mai). La moitié devant porter le masque. L’autre moitié servant de contrôle.
Résultats ?
Infection with SARS-CoV-2 occurred in 42 participants recommended masks (1.8%) and 53 control participants (2.1%).
On rit jaune…
Conclusion ?
The recommendation to wear surgical masks to supplement other public health measures did not reduce the SARS-CoV-2 infection rate among wearers by more than 50% in a community with modest infection rates, some degree of social distancing, and uncommon general mask use. The data were compatible with lesser degrees of self-protection.
En clair : c’est un pet foireux.
Et cela permet de comprendre que toutes les actions des gouvernements autour de ce fameux masque de papier relèvent de la patascience.
Reformulons : de la pensée neuneu. De la non-pensée.
De nombreux scientifiques l’avaient déjà dit.
Mais ça fait toujours du bien de le constater via une de ces fameuses “études randomisées” que les covidéments ne cessent de célébrer par ailleurs (souvenons-nous de l’hydroxychloroquine par exemple)…
«Une permission pour Noël, trois semaines après vous avez un pic. S’il y a permission, c’est un pic. Ce qu’on peut faire, c’est avoir une volonté collective et poétique de repousser Noël et de dire Noël ça sera le 25 mars 2021. Et là on fera une grande fête».
Verbatim Christophe Barbier, le neuneu bobo à l’écharpe rouge, grand covidément devant le Papa Noël…
Cette forme de programmation temporelle se retrouve encapsulée dans de nombreux canaux depuis quelques semaines (ce qui permet de détecter l’évidente opération -concertée- de communication).
-il va y avoir un relâchement pour les fêtes de noël. Il faut bien donner un susucre au cheptel.
-puis on restera en régime dit “semi-molle” (que les hommes connaissent bien…). En clair : des restrictions, toujours, des règles absurdes, toujours, mais moins de pressions.
-puis un nouveau coup de chaud en février (la saison des grippes). Le virus est bêtement saisonnier. De nouveau le cirque “pas assez de lits, ouin ouin, on va tous mourir” (mode Caliméro).
-relâchement au printemps, mais avec toujours des foyers épidémiques ici ou là.
-je ne crois pas aux vaccins comme “butée temporelle” qui feraient miraculeusement disparaître la covidémence et le couillonavirus, dans le sens “avant/après”, “on/off”.
-l’idée est plutôt d’achever de vous rendre dociles. Un an et demi de stress couillonaviral et de restrictions folles des libertés… eh bien ces dernières mécaniquement seront devenues normales. Acceptées par le grand nombre.
L’homme s’habitude à tout, et même au pire. Grenouille dans la casserole d’eau chaude.
Voilà le programme “jusqu’à l’été ” donc. Cahin caha.
Et après ?
C’est ici que la divination commence (avant, trop facile, aucun risque d’erreur).
Mon opinion : la fin de la covidémence, c’est-à-dire disparition naturelle du virus ou vaccins qui lui règleraient définitivement son compte, n’est pas envisageable.
Tout ce boulot qui passerait à la trappe ? Une telle formidable psyop mondiale pour gagner quelques milliards de dollars ? Ou satisfaire l’égo de Véran la vérole, ou de Salomon l’homme poisson ? Je n’y crois pas une seule seconde.
Le pognon c’est un sous-objectif, un bénéfice collatéral. Les luttes d’égo, de simples divertissements ou effets de bord locaux.
Mais alors comment maintenir voire relancer la pression ? Quel pourrait être le prochain acte de cette vaste pièce de théâtre ?
Et comment, rétrospectivement et de manière très efficace, blanchir tout l’appareil covidément et ses actions (et éviter les poursuites judiciaires par exemple) ?
Vous voyez où je veux en venir ?
Un nouveau virus.
Mais bien sale, bien mortel celui-là…
😉
La première lame, Covid-19, a redressé le poil.
La seconde le coupera.
Les virus sont les lames.
Et vous, vous êtes… les poils.
Je vous casse le moral ?
Je sais. 😉
Ca fera 25 euros la consultation.
Tarif conventionné.
POST SCRIPTUM
Bon arrêtons l’ironie.
J’évoque ici une suite logique.
La covidémence étant à mon sens une gigantesque opération, provoquée (le timing est bien trop parfait)… la question de fond est donc : où veulent-ils aller ?
Je le répète : gagner du pognon, dérisoire, et tellement plus facile avec des moyens conventionnels.
Accroître le contrôle sur le cheptel ? Ce n’est pas une finalité, mais un moyen.
Alors ?
Je vois donc deux hypothèses, j’insiste, logiques :
GENOCIDE
La grande décimation. nous sommes trop nombreux sur cette planète, et surtout trop d'”inutiles“, comme le dit dans son infinie ingénuité Laurent Alexandre (au passage le “dieu” a franchement… une sale gueule, pour les gènes de la statuaire greco-romaine classique, faudra repasser 😉 ).
On pollue, on consomme des ressources. Je serais un dangereux psychopathe, avec de gros moyens, cette conclusion me semblerait imparable : il faut exterminer une large partie de la population.
Une “pandémie” est le meilleur moyen pour faire le boulot vite fait bien fait. Et naturellement…
Dans toutes les équations type Club de Rome… on ne se préoccupe jamais d’un des principaux facteurs… car il est tabou : la population.
Avec plus de 7 milliards d’individus, il y a des problèmes objectifs (épuisement des ressources, pollution etc.). Et les problèmes sont compliqués à résoudre sur cette échelle.
Avec une population globale ramenée à 500 millions ? Il n’y aurait plus aucun problème. 😉
Jardin d’Eden 2.0.
Ce scénario logique est la version 2.0 du célèbre mot de Staline, véritable expert en la matière et grand sage mécompris : “La mort résout tous les problèmes. Pas d’hommes, pas de problèmes.”
ADAPTATION AUX FORCEPS
Dans ce scénario on ne tue pas la population. On la gère. On la façonne.
Il s’agit de forcer une adaptation très rapide et très douleureuse sur l’humanité dite “riche” (la part qui consomme le plus de ressources).
Depuis des mois on nous bourre le mou avec “Le grand reset”, d’après le bouquin du cinglé de Davos. C’est selon moi une… énième psyop.
On réinitialise un ordinateur quand il bogue et ensuite, il fonctionne normalement.
Cette expression est donc totalement impropre.
C’est un leurre.
Elle permet de cacher le véritable enjeu : le grand appauvrissement.
La cible ? Pas les crèves la faim (Afrique) et autres pays shitholiens… Eux n’ont rien. Difficile de leur enlever ce rien.
Non la cible c’est bien entendu d’abord l’Occident… Vous mes chéri(e)s. Vous les bien gras, avec vos “droits“, vos “retraites“, votre “Sécu“, vos “congés payés“, vos “déficits” ah ah ah ah.
Dire “les gars va falloir diviser votre niveau de vie par X car pic pétrolier etc” n’est pas dicible. Et même pas compréhensible par le troupeau.
Seule solution : fabriquer une cause naturelle permettant d’expliquer le grand appauvrissement.
Le couillonavirus.
Il s’agit de construire une causalité pour les neuneus bobos concons occidentaux.
“Tu es devenu une loque, un crève la faim sans boulot ? C’est la faute à dame Nature : le virus. Désolé. Faut accepter. S’adapter. Tiens voilà une poignée de graines, et tiens toi tranquille sinon le coup de trique ou l’attentat islamo-coucou”.
Ergo : on va le faire durer ce virus, forcément, car sinon le cheptel ne comprendrait pas. Le virus a disparu, pourquoi on ne revient pas au “monde d’avant” ?
Ce scénario est mon préféré. Et il est tout à fait compatible avec mon analyse “chinoise” du coupable idéal : certains pays vont bien entendu tenter de conserver leur niveau de vie, voire l’augmenter… au détriment des autres.
On trouve une remarquable illustration de ce plan dans la scène d’un film fameux : “Finie la p’tite auto ! Finies les vacances au Crotoy ! Fini le tiercé“.
Ajoutez la modernité 2.0, la terreur, les technologies, le pic pétrolier… Tout y est.