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Vénézuéla : ses femmes, son pétrole, son dictateur et sa chloroquine

On dit que les femmes vénézuéliennes sont les plus belles du monde.

En tout cas, elles monopolisaient les concours de beauté.

Je sais. Tout cela ne sonne pas vraiment startup nation, mais il est temps de revenir aux fondamentaux, à l’épure, et de célébrer le beau sexe comme il se doit et d’arrêter les délires genrés/racisés à la con promus par les constructivistes globalistes dégénérés.

Ca y est, je suis énervé, c’est mauvais pour ma fonction cardiaque.

Revenons au sujet.

Ensuite, il y a Maduro. Le sous-dictateur bolivarien avec des morceaux de socialisme dedans mal digérés… Autant son patron feu Chavez avait de la gueule et une certaine envergure, autant lui… c’est un petit-gris, dans un costume mal taillé et trop grand pour lui.

Plus avouons-le, une vraie tête de bite.

“El Gringo, il est bon ton café !” “Euh… Non.”

D’ailleurs sa moustache évoque celle de Saddam Hussein. Méfiance Nicolas, tu vas passer à la casserole ! 😉

Le pauvre, les Etats-Unis veulent en effet sa peau et cherchent en permanence à le dégommer.

Non ce n’est pas pour apporter la “démocratie“… Le pays regorge de pétrole, la forme lourde, bien dégueulasse… Or les raffineries américaines sont calibrées pour traiter ce brut. Et donc, en prévoyance de la disette énergétique, mettre la main sur de telles ressources, est parfaitement rationnel.

Odieux mais rationnel.

Les Américains sont si totalement dérangés quand il s’agit du Vénézuéla qu’en raison de leurs propres sanctions imposées au pays… ils en sont réduits à remplacer l’achat de brut lourd vénézuélien… par du brut russe ! L’autre pseudo grand ennemi de l’Amérique. 😉

Leçon à retenir : on peut être rationnel et en même temps être con comme une enclume. 😉

Ainsi, face à cette pirouette russe, Hillary Clinton en recrache ses corn flakes chaque matin et Joe Biden fait pipi et caca dans sa couche (ah non pardon, là c’est naturel… les ravages du grand âge).

Tout ça pour dire qu’à la place des Vénézuéliens, je prendrais le premier bateau venu pour me barrer fissa, car le bordel insensé que vit ce pays (guerres secrètes US plus délires internes du gang Maduro et de ses potes “socialistes”)… risque de continuer… longtemps.

Et chaque jour qui passe ne fait que renforcer cette évidence (idem en Iran). Plus les appros en hydrocarbures seront “contraintes” plus la moindre réserve deviendra  de facto un levier géo-politique… et plus la pression augmentera pour soit s’emparer de cette réserve, soit empêcher ses ennemis… de s’en servir !

Ce second cas de figure est évident avec l’Iran. Si les mollahs peuvent exploiter leurs réserves de brut de qualité, ils deviendront de plus en plus puissants. Hélas pour lui, le Vénézuéla est dans la 1ère catégorie, car très proche géographiquement des USA…

Bref. Revenons au couillonavirus (même si vous l’aurez compris, le virus est lié à l’énergie).

Maduro avait publiquement pris fait et cause pour la chloroquine dès le mois de mai. Si, si. On avait vite oublié, car le type est totalement “inaudible” dans les médias occidentaux. Forcément.

Et puis un communiqué officiel de la présidence vénézuélienne, daté du 14 août, nous rappelle que… eh bien des gouvernements même branques et même “socialistes” cherchent des solutions (si possible pas trop chères), au lieu de dire “restez chez vous, prenez du doliprane et attendez le vaccin l’année prochaine“… comme hélas tous les gouvernements occidentaux, à la fois criminels et neuneus.

Plusieurs traitements en fonction de l’avancement de la maladie ont donc été officiellement définis(communiqué ici).

Traduction Google.

Patients asymptomatiques, sans maladie à risque supplémentaire : le traitement appliqué dans cette phase est l’ivermectine et la chloroquine. L’un ou l’autre est utilisé, les deux ne sont pas appliqués simultanément, les deux ont un effet, pour réduire la charge virale et améliorer la réponse immunitaire.

 

Patients présentant des symptômes légers : le deuxième kit contient les mêmes médicaments que ceux avec lesquels les patients asymptomatiques sont traités mais des antiviraux sont incorporés, comme le Lopinavir ou le Ritonavir, cette association porte un nom appelé «Kaletra». Ces antiviraux réduisent la charge du virus et ralentissent sa reproduction.

 

À ce niveau de la maladie, l’interféron Alpha-2B est également appliqué pour renforcer la réponse immunitaire. De même, l’azithromycine est incorporée si d’autres symptômes apparaissent.

On notera que… 4 millions de personnes ont fui le pays depuis 2015 (sur une population totale de 28,8 millions)… (source Le Monde).

POST SCRIPTUM

Cette virée bolivarienne haute en couleur est l’occasion de rappeler un fait étrange : l’abscence totale dans la presse occidentale d’articles de fond… décrivant les traitements et les pratiques médicales contre le couillonavirus dans les pays dits émergents, voire même occidentaux.

Faites le test. Cherchez dans Google… Pas grand chose… La presse française par exemple parle de tout, sauf de cela. A quelques exceptions près (exemple la Suède, mais uniquement sous l’angle “confinement/pas confinement”).

Rien au sujet de l’Allemagne (aucune surmortalité toutes causes confondues, et 207 covidécès par million d’habitants versus 819 en France !) (source)… Ni de la Grèce pourtant tous les deux membres de l’UE…

Le vide. Le silence.

Ce vide relève du story telling.

La propagande c’est ce qu’on vous dit.

Mais aussi… ce qu’on ne vous dit pas.

POST COITUM

Des lecteurs attentifs me font remarquer que, emporté par mon enthousiasme bolivarien, je n’ai pas mis les chiffres.

Oubli fâcheux.

Donc :

-méchant Vénézuéla qui utilise la chloroquine  : 32 covimorts par million d’habitants

-gentille Colombie (2 200 km de frontières avec le Vénézuéla) qui fait tout ce que les USA lui demandent de faire : 726

Rappel pour mise en perspective : France macronesque et castafioresque = 824.

Comme on disait à la grande époque : “vas-y poupou !” 😉

4 replies on “Vénézuéla : ses femmes, son pétrole, son dictateur et sa chloroquine”

Fallait conclure avec leur courbe de taux de mortalité.
A comparer à ses voisins : Pérou Bresil Equateur Colombie… etc, et à la France…
Instructif.

Bonjour.

J’ai été déçu à la lecture de l’article, car à la mention du Venezuela et de l’HCQ je m’attendais à autre chose, notamment à d’une part un exposé des excellents résultats (dans la limite où l’on peut croire les chiffres officiels) de ce pays en matière de covidémence, et d’autre part à une mise en contraste avec son grand voisin colombien.

Car enfin, voilà deux pays extraordinairement proches et semblables, tant au point de vue climat (même latitude, géographie comparable) qu’au point de vue population (nombre et composition ethnique), culture (latino-caribéenne, deux bastions de la salsa et du merengue) et langue et qui ont des résultats radicalement différents en termes de politique anti-covid – et c’est un euphémisme.

La Colombie et le Venezuela sont deux frères jumeaux ennemis. Ils auraient dû d’ailleurs faire partie initialement du même pays (une grande Colombie, ainsi nommée en l’honneur de Christophe) sous la férule du libérateur Bolivar (libérateur de la domination espagnole).

Cette rivalité se retrouve d’ailleurs même au niveau des concours des Miss Monde et Univers, les deux pays occupant les deux premières places.

En revanche, au niveau de la covid, il n’y a pas photo.

L’un utilise la chloroquine, l’autre non. L’un est un bon petit soldat de l’OMS, suivant rigoureusement ses ordonnances, l’autre n’en fait qu’à sa tête. Et l’un caracole en tête des pays pour la mortalité du covid avec 750 morts par millions, l’autre pète de santé malgré la misère avec … 30 morts par millions, soit 25 fois moins! Un différentiel tout bonnement… stupéfiant (le terme s’impose ici…)

Bref, un cas d’école, un vrai protocole en double simple aveugle.

Car eh oui, le Venezuela réalise les mêmes performances que d’autres pays qui distribuent stupidement de la chloroquine, ce produit hautement toxique, mortel et inefficace, comme Cuba, Trinidad, la Jamaïque, l’Uruguay, le Nicaragua…

Tandis que les pays du coin qui appliquent les recommandations de l’OMS, confinement, paracétamol etc. Pérou, Argentine, Bolivie, Chili caracolent en tête du bilan mondial.

En réalité, la Colombie avait commencé par recommander la chloroquine. Puis, sur la foi d’une étude internationale démontrant à la fois son inefficacité et sa dangerosité, elle a décidé fin mai de la déconseiller fortement. Il est vrai que l’étude était en béton, puisqu’elle avait été publiée dans rien moins que le Lancet (eh oui, la fameuse étude adoubée par Véran le varan véreux)

La preuve de mes allégations complotistes est ici :
https://www.minsalud.gov.co/Paginas/Se-retira-recomendacion-de-cloroquina-hidroxicloroquina-y-lopinavir-ritonavir-para-tratar-covid-19.aspx

Mais d’après le site https://c19study.com/ , la Colombie aurait changé depuis peu de camp, puisqu’elle est passée du rouge au vert donc serait devenue pro-chloro (il y a 3 jours elle était encore dans le camp des anti). A vérifier.

Donc à suivre…

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