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Tests PCR

Tests PCR : dans le labo du Kansas, le CT s’élève à 42

Le délire des tests PCR dure depuis des mois alors que le problème fondamental de cette procédure a été exposé à de nombreuses reprises : c’est le réglage du CT (cycle threshold, nombre de cycles d’amplification) qui fait tout.

Au-delà de 35… le résultat sera positif mais il n’y a pas de virus concrètement dans le corps. Juste quelques fragments inertes.

Et pourtant, le prélèvement sera qualifié de “positif“, et alimentera les bilans horriques diffusés quotidiennement dans la plupart des pays occidentaux. Milliers, dizaines de milliers, centaines de milliers de “nouveaux cas“, qui s’amoncellent dans un tsunami couillonaviral destiné à foutre la pétoche au cheptel.

Or… ce sont pour la plupart des gens qui ne sont pas malades, et absolument pas contagieux, les fameux “asymptomatiques“… infectés par la terrible pandémie comme Noël est le 25 mars.

Tout ceci a été dit et répété par des scientifiques et même publié dans des grands médias (exemple cet article de New York Times en août).

Mais rien n’y fait.

On peut encore lire des documents officiels, récents (octobre !), qui donnent des détails invraisemblables sur cette gigantesque manipulation.

Exemple avec le Kansas.

Le département de la santé de cet état américain n’hésite pas à claironner que dans leur labo le CT des PCR est réglé sur… 42 !

A un tel niveau, même un caillou, le chien d’Olivier Véran ou un parcmètre sera “positif “… 😉

On comprend pourquoi le nombre de covicas explose outre-Atlantique…

Vous trouverez dans ma rubrique “Test PCR” d’autres articles démontrant le mécanisme et l’arnaque.

6 replies on “Tests PCR : dans le labo du Kansas, le CT s’élève à 42”

Excusez-moi pour cette question un peu hors propos. Le virus a-t-il muté ou pas ? Raoult dit oui, et qu’on peut l’attraper de nouveau, Perronne dit non, que lui l’a attrapé au printemps et qu’il est donc immunisé à vie. Pourtant ces deux médecins se soutiennent l’un l’autre. Deuxième question : si le virus a bien muté, le test PCR, correctement administré jusqu’ à 35 CT bien entendu, que détecte-t-il, l’ancien ou l’un des anciens (parce que selon Raoult il aurait muté plusieurs fois) ou le nouveau ?

Oui, il a muté. Raoult est très assertif à ce sujet. A Marseille, ils ont bel et bien eu des cas… contaminés 2 fois. La même chose a pu être constaté aussi dans d’autres pays.

Après, il y a mutation et… mutation.

Raoult et son IHU sont parmi les rares à faire des génomes de cette saloperie couillonavirale… Alors que ça devrait être une top priorité des gouvernements…

Un peu comme le bon et le mauvais chasseur du fameux sketch…

Quant à évoquer une immunité à “vie”… pas assez d’infos. Certaines études ont fait état d’une immunité très courte (quelques mois, faisant craindre d’ailleurs un four pour tous les vaccins).

Le couillonavirus est par définition (on purpose comme disent les ricains), FLOU.

Tout est fait pour rester dans le FLOU, permettant ainsi de construire tous les délires possible et imaginables.

Quant aux tests PCR, je n’ai pas la réponse. Ces tests ne font que repérer un petit morceau d’un brin de l’ARN du virus… En clair, 2 mutations peuvent partager ce même brin.

Ou pas.

Je vous rappelle que nous sommes (volontairement) infoutus d’édicter une norme CT pour les tests PCR… alors de là à ce qu’ils mettent d’accord sur le brin… Je serai pape à Rome, et François sera mon loufiat.

Plus que jamais… c’est le Fog Of War.

Concernant les PCR et les mutations : les labos testent trois amorces ADN, fragments courts et théoriquement spécifiques du virus. La première est utilisée pour le screening, la seconde pour la confirmation, la troisième pour confirmer la confirmation (je suppose…). Le hic est que la 1ere et la 3eme (vous suivez ?) ne sont pas très spécifiques du SARS COV 2, mais croisent avec les autres coronavirus (rhumes, il y en a 4). La 2eme est plus spécifique.
Au-delà du problème des CT, les labos ont pour consigne de déclarer positif tous les cas dans lequel un amorce est positive. Alors que la logique voudrait que ce soit la 2eme qui soit décisive. Du coup, avec l’arrivée de l’hiver et des rhumes, le nombre de positifs explose, et la spécificité (capacité du test à détecter les négatifs parmi les non-malades) de la PCR diminue. Ce qui nous fait un bon 99 % de faux positifs (je vous fais la démonstration plus tard, si vous voulez).

Concernant les normes CT, elles existent : les producteurs de tests donnent des seuil de positivité, en général entre 30 et 33. Mais les labos d’analyse s’en battent les noix avec une pelle à tarte. Sur consigne du gouvernement, ou tout simplement pour faire peur au bon peuple et continuer à tester en masse pour rentabiliser leurs grosses bécanes à PCR et ne pas perdre les tests qu’ils ont achetés et qui vont périmer bientôt…

Une norme qui existe mais qui n’est pas respectée… n’est pas une norme 😉

Ce n’est pas aux fabricants de donner des seuils… Mais aux autorités d’harmoniser tout ce bordel. Or personne ne bouge.

C’est là où le biz se combine à la propagande.

Les labos ont intérêt à faire des tests : pognon.

Les gouvernements ont intérêt à entretenir le flou : faire peur, et créer une cas-démie.

Rappelons que ce sont six sociétés financières qui “ramassent la thune” avec les tests.

https://www.bfmtv.com/economie/tests-covid-la-note-est-salee-pour-la-secu-qui-rembourse-350-millions-d-euros-par-mois-aux-laboratoires_AN-202009180252.html

Il y avait un instructif ( et très long) article du Dr Yeadon sur le site Lockdownsceptics ou il expliquait en détail la longue liste des problèmes techniques très pointus posés par l utilisation des tests PCR utilisés à une échelle industrielle et qui menaient à la certitude d’ être noyés sous les faux positifs, pas le temps de chercher là mais c’ était qque chose comme “The false positive PCR pseudo épidemic”

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