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L’aveu de l’OMS : la covidémence continuera en 2021 malgré les vaccins

Depuis le début de la covidémence, on nous bourre le mou : “seule planche de salut pour sauver la planète, l’humanité, les animaux, l’univers : les vaccins”.

D’accord.

Les vaccins sont enfin arrivés… Mais bien entendu… l’histoire a changé.

L’OMS lâche le morceau.

Alors que plus de 1,9 million de personnes sont décédées dans le monde depuis le début de la pandémie, il y a un an jour pour jour, l’OMS prévient que, malgré le développement des vaccins, l’immunité collective ne sera pas atteinte en 2021.(source Le Figaro)

Passons outre le fait qu’il s’agit de patascience, puisque aucune étude n’est capable de déterminer cette fantasmatique “immunité collective“, expression clé que la propagande répète sur les plateaux de TV ad nauseam.

Les crétins prennent un air profond en évoquant des pourcentages… mais ils n’en savent rien, en réalité.

Patascience, patacommunication, patapensée.

En revanche on comprend bien le message et la volonté derrière : la covidémence continuera jusqu’à fin 2021, et bien entendu au-delà.

Fin 2021  on nous annoncera que le mutant… a muté, ou que la variant a varié, et qu’il faut donc revacciner la planète entière.

Rincez, injectez, répétez.

7 replies on “L’aveu de l’OMS : la covidémence continuera en 2021 malgré les vaccins”

On assiste clairement à une fuite en avant du système.

Résumons : depuis, mettons quelques dizaines d’années (même si les racines idéologiques sont bien plus anciennes), s’est mis progressivement en place un mouvement mondial visant à contourner les volontés populaires et à détruire les nations en tant qu’entités souveraines et indépendantes.

Ce mouvement étant par nature antidémocratique (puisque les gens n’en veulent pas), il ne peut tirer son pouvoir – temporaire, car il chutera comme tous les autres – que de la fiction de son caractère inéluctable : autrement dit, “ça ne vous plait pas – même si ça devrait, vous êtes vraiment des crétins -, mais de toute façon il n’y a pas d’autre choix, c’est le sens de l’Histoire, de la Science, etc”

Or, pour pouvoir maintenir cette fiction, la première condition indispensable est que ce système ne se déjuge JAMAIS, même face à des absurdités évidentes comme celle à laquelle on assiste aujourd’hui.

Dans un monde “normal”, lorsque le pouvoir déraillait, il finissait quand même par y avoir des contre-pouvoirs qui s’élevaient pour arrêter le truc, juger les coupables et repartir sur des bases saines.

Ce qui caractérise notre monde depuis quelques décennies, c’est qu’on ne voit plus JAMAIS des responsables démissionner pour avoir failli, et encore moins aller en prison (je parle de vraies responsabilités dans la conduite d’une politique, pas le fait d’aller en prison pour une histoire de fisc ou autre)

On ne voit plus JAMAIS des institutions et des contre-pouvoirs à l’oeuvre pour dire “ok, on a merdé, on va faire le ménage”. Ou même ne serait-ce que simplement faire un mea culpa, et changer de politique.

C’est je pense, la conséquence (et quelque part aussi, la preuve) du caractère illégitime des dirigeants occidentaux actuels. Lorsqu’on n’est plus légitime, on ne peut régner que par la peur et la réécriture permanente de la “vérité”, comme Georges Orwell l’avait si bien analysé : la vérité n’est plus extérieure à nous, elle est ce que dit le Parti. Il a donc par définition raison, et ne peut jamais se déjuger.

Mis en application sur la covidémence, c’est évidemment très clair : le covid est une horrible pandémie plus dangereuse que n’importe quelle autre maladie, calamité, ou mesure qu’on pourra prendre, et donc, quoi qu’il arrive, on continuera à vous en mettre plein la gueule, parce que sinon ça donnerait l’impression qu’on s’est plantés sur notre diagnostic initial.

A mon sens, ce phénomène de “non déjugement”, indispensable à la survie du système, constitue un aspect indépendant des choses, qui s’ajoute au fait que la covidémence permet par ailleurs d’accroitre le contrôle des populations, de détruire les libertés, etc.

Autrement dit, même si la covidémence n’avait pas ce caractère liberticide, ce phénomène serait quand même à l’oeuvre, car on l’observe désormais systématiquement, même pour des sujets secondaires ou des petites mesures sans grande importance : quel que soit le sujet, on constate maintenant que JAMAIS une mesure inefficace ou absurde n’est remise en question, car cela nécessiterait de se déjuger et c’est trop dangereux pour un pouvoir dont l’illégitimité est devenu manifeste.

Là où voyait des “erreurs” et des réactions du type “ne pas perdre la face”, “donc on double la mise”… je vois plutôt une véritable stratégie avec des tactiques aux petits oignons.

Pour synthétiser : je n’achète plus l’idée des “bourdes”, des “ils sont allés trop loin”, “ils se sont plantés” etc.

Partout, sur tous les sujets, on constate au contraire une grande maîtrise (de la psychologie et des techniques 2.0 de contrôle social). Trump 2016 fut pour le coup une véritable “bourde” du Système.

Ne me dites pas que les 4 dernières années n’ont pas démontré la parfaite (et ultra violente) reprise en mains… Apothéose avec le pseudo incendie du Reichstag… Et Trump viré de la Maison Blanche bien entendu.

Voilà pourquoi je suis perso pessimiste et je ne vois pas le début d’un commencement de défaite pour les Système globaliste.

Ils avancent. En mode bulldozer, et chaque victoire n’est pas linéaire… Ca s’accumule et fait effet de levier pour préparer les suivantes.

La preuve est bien entendu la covidémence (levier parfait et surpuissant pour leurs prochaines victoires et projets démentiels : passeport vaccinal, démolition des petites entreprises, mise en esclavage du cheptel, disparition du cash, etc.)

Oui, j’ai bien compris votre position, en ce qui me concerne, je suis un peu entre-deux : je pense qu’il y a une partie “bourde” initiale (liée également à notre obsession sécuritaire dans tous les domaines), qui s’est très vite transformée en occasion inespérée d’avancer les différents agendas liberticides.

Même Macron en février nous disait d’aller au théâtre et de ne pas avoir peur du Covid, qu’on aurait une immunité collective, etc. Il n’avait pas encore compris (enfin, on l’avait pas encore briefé) l’occasion inespérée que cela représentait.

Ou alors… c’était du vice : pour bien étaler le virus…

On se souvient que l’OMS a résisté jusqu’en mars à utiliser le qualificatif de “pandémie” et à ce titre les fermetures des frontières fut une idée combattue (sur ordre de la Chine).

Encore une fois une heureuse coïncidence, une “bourde” qui… se révèle servir les intérêts du Système.

Tout dans la covidémence fonctionne de cette manière. A chaque fois, comme par hasard, les événements et les actions n’ont qu’une seule direction, un seul sens.

Voyez la couverture de The Economist « The world in 2017 ». Le titre est trompeur. L’annonce carte Etoile marque le début (à droite), les photos dans les petits soleils (annonce de la fin pour eux). L’Ermite, connaissance cachée (foule manipulée, encadrée, dirigée), le but étant la destruction de l’Occident en bas de la falaise. Neutralisation de la volonté démocratique par le moyen de l’UE (Roue de fortune). Le projet du Nouvel Ordre mondial (carte Monde), avec en primauté la connaissance de la maîtrise de l’individu (livre ouvert + portrait encadré). L’imposteur appuie sur le bouton « en marche » et les confinements qui apparaissent (Magicien). L’élection américaine 2020 « manipulée » pour faire court (Jugement). Les pestilences (moustiques), l’effondrement économique (source tarie), et autres détails (carte Mort). Bien d’autres choses, avoir un bon sens de l’observation permet déjà de voir beaucoup. Pour la philosophie générale du message (en gros, « monde-d’avant » remplacé par le « monde-d’après »), il faut connaître un minimum le symbolisme, le Tarot de Marseille, des dates sont signifiées qui renvoient à des messages médiatiques officiels, beaucoup de références ésotériques aussi. Tout a une signification, couleurs, course du soleil dans toute les cartes de droite à gauche,.. Trop long à approfondir et détailler ici.

Mais bon, c’est juste un message présenté singulièrement sur cette couverture, parmi tant d’autres faits notables. Rien n’est vraiment caché.

Précision juste sur la carte du Magicien pour répondre à votre commentaire. Elle correspond au Bateleur du Tarot de Marseille. Retrouvez la signification de ses attributs physiques et mentaux sur n’importe quel site de tarots. Voyez le détail du dessin montrant comme il est téléguidé pour effectuer sa mission. Le signe au-dessus de sa tête (un 8 horizontal) signifie qu’il est sans limite. Le cercle jaune autour de sa tête représente le soleil et voyez à quel pays le soleil correspond sur la carte à sa droite. La figure féminine représentée est la candidate vaincue du second tour (rappelez-vous l’affaire Fillon et la prestation « calamiteuse » au débat d’entre deux tours). Retour sur la carte du Magicien qui appuie sur le bouton « en marche » (« parce que c’est notre projet ! »). Les immeubles sans fenêtre sur le tapis roulant signifient les confinements. S’il a été choisi, c’est parce que le « Magicien » est né un 21 décembre, jour où le soleil renaît de ses cendres. Il faut ici comprendre les dessous philosophico-religieux, l’esprit qui anime les auteurs des évènements. La couverture a été publiée fin 2016. Voyez le clin d’œil, un an plus tard : https://www.20minutes.fr/monde/2191519-20171220-the-economist-designe-france-pays-annee-2017

On peut attribuer à la paire Jugement (chiffre 20 du tarot) / Magicien (Bateleur chiffre 1), l’année 2020, année où Trump remet sa couronne en jeu (dessin de la carte Jugement). On obtient ainsi la date du 20/01/2020. Lundi 20 janvier 2020 (Le Figaro) : « Le président chinois Xi Jinping a donné lundi le signal d’une mobilisation du pays pour enrayer «résolument» la propagation du nouveau virus qui a fait trois morts dans le pays depuis décembre et a commencé à contaminer les Etats voisins. »

La 4ème paire (Tour / Mort) correspond à 2021. Il me semble plus probable, à la mesure des évènements qui se dévoilent sous nos yeux, d’interpréter les 2 moustiques par les 2 injections des vaccins ARNm.

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