Categories
Mutants Pays

Le bal des covivariants : une histoire belge

Le pays de Tintin a enfin son mutant. Un gros champignon avec une sale gueule. Même Milou est effrayé et réclame son vaccin (enfin plutôt son booster) !

Dès que je parle de la Belgique, c’est plus fort que moi, j’hyperventile.

Les Belges occupent une place de choix dans mon panthéon perso de la veulerie et de la neuneuitude.

Ils figurent parmi mes têtes de Turc préférées.

D’où ma joie intense à la lecture de cette niouze covidémentielle :

Covid-19 : faut-il s’inquiéter de l’apparition du nouveau «variant belge»?

La souche découverte à Liège présente des mutations inédites. Elle est responsable d’environ 4% des contaminations en Belgique. (source le Figaro)

Que la Belgique puisse être “souche” de quoi que ce soit est déjà un motif d’émerveillement.

Mais comme d’habitude Le Figaro fait le boulot : avec un gros point d’interrogation… C’est important le point d’interrogation…

Mais comme vous le savez les Belges, en tout cas à Bruxelles et la Wallonie, comparent sans arrêt leur nombre de couilles avec les Français. D’où leur obsession suiviste.

La semaine dernière on apprenait la découverte d’un variant breton, aussi français qu’indétectable…

Pouf, les Belges devaient suivre.

Le B 1.214 – ou «variant belge» représente aujourd’hui près de 4% des cas de Covid-19 séquencés dans le «plat pays», loin derrière le mutant britannique (70% à 75% des cas). S’il intrigue les chercheurs, qui s’apprêtent à publier cette découverte, c’est parce qu’il présente un fonctionnement inédit de mutations. «Du jamais vu jusqu’ici», affirme Vincent Bours, le responsable du laboratoire d’analyse et de séquençage du virus de Liège, interrogé par nos confrères du Soir. Cette nouvelle souche ne se comporte pas comme les autres. Habituellement on observe une perte de fragments ADN au gré des copies. Le variant belge, lui, au contraire, concentre de nombreux ajouts : «une insertion de neuf nucléotides à la séquence de la protéine Spike», pointe le chercheur belge.

Mettons les choses au clair : je vous rappelle que tout ceci ne veut rien dire.

C’est de la patascience.

Mais l’essentiel est de savoir que :

-c’est effrayant. Par principe. Car c’est un mutant. Et donc, ça fait peur.

-le variant pourrait être, au conditionnel toujours, plus contaminant, plus meurtrier, plus méchant, plus résistant aux fameux “vaccins” et autres saloperies géniques.

-permettant donc de justifier (principe de précaution ma bonne dame !) toutes les mesures liberticides.

Rincez, répétez.

Je vous rappelle que je possède un doctorat en covivariants… et que je fus le premier à annoncer la venue des variants du Cantal, sans oublier l’albanais (très vicelard) ainsi que le somalien (très, très noir).

POST SCRIPTUM

J’aurai dû le faire plus tôt : créer une catégorie “Mutants”.

La belgitude m’a tiré de ma torpeur printanière…

C’est chose désormais faite.

Tant ces saloperies, instrumentalisées par tous les gouvernements,  constituent désormais le réacteur nucléaire de la covidémence.

Pour finir sur de la bonne humeur, et boucler sur la belgitude.

Oui. Ceci est un vice premier ministre belge…

8 replies on “Le bal des covivariants : une histoire belge”

On annonce un nouveau variant né d’une double contamination par le sud-américain et le breton, il été nommé le Chili-Concarneau… (je reconnais un honteux plagiat, mais je n’ai pas retrouvé la source originale)

Chili konkarneau groupe de salsa de Concarneau dont j’ai été l’un des précurseurs il y a quelques années.
Bon ,que devient le variant breton???On veut étouffer la province ou quoi?

Il s’est étouffé en bouffant du gâteau breton, en picolant du cidre coupé à l’alcool de choux fleurs, et en fumant du tabac brun comme un pompier.

Avantage : il restera “indétectable”… puisqu’il sera mort.

Je vous trouve bien cruel avec mes compatriotes, nous qui avions l’arme ultime contre le covid dans les transports en communs.
” Comité de concertation : à partir du 3 avril, les adultes ne peuvent s’asseoir que du côté fenêtre dans les trains vers les lieux touristiques”
Un communiqué du ministre de la Mobilité, Georges Gilkinet, donne davantage de détails : “La SNCB a fait de nombreux efforts ces derniers mois pour permettre à chacun de voyager en toute sécurité. Aujourd’hui, vu la forte circulation du virus, le Comité de concertation a décidé de prendre de nouvelles mesures afin de limiter encore la propagation du virus. Concrètement, sauf pendant les journées scolaires, à partir du 3 avril, seules les places assises situées à côté des fenêtres pourront être utilisées pour voyager en train à destination de et de retour des lieux d’affluence touristiques”, écrit-il.

Moi, j’attends le variant du Gévaudan, celui qui vous fait exploser la tête de suite en 1 ms… À la rigueur, le Mobutu blanc, celui qui tue les noirs de stupeur et de frayeur. Le Mobutu noir, c’est une douceur…

Leave a Reply to De Spountz Cancel reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *