Vénézuéla : même pas foutus d’instrumentaliser le virus

J’ai parlé de l’angle géopolitique… qui devrait pousser la Chine et/ou la Russie à dynamiter la covidémence occidentale.

Sans oublier, des pays plus petits pays comme l’Iran (qui subit les assauts des Etats-Unis… depuis 40 ans) ou encore le Vénézuéla (écrasé par son grand voisin au nord…).

Voici en gros le plan, pour tout responsable politique :

• lire les études sur Internet
• les faire traduire par Google car on parle anglais comme une chèvre 😉
• comprendre qu’il y a un coup fumeux à faire… qui pourrait dynamiter l’arrogance de l’Occident… qui ne coûte rien, et qui n’est pas dangereux : foncer sur l’ivermectine, la distribuer gratuitement, mobiliser ses médecins, ses chercheurs… Et démontrer ainsi au monde la corruption ontologique de l’Ouest… Démolir la covidémence et les vaccins des Occidentaux…

Ce plan est d’une simplicité biblique. Enfin disons plutôt marxiste, vu le contexte. 😉

Et ? Silence dans la salle…

L’Iran commence lentement (mon article ici)… Mais le Vénézuéla… Voici ce qu’ils font en lieu et place…

Le Parquet vénézuélien a ouvert une enquête sur les pratiques du maire de la commune de Sucre, à 300 kilomètres à l’ouest de Caracas, qui avait commencé à marquer les maisons de malades du Covid-19, a annoncé mercredi 7 avril le procureur.

Luis Adrian Duque, maire pro-Chavez favorable au pouvoir, marquait «de manière macabre les maisons de patients souffrant du Covid-19» dans le cadre d’une campagne de prévention, a écrit sur Twitter le procureur Tarek William Saab.

(source Le Figaro)

Cette nouvelle illustre le drame de ce pays : une élite imbécile, dégénérée.

Chavez était malin. Un vrai talent… Disruptif. Mais la clique de crétins qui l’a remplacé… Une bêtise affligeante. Des révolutionnaires en carton, des socialistes d’opérette. Avec de tels pieds nicklés… inutile de faire la guerre…

Les Etats-Unis savent que ce pays, même sans pression, est en train de se suicider !

Donc voilà, le pseudo révolutionnaire Duque dans une ville moyenne du Vénézuéla (état de Yaracuy) qui prend des décisisions aberrantes, et est incapable de voir le boulevard qu’il a devant lui, dans la lutte contre la covidémence.

C’est le second versant de la covidémence, hélas : l’exploitation calculée, cynique, millimétrée de la bêtise crasse humaine.