Dans la foulée du témoignage d’un médecin au Zimbabwe, voici le témoignage d’un médecin en Inde.
L’ivermectine sauve l’Inde.
Le 22 avril, l’AIIMS (All India Institute Of Medical Science) de New Dehli a approuvé l’ivermectine. Ca change tout.
Dans 2 semaines, ce sera terminé.
I asked a doctor in India (a fellow who is on the ground and not compromised – unlike most of those reporting on what is happening in India) about what was occurring there with COVID-19 and #Ivermectin, and this is what he explained to me. pic.twitter.com/5yIwsjWckT
— jay sanchez (@jaysanchezdorta) April 25, 2021
Ce qu’il dit au niveau de l’oxygène est intéressant. On verra si sa prédiction se réalise.
Concernant la campagne de propagande menée contre l’Inde… lire mon article ici.
Je signale enfin un excellent article consacré… au Brésil publié sur Contrepoints.org.
Brésil et Inde se ressemblent (vaste état fédéral, larges pouvoirs aux provinces, structures de santé aléatoires, etc.), et surtout même propagande covidémentielle.
Cette campagne s’attaqua d’abord aux Etats-Unis sous Trump, puis le Brésil (de Bolsonaro, méchant car de droite et covisceptique…) et maintenant l’Inde.
Toujours les mêmes ressorts : focus sur les chiffres bruts, car ces pays ont une population importante.
“300 000 cas par jour en Inde !” hurle la presse… pour 1,3 milliard d’habitants… alors que la France avec ses 67 millions d’habitants enregistre 30 000 cas par jour, c’est à dire en proportion 2 fois plus !
Donc si c’est l’apocalypse en Inde, quel mot faudrait-il utiliser pour la France ? 😉
Pour le Brésil à l’époque, la presse française mettait en avant les “3 000 morts par jour“… pour un pays de 211 millions d’habitants. Idem pour le bilan total des Etats-Unis (“le cap des 500 000 morts franchi ! Maman au secours ! Appelez les Décodeurs du Monde et de Libé ! “).
Plus c’est gros, plus ça glisse, pas besoin de gel hydro… lubrifiant.
6 replies on ““L’ivermectine sauve l’Inde””
Comme vous le dites, plus c’est gros…
“auliviaitvairan”, il n’y a pas un synonyme? “véreuxlouvretoutgrandeetçapue”.
Mon hindi à la grande époque des “Langues O” est plutôt… rouillé.
Je ne peux donc pas vous répondre précisément.
Reporage vers midi sur rance-infaux:une journaliste indienne,éplorée,nous livre un témoignage poignant:sa tata est sur le point de mourir,l’hôpital lui signale qu’il ne peut la prendre en réa et lui demande de fournir 6 doses de …Remdesivir!Ne rions pas,ce sont nos impôts qui nourrissent ces medias de merde.
Remdesivir… ils veulent la tuer. Pourquoi pas du Rivotril tant qu’on y est?
Rance-infaux est une officine de propagande, pas un média d’information. Ils se contentent de répercuter les éléments de communication officiels, tant de l’État que des firmes.
Un élément qui accrédite ce témoignage, c’est l’histoire de l’oxygène, puisque j’ai vu que la France envoyait son aide.
https://www.france24.com/fr/asie-pacifique/20210426-covid-19-comment-l-inde-s-est-retrouv%C3%A9e-%C3%A0-court-d-oxyg%C3%A8ne
L’histoire de l’ivermectine rappelle celle de l’HCQ dans d’autres pays.
D’abord employés avec de bons résultats dans plusieurs pays, ces médicaments se sont vus déconseillés par les autorités, les médecins et les pharmaciens se retrouvant sous pression. Résultat, flambée de la covid. Puis retour au médoc.
J’avais déjà cité la Colombie, c’est arrivé en Uruguay, semble-t-il au Vénézuéla, et au Brésil. Il ty en a certainement beaucoup d’autres.
Sur un autre site, j’ai lu le témoignage d’un médecin à la retraite, sans doute franco-brésilien, ou français ayant exercé au Brésil. En vacances là-bas, bien que l’HCQ n’y soit pas interdite, il a eu un mal fou à s’en procurer pour sa femme, malgré l’ordonnance à l’appui. La pharmacienne lui demandait de remplir un formulaire pour justifier de l’emploi, de la raison, etc. Finalement il a réussi à la convaincre de la lui donner sans la paperasse, apparemment très décourageante. Bref, c’est pas interdit officiellement, mais on décourage et on met des entraves… Et le virus flambe.
Il est clair qu’il y a des pressions ou du lobbying au sommet pour écarter tout traitement présentant un risque, celui d’éventuellement soigner et guérir. Et la diffusion d’une désinformation maximale auprès des médecins pour les dénigrer.
Évident quand on voit a contrario la réception favorable de l’inefficace et dangereux Remdesivir.
Au bout d’un an, ça devient gros comme le nez au milieu de la figure de Castex.
Mais ce qui est extraordinaire, c’est la globalité du phénomène, et sa simultanéité.
Quand on pense que même les Iraniens ont été intoxiqués (dès le début, ils ont participé aux essais remdevisir !!!! ils ont même construit une usine pour le fabriquer).
https://covidemence.com/2021/03/29/fascination-iranienne-du-remdesivir-a-livermectine/
C’est stupéfiant. Alors que les Perses, par la force des choses, sont hyper paranoïaques (à raison…). Là, ils sont tombés dans le piège des deux mains et des deux pieds.
Seuls des petits pays du tiers monde relèvent la tête exemple Zimbabwe… (mais là aussi il aura fallu attendre fin janvier 2021 pour que les autorités disent “ok y’en a marre, ok pour l’ivermectine”) !
Et de manière très pratique… c’est uniquement parce que des membres du gouvernement sont morts du covid… Disons que ce fut l’élément déclenchant.
https://www.aa.com.tr/en/africa/zimbabwe-oks-use-of-ivermectin-after-officials-deaths/2125442
Plus que jamais, la covidémence est une opération unique dans l’histoire, en raison de son étendue, de sa puissance.