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Vaccinogag : épidémie de sérum physiologique

“Je m’appelle Olivier Variant, et j’approuve ce message”

Encore !

Au moins six personnes venues au centre de vaccination de Deauville ont reçu du sérum physiologique au lieu de Pfizer.(source Sputnik)

Le gag se reproduit.

Une erreur qui posent pourtant des questions, car il ne s’agit pas d’un cas isolé. À Épernay, dans la Marne, 140 personnes ont reçu le 20 avril du sérum physiologique et 54 à Châtillon, dans les Hauts-de-Seine.

Le meilleur système de santé que le monde nous envie, une fois de plus, se distingue.

Baltringuitude à tous les étages…

Tout est parfaitement cohérent.

Ou alors… il s’agirait de groupe de covirésistants… qui saboteraient délibérement les vaccinations ?

On peut toujours rêver… 😉

4 replies on “Vaccinogag : épidémie de sérum physiologique”

“Baltringuitude à tous les étages…”
Et a coté ,Dickus se la joue air martial et premier de cordée.
Qu’est ce qu’il a réussi depuis les 10 ans qu’il est aux manettes?
Rappelons que sous flamby il était conseiller économique puis ministre de l’économie.
Je le répète,Dickus et castex sont de vulgaires cancres.Mais il en reste encore beaucoup qui les prennent pour des gens intelligents et qui les respectent!
Dangereux certes,mais pas intelligents.
Etre aux responsabilités,cela implique de réussir au moins une action valide de temps en temps.
Ils en sont tout simplement incapables.

Franchement, d’un point de vue strictement industriel, je me pose des questions.
Quand on trouve des lots non-conformes sur le marché, soit parce que contenant des impuretés, voire carrément une dose inappropriée (hors spécification, soit avec trop, soit trop peu de matière active), c’est le signe que leur process de fabrication présente de graves lacunes, et c’est très inquiétant. Il faut arrêter immédiatement les opérations. J’ai travaillé longtemps dans les processus industriels, et ces processus sont extrêmement importants si on veut avoir une chaine de fabrication cohérente, avec de nombreux sous-traitants, sans accident industriel.
Ce cas-ci est particulier. On pourrait penser à un sabotage délibéré (ça y ressemble), mais le plus inquiétant c’est que ça n’ait pas été détecté plus tôt, car ça signifie qu’il y a une faille gigantesque dans les systèmes qualité.
Le résultat: lorsque vous avez une ampoule de ce vaccin, il vous est impossible de savoir ni si le produit est conforme à son cahier des charges, ni, ce qui est un comble, s’il contient le produit que vous attendez. Donc vous ne l’injectez pas. Tout comme si vous ignorez si une bouteille contient de la limonade ou de l’eau de javel, vous n’en buvez pas. Vous attendez d’avoir établi une certitude avant de faire quoi que ce soit.
Un seul incident de cette nature dans un cadre industriel (pour un produit potentiellement dangereux comme une voiture, un avion ou un médicament) implique une seule et unique réaction, à l’exclusion de toute autre: l’arrêt immédiat de la distribution, le rappel de tous gens qui ont utilisé le produit pour contrôle individuel, et le contrôle de tous les lots en circulation, un par un.
On ne redémarre les chaines de production que lorsque le défaut a été trouvé, corrigé et remédié. Ou si on n’y arrive pas dans des délais raisonnables, chaque specimen sorti des chaines doit être contrôlé individuellement.

Toute autre attitude que celle-là est criminelle.

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