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L’atavisme gauchisant : de quoi suis-je le nom ?

Toujours cette filiation gauchisante dans la covidémence. Evidente. Depuis le début.

Dernière preuve en date : l’OMS, temple du covidémentialisme, préconise de piocher dans l’alphabet grec… pour nommer les variants, au lieu des mentions géographiques, afin d’éviter la “stigmatisation” et la “discrimination” (source Le Temps).

Pauvres biquets.

Le variant anglais (dit la Pédale Du Kent), le variant sud-africain (dit le Mobutu Noir), le variant breton, le variant indien et tous les gazillons d’autres… c’est pas cool.

C’est rawcîste. C’est mal.

Donc l’OMS voudrait que l’on utilise à la place : “Alpha”, “Bêta”, “Gamma”, “Delta”, etc.

Ben voyons. Tu m’en diras tant.

Nous avons une réponse à faire aux neuneus glandus woke de l’OMS et tous leurs complices, clients ou affidés.

Marsault, ça le fait bien. (note de mon stagiaire illustrateur chinois : j’ai longuement hésité avec le “enculé va !” de Marsault)

7 replies on “L’atavisme gauchisant : de quoi suis-je le nom ?”

le “enculé va!”, je crois qu’il est plutôt de Papacito. Mais bon, Marsault, Papacito, les deux font la paire. Oui oui, cette paire là qui pendouille et qui emmerde les gauchistes 😀

On voit un partout fleurir ces appels à la “justice”…On nous promet même des “procès Nuremberg”.

Deux remarques.

La première -et c’est facile à comprendre grâce à Nuremberg justement- est que la “justice” est faite… par les vainqueurs. Et jusqu’à maintenant, nous sommes les perdants magnifiques… La covidémence écrase tout.

La seconde… eh bien idem que la première. 😉 La “justice” est un instrument. Qui contrôle cet instrument… détient le véritable pouvoir.

Là encore, citez moi une décision de “justice” en Europe… qui aille dans notre sens ? Je ne parle pas d’un petit juge, au premier niveau (on peut encore en trouver d’honnêtes).

Même le Conseil constitutionnel (“se prononce sur la conformité à la Constitution des lois et de certains règlements dont il est saisi“)… a validé le passe sanitaire… sans aucune difficulté.

Et au passage… le scandale médiator… Combien de temps la “justice” a mis pour traiter ce paquet de merde (puisque on parle de scandale sanitaire)…. ?

Bref, tout ça c’est du caca en boîte.

Le coeur est politique. Si nous remportons la victoire politique, alors nous aurons la victoire judiciaire, alors la “justice” pourra passer. Et durement même (rétablissement de la peine de mort).

Mais en attendant, ça relève du fantasme pour Cindy (ou Kevin) de banlieue qui se met sur son 31 un vendredi soir, afin de “conclure“. 😉

Quand te reverrai-je pays merveilleuuuuuuuuuuuûx !

Oui, bien sûr, la victoire sera politique. Après, tout est bon à prendre pour faire parler de notre cause, même s’il s’agissait de peindre des graffitis.

Côté politique, justement, je pense quand même que le vent commence à tourner. Le grand patron de l’occident (qui l’est encore pour un moment) a quand même rouvert totalement la moitié de ses États, interdit le pass bidule au niveau fédéral, et réaffirmé malgré tout les principes fondamentaux de liberté.

On peut se dire que ca ne va pas durer mais je ne pense pas. Je vois mal le Texas ou la Floride faire machine arrière. Nous avons la chance que la polarisation politique du sujet (pro Trump = anti covidement) fasse que la moitié du pays va rester durablement braquée contre cette folie. Surtout avec les histoires électorales qui ont rendu les gens furieux. Cette grosse moitié de l’Amérique est désormais impossible à manipuler et au bord de la sécession. C’est un échec et mat pour l’Etat profond covidementiel : stratégiquement, ils ont perdu, même si à court terme on aura encore des escarmouches, voire quelques batailles.

De Gaulle savait déjà en 40 que la guerre serait gagnée a cause des forces en présence. La seule inconnue c’était à quel prix et avec quelle place pour la France. Je pense que c’est la même question aujourd’hui.

Il n’y aura aucune victoire politique, tout est verrrouillé, les candidats sont selectionnés en amont et l’Elu est coopté par l’entrisme qui détient le pouvoir depuis plus de deux siècles et qui a étendu ses ramifications dans le supra national.

Le seule victoire possible, elle est culturelle, par la connaissance.

Mais le combat est rude, car en face, c’est l’EN et le formatage idéologique des vainqueurs, en plus de la propagande médiatique au service du pouvoir profond.
Combien de zombies vous accusant de “complotiste” pour une réinfo médiatisée par une seule personne ? Ca doit être d’un rapport de 1 pour 100 0000 et encore, je n’évoque pas la censure…

Le rapport des forces restera en état tant que l’Homme n’aura pas pondu une dialectique concurrente à celle du libéralisme (néo libéralisme) sur le triptyque (économique, culturel et social).

Le communisme a tenté de le faire, mais il fut défait par son aporie, brèche exploitée par la secte mondialiste.
Quant au national-socialisme, il fut vaincu au prix d’une boucherie sans nom, enfin, au nom du monde libre, rétrospectivement, la meilleure chose qui soit arrivée pour inscrire le monde dans le progressisme gauchisant, comprendre le capitalo-bolchévisme qui domine la pensée occidentale.

Un nazistan impose une bureaucratie soviétique ou chinoise au service de la violence du grand Capital et à chaque crise dont il est responsable, il en profite pour justifier le renforcement de l’étatisme, comprendre la restriction des libertés, ce qui constitue un hommage muet à Lénine.

Relire l’histoire du pasteur évangélique Ruben Seillens et les interconnections avec l’ésotérisme judaïque, pour comprendre comment on en est arrivé là, avec cette covidémence dont les arcanes de fonctionnements sont indiscutablement sectaires, le tout au sein des prétendues démocraties, inflitrées depuis belle lurette par l’idéologie libérale-progressiste.

Comme beaucoup d’autres, j’oscille entre des périodes de pessimisme profond (du style de Frank Boizard, que j’apprécie beaucoup), et des périodes plus optimistes, où de la même manière que de Gaulle avait compris que le nazisme portait en lui les germes de sa propre destruction, et qu’il n’avait aucune chance de régner durablement, vu qu’il n’était basé que sur le pillage, et comme le dit Bruno, plus simplement en regardant les forces en présence.
De la même manière, je pense que le succès actuel de la covidémence ne s’explique que par une société à bout de souffle, hédoniste mais ruinée, qui ne croit plus en rien, ne produit plus rien, est incapable de se défendre et qui pleure de trouille devant la finitude de la vie humaine, qu’elle préfère nier. D’où cette espoir qu’ils ont qu’ils échapperont à leur destin grâce à une vaccination perpétuelle, fruit de la Science érigée en religion.
Mais par définition, cette covidémence n’a aucune perspective d’avenir, elle ne peut qu’être renversée par un événement extérieur. Sa fragilité est extrême.
C’est pourquoi entre deux moments de découragement, j’en arrive parfois à reprendre espoir, en me souvenant que seul un petit nombre de personnes écrivent l’histoire. Il n’est pas nécessaire de rassembler 80% de la population, quelques pourcents suffisent. Les autres étant pétrifiés de terreur, commenceront par soutenir le régime en place de peur de tout perdre, et une fois que ça commencera à se lézarder, ils s’enfuiront en courant, et n’auront plus aucune espèce d’importance. Seuls de très rares les suivront à Siegmaringen, et beaucoup d’autres rejoindront nos rangs en cours de route.
L’espérance n’est pas un optimisme, mais un désespoir surmonté. (Bernanos)

“Mais par définition, cette covidémence n’a aucune perspective d’avenir”

C’est là ou vous faites une erreur.
Covid-19 est un point d’intersection entre deux cycles paradigmiques civilisationnels : https://www.youtube.com/watch?v=LUrW8U5T3O8

Alors dans sa conférence, si Halevy n’évoque pas explicitement l’hypothèse pandémique comme point d’intersection , c’est parce que cette conférence se situe deux ans avant 2020 et qu’il ne peut pas le faire incarner sans passer pour un prophète auto réalisateur.

Mais cette opportunité que crée cette psy-op est bien réelle, dans le jargon, elle se somme “kairos” et c’est maintenant.

Le “Great Reset”, dans sa déclaration grandiloquente pour les médias, ce n’est qu’un arbre qui cache la forêt de solder l’ancien monde et ses référentiels philosophiques, scientifiques et économiques.

Cela va au delà du caprice financier d’une oligarchie.

C’est le projet idéologique qu’évoque, par exemple, Macron.

Ils “pensent” destin de l’humanité à notre place, tout simplement.

Une secte.

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