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Pays Saloperie et sida mental

Sydney : un mois supplémentaire de confinement

Russell Crowe est australien. Ah non désolé, il est néo-zélandais. Bon c’est kif-kif au niveau covidémence. 😉

Vu et revu. Mais à chaque fois… on se pince d’incrédulité devant les ravages de l’idéologie “Zéro Covid” qui affecte durement les pays asiatiques et du Pacifique.

Millions of Sydney residents will spend another month in lockdown, authorities announced Wednesday, citing a still-growing coronavirus outbreak and low vaccination rates.

Australia’s biggest city had been due to exit lockdown on July 30 after five weeks but the restrictions will remain in place until August 28 as case numbers continued to climb. (source Bangkok Post)

Boum… 5 semaines déjà… les Australiens crétins en reprennent pour 4 semaines supplémentaires !

Bravo.

Quand on aime on ne compte pas. Ou plutôt on ne compte plus.

Cela concerne 5 millions de personnes (agglomération).

Comme d’habitude on s’interroge : les cadavadres doivent forcément s’empiler dans les rues pour justifier une telle politique ?

Euh… non.

Là, c’est chaud… ils ont 177 nouveaux cas…

Selon la loi de la Course à l’Echalote, on attend à présent la réaction du premier ministre de l’état de Victoria, le sinistre Andrews…

Pépère n’acceptera pas longtemps de se faire distancer (le confinement vient de prendre fin dans son état… intolérable).

8 replies on “Sydney : un mois supplémentaire de confinement”

La psychose sanitaire a fait exploser le vernis démocratique (le réel apparaît désormais dans toute son horreur). Les kiwis et aussies sont bien partis pour dépasser à très brève échéance les concepts de gestion des populations du Parti communiste chinois.

Espérons qu’oncle Xi sache les modérer.

Ce n’est pas autant que les Australiens se précipitent dans les centres de vaccination à ce qu’il semble. Vraiment ras le bol maintenant, dire qu’en 2021 je n’en pouvais déjà pas de la Bachelot, ses vaccins et sa grippe H1N1 : ce n’était pourtant rien à côté d’aujourd’hui! Hier j’ai regardé un peu les données épidémiologiques de Singapour, comme Israël ils ont commencé à vacciner les 12-18 ans il y a 2 mois, résultat maintenant tous les jours ils ont leur lot d’ados à 1 ou 2 doses dans les nouvelles contaminations (hier 3 vaccinés, 11 à 1 dose et 8 pas vaccinés qui ne seront pas plus malade que les autres ni moins asymptomatiques), et globalement c’est 44% de doublement vaccinés qui attrapent quand même la covid, dans un pays où l’on n’est guère mort de cette infection est-ce que tout ce bin’s vaccinal tient debout??? Quel est le taux de formes graves chez les contaminés? 3% grand maximum et on a le culot de vous parler de la santé de tous alors qu’après 18 mois d’épidémie la quasi totalité de la population mondiale n’a même pas attrapé ce virus – ou alors ne s’est rendu compte de rien!

Pfff, Docteur va falloir vous renouveller : vos billets se répètent et il n’y a aucun suspens dans le feuilleton 😉

Vous avez raison.

Mais :
-cette répétition reflète celle des événements
-et surtout : cette répétition est elle-même une information.

Et là je vais me répéter 😉 : en janvier 2020, que les autorités australiennes prennent peur devant le confinement de Wuhan et face à un virus inconnu… c’est compréhensible et même rationnel.

Le problème c’est qu’un an et demi après… avec toutes les données accumulées… là on change de perspective, de dimension, de sens.

C’est tout le propos de ce blog depuis juillet 2020.

En mars 2020 lors de la première vague, je m’étais dit : bon, ça ne va quand même pas durer 10 ans ce covid ! Je commence à avoir des doutes…

C’est l’élément-clé : le temps.

Chaque jour qui passe nous éloigne des explications “rassurantes” (erreurs, stupidité etc.) et nous rapproche de l’indicible.

Il reste une petite chance.

J’avais proposé le test Biden (après la destruction de Trump, la pandémie pourrait prendre fin).

Je propose le test Pfizer.

La société américaine travaille sur un “traitement oral” du couillonavirus qui peut aussi s’utiliser en prophylaxie (un inhibiteur de la protéase 3CL). Cela permettrait de réduire la charge virale, et de réduire les symptômes (bref, exactement comme l’ivermectine).

Ce truc pourrait être autorisé fin 2021.

Après avoir chargé la planète de doses de vaccin, la société profiterait de ce traitement (que les gens s’arracheraient, peu importe le prix) et cela pourrait signer la fin de la terrible pandémie.

Je trouve la phrase sur le slide de Pfizer présentant le bouzin (lors présentation résultats) assez remarquable:

Addressable market may be up to 100s of millions of patients which include high risk, low risk and close contact“.

Un marché de centaines de millions de personnes… même de simples cas contacts. 😉

En clair : tout le monde.

J’y crois moyennement (à mon sens le couillonavirus est politique, rien d’autre, donc les profits de Pfizer sont un effet secondaire pas un objectif stratégique), mais c’est une possibilité.

Pour moi l’information et l’analyse, c’est par rapport aux faits. Donc si les faits sont les mêmes, il n’y a pas à changer l’analyse.

Je trouve pour la part que le blog du Docteur est le meilleur site d’information et m’y connecte chaque jour.

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