Pile pour l’hiver ! Quel calendrier aux petits oignons. Du grand art.
Quid ?
Le nouveau variant couillonaviral de la mort qui tue… équipé de 32 (pas 12, pas 24, mais 32 madame !) mutations…
Un record !
Ca le rend donc hyper contagieux et lui permet d’échapper aux vaccins… qui déjà ne fonctionnent pas. Cool. 😉
Où ?
Au Botswana ! C’est parfait au niveau scénique : l’Afrique, le trou noir. Des terres sauvages qui vous veulent du mal. Conrad. Les ténèbres tout ça.
Comment ?
Le variant serait apparu, tenez-vous bien, chez un malade… atteint probablement du HIV ! Vous imaginez les possibilités scénaristiques que cela ouvre ?
Les coronavirus adorent se recombiner… avec d’autres virus… 😉
Oh putain Robert, c’est génial. Trois doses ça ne suffira pas. Là, tu es bon pour 66. Voire même 666, n’ayons pas peur des symboles.
Son petit nom ?
B.1.1.529. Là par contre c’est un paquet de merde. Coco, faut bosser. Faut trouver un nom catchy, effrayant, qui frappe les esprits. Ces scientifiques sont vraiment des gros lourdingues.
Des millions d’infectés déjà ?
Euh… non. 10 cas recensés (dont 1 à Hong-Kong)… Là aussi va falloir bosser. L’hiver réclame un variant avec du muscle, pas une énième tafiole.
Mais les scientifiques anglais, à l’origine de la sinistre découverte, ont quand même les chocottes, c’est l’essentiel :
Scientists warn the variant could be worse ‘than nearly anything else about’ — including the world-dominant Delta strain. (source DailyMail).
Préparez les mouchoirs.
Et les doses.