Lutter contre les déserts médicaux en forçant les jeunes professionnels à s’installer dans ces territoires ? Les généralistes disent non. Dans un communiqué transmis ce dimanche, le syndicat de médecins généralistes MG France formule son opposition à un «conventionnement sélectif» des jeunes médecins, en dénonçant des pistes «délétères». (source Le Figaro)
La réponse du syndicaca est cinglante. No way San José.
Et après tout, on peut les comprendre ! La liberté (en plus de la liberté de prescrire… enfin pas trop non plus hein, l’ivermectine, l’HCQ c’est mal) signifie aussi liberté de s’installer où bon vous semble.
Mais là où ça coince est que cette même liberté ne s’applique pas… aux vaccins.
Non.
Pour l’injection de ces produits, les médecins et leur syndicaca à la con ne protestent pas. Au contraire, ils adorent et célèbrent cette privation de liberté pourtant plus fondamentale encore puisque il s’agit de l’intégrité physique, de la propriété de soi, de son propre corps.
Et quid de la liberté pour un professionnel de santé (médecin ou autre) de perdre son boulot, d’être suspendu, jeté comme un tampon usagé lorsqu’il refuse l’hostie couillonavirale ?
Ca aussi, c’est de la bonne liberté, celle du Camp du bien, celle du pognon, celle de Pfizer et celle de la Chine.
Bref, bande de salopards et de collabos… nous soutenons -pour une fois- la proposition gouvernementale de vous administrer une dose (pardon 2 doses voire 3 en rappel) de liberté obligatoire…
Ainsi, les jeunes médecins glands seront envoyés obligatoirement mais librement dans le Cantal. En Lozère.
Ca leur fera les pieds et ils auront tout le temps (entre les vaches et les vieux) de méditer sur le concept de liberté.