Il y a d’un côté les données.
Et puis de l’autre… il y a le terrain. Les observations. Les mains dans le cambouis. Les témoignages.
On ne peut pas dissocier les uns des autres en se pinçant le nez comme le font trop souvent les propagandistes (“on peut discuter de tout sauf des chiffres, prout“) ou les simples d’esprit (“t’es pas docteur, t’es pas qualifié, re-prout“).
Voilà pourquoi dès janvier 2020, il fallait écouter les uns et les autres.
Des médecins, des infirmières, des malades, des injectés-empoisonnés en France et dans les autres pays… en plus du travail effectué sur les données.
Je me souviens par exemple du témoignage -explosif- d’un médecin dans un hosto à Aulnay-sous-Bois en octobre 2020 :
“On utilise des antibiotiques… c’est miraculeux !… Nous sommes une trentaine de médecins et nous traitons le Covid avec des antibiotiques… Le virus agit avec un co-facteur bactérien… On a plus de 3 000 patients… quasiment tous des succès”.
Rien que cette seule interview de ce seul médecin aurait dû stopper net le délire ambiant et envoyer Véran, Salomon en taule.
Et on peut se demander pourquoi son interview ne fut JAMAIS censurée sur Youtube (vérifiez)…
[note : un grand merci au lecteur qui a envoyé l’article paru le 30 JUIN 2020 du docteur Bellaïche dans La Tribune Juive… Son premier témoignage sur l’utilisation avec succès des antibios pour traiter les malades du Covid est donc ENCORE PLUS ANCIEN ! Il faut absolument le lire.]
Parce qu’il s’agissait d’un média israélien (Radio futée) ?
J’en suis persuadé… tant l’antisémitisme est l’angle mort des gauchistes-constructivistes qui sévirent pendant la Covidémence.
Le souk post 7 octobre 2023 le démontre AMPLEMENT.
Ils n’ont tout simplement pas osé.
A l’époque, l’hystérie était pourtant généralisée, massive.
Il suffisait d’écrire le nom de Raoult ou d’évoquer l’azithromycine (antibiotique) pour être intimidé, attaqué par le Conseil de l’Ordre, censuré, humilié, honni, exclu, pourchassé, banni des réseaux sociaux…
Bref.
Trois ans plus tard… il n’est jamais trop tard.
Voici donc le témoignage remarquable d’une infirmière californienne (qui fut licenciée fin 2021).
Lien : https://live.childrenshealthdefense.org/chd-tv/events/the-chd-bus-tour/covid-nurse-speak-out/
Elle est posée, éloquente, très précise ; un modèle !
Impossible de croire qu’elle soit embauchée comme actrice.
Faites l’effort (22 minutes).
Son point fort ? Quasiment tout y est !
Tout ce que Pierre Chaillot a pu vous dire (armé avec ses statistiques)… Tout ce que les vrais médecins, les lanceurs d’alerte français ont affirmé depuis 2020 (Perronne, Christine Cotton, etc.)… TOUT SE RECOUPE.
Voilà l’intérêt de ces témoignages.
Quand des gens différents voient les mêmes choses, arrivent aux mêmes conclusions à des milliers de km les uns des autres, le tout rehaussé par des données… cela PARLE.
Mieux, cela DEMONTRE.
Cela reconstitue le puzzle.
Cela dévoile la vérité.
Synthèse et traduction à la volée :
-elle souligne d’abord que toute la Californie était très “compliant” [comprendre, conforme, le petit doigt sur la couture de la covidémence. Normal puisque état gouverné par la gauche].
-“2020 : les hôpitaux n’étaient pas pleins contrairement à ce que les médias racontaient. Notre hôpital était vide. C’est là où j’ai compris qu’on nous mentait. J’ai des collègues partout en Californie et durant 2020 et l’hiver 2020/2021 aucun hôpital n’a été surchargé.”
-“les hôpitaux sont pleins en hiver… et vides en été. C’est normal. C’est le cycle. En hiver, les gens sont malades avec la grippe. Nous n’avons jamais été submergés.”
-“les protocoles Covid… faisaient du mal. Je n’ai pas réalisé immédiatement… Tenir à l’écart les familles, ça c’était un crime. Une violation de mon serment.”
-“Ensuite le Remdesivir… Le seul médicament autorisé -autorisation expérimentale- pour les patients Covid [en France, ce fut l’infâme Rivotril… Outre-Manche le Midazolam]. On apprend à l’école qu’un anti-viral donné plus de 24 à 48h après le début des symptômes n’est pas efficace et est même contreproductif. Avec le Covid, on attendait 10 ou 12 jours après les symptômes. Et je demandais : mais pourquoi on fait ça ? Aucune réponse des administrateurs. Je savais par contre que ça coûtait 3 000 dollars par dose.”
-“Très tôt il y a eu des témoignages sur l’efficacité des stéroïdes contre le Covid” (venant de soignants). [contre l’inflammation] Nous avons ignoré ces recommandations. Mais en plus, il était interdit de les utiliser. C’était criminel, face à une maladie avec forte inflammation.” [on retrouve le même thème universel : l’interdiction de tout traitement… HCQ, de l’invermectine, antibiotiques etc.]
-“Le restez chez vous a aggravé la situation. Si les cas n’étaient pas assez graves, on renvoyait les malades chez eux… et quand ils ne pouvaient plus respirer, ils revenaient…” [autre élément-clé de la covidémence début 2020… qui permit de tuer, littéralement, des gens, afin d’incarner la pseudo terrible pandémie].
-Début des injections des produits ARNm (fin février 2021). Début mars elle commence à constater… que l’hôpital se remplit (inhabituel puisque le pic hivernal est passé) et que les personnels manquent à l’appel. “Avril, juin, je travaillais non stop. Mon manager m’a dit fin juin que l’hôpital avait eu 3 fois plus d’admissions que d’habitude. J’ai vu de nombreux patients avec des caillots sanguins étranges, des attaques cardiaques.”
“En 10 ans, j’ai eu 2 Guillain-Barré. Là en quelque semaines, 4, avec apparition rapide des symptômes. Deux m’ont dit qu’ils avaient reçu le vaccin juste avant”.
-“J’ai voulu rapporter ces incidents (“adverse events“). Mon manager m’a dit : non. Car on ne peut pas prouver la causalité” [argument lancinant, répété ad nauseam par les faibles d’esprit… qui ne comprennent pas que le nombre parvient à circonscrire cette impossibilité].
-“Une collègue fut menacée d’être licenciée” [elle-même le fut en octobre 2021].
-Elle estime à 30 % la proportion de ses collègues qui voyaient les mêmes choses qu’elle… “Les autres ne voulaient pas faire de vagues. Peur de perdre leur carrière, leur source de revenus etc. Ils ont vendu leur âme” [on retrouve au fond les mêmes proportions que dans l’expérience de Milgram].
-“Dès le début de la vaccination, nous avions facilement la moitié des hospitalisés Covid… qui étaient vaccinés.”
-Le système informatique à l’hôpital [“Epic system“] : “pas programmé (et les personnels pas formés) pour indiquer le statut… vacciné” [pour les malades du Covid hospitalisés] !
C’était en standard “non vacciné“, voire “statut vaccinal inconnu” [on retrouve ici toute la thématique du “codage” des données au niveau hospitalier, leur manipulation, un élément-clé de la Covidémence, thématique explorée de fond en comble par notre serial commentateur, Jean-Luc Bozek avec Pierre Chaillot].
-“De nombreux collègues ne posaient même pas la question à leurs patients ! Ils supposaient que les malades n’étaient pas vaccinés puisque c’est ce qu’on leur répétait, y compris dans les médias.”
POST-SCRIPTUM
Au-delà des témoignages de praticiens, il y a également les témoignages… de malades. De victimes.
En France, citons les associations :
-Où est mon cycle : des milliers de femmes furent blessées (problèmes menstruels).
Lien : https://www.ouestmoncycle.com/
-Verity France : association de victimes d’effets secondaires.
Lien : https://www.verity-france.org/
Lien : https://twitter.com/verity_france/
Aux Etats-Unis :
-Children Health Defense (foundateur et président : Robert F. Kennedy junior).
Là aussi, des témoignages de victimes (ou de familles de victimes) : https://live.childrenshealthdefense.org/chd-tv/events/the-chd-bus-tour/covid-nurse-speak-out/
Tous ces témoignages sont importants… Leur masse donne du sens. Leur nombre révèle les faits.
Les crapules bloquent les données en amont, via les systèmes de pharmacovigilance (sous-déclaration patente et ensuite l’argument des ravis de la crèche : “impossible de prouver la causalité“)…
Tous les témoignages de victimes, en aval, viennent combler ces trous.
POST-SCRIPTUM BIS
Un autre médecin témoigne. Cette fois en Allemagne. Et ce qu’elle dit est bouleversant…
Elle reconnaît avoir détruit la vie de dizaines de personnes (“jeunes et en bonne santé“)… en injectant.
Lien : https://twitter.com/verity_france/status/1735257276158533673
Après cela, qui peut encore continuer à pérorer “corrélation n’est pas causalité, nanananèèèère” ?