Jeudi, lors du premier débat télévisé contre Trump, Joe Biden a perdu, en 1h30, toute crédibilité en tant que candidat à sa propre réélection en novembre prochain.
Reformulons : les observateurs sincères de la vie politique américaine savent depuis… 2 ans que Biden a subi un déclin cognitif sévère et qu’il n’est plus apte à occuper la Maison Blanche… et a fortiori d’y rester 4 années supplémentaires !
Cette évidence –qui se voit, s’entend– fut pendant 2 ans… combattue, niée par les médias, les commentateurs proches des Démocrates et bien entendu par toute l’administration américaine sans oublier les proches de Biden (à commencer par son épouse, véritable criminelle).
Mais jeudi soir… tout a brutalement changé.
La campagne de Trump a synthétisé le débat… en 95 secondes.
Et ces secondes sont extrêmement brutales. Violentes.
La non assistance à personne en danger, ainsi que la maltraitance de personne âgée… s’étalent sur grand écran, en “direct live” comme disaient les jeunes (désormais vieux).
Trump just released a brutal 95 second ad of Joe Biden's debate lowlights: pic.twitter.com/enusIKHhwN
— End Wokeness (@EndWokeness) June 28, 2024
Sans oublier la phrase assassine de Trump… comme quoi il ne sait pas ce que vient de dire Biden !
TRUMP: "I really don't know what he said at the end of that sentence — I don't think he knows what he said, either." pic.twitter.com/BW3HtCvoti
— Breaking911 (@Breaking911) June 28, 2024
Il aura fallu attendre… exactement 24 heures pour que l’hallali soit officiellement sonné.
Et ici, il s’agit bien entendu du New York Times… le célèbre quotidien américain qui tient le haut du pavé de la moralitude, de la moraline, de la justice, du bien, du beau.
Le New York Times c’est la Bible de la bienpensance, le Kama Soutra des gauchistes, le Petit Livre Rouge des constructivistes, les Dix Commandements des dégénérés.
Mais le New York Times c’est surtout… la voix de son maître (l’état profond américain, le clan Obama etc.).
Le comité de rédaction du prestigieux journal américain New York Times a appelé vendredi le président Joe Biden à se retirer de la course à la Maison-Blanche après son calamiteux débat la veille face à Donald Trump.
Dans un éditorial publié vendredi soir et intitulé «pour servir le pays, le président Biden doit quitter la course» à la Maison-Blanche, le New York Times a décrit Joe Biden comme étant «l’ombre d’un dirigeant», après que le président de 81 ans a «échoué à son propre test». (Le Figaro)
Le maître a donc parlé. Le Verbe fut.
Joe Biden est ainsi poussé sous le bus. Ou plutôt sous un déambulateur, voire un fauteuil roulant.
Toutes les troupes reçoivent le message 5/5 (seuls quelques malades mentaux continuent d’y croire et de jouer la comédie).
Sous la pression de sa garce d’épouse, mais aussi de son propre délire cognitif, l’entourage de Joe Biden a affirmé qu’il ne se retirerait pas…
Mais c’était AVANT l’édito du New York Times… 😉
Que va t-il se passer maintenant ?
Une simple… urgence médicale.
Une mauvaise chute, un mauvais virus, une mauvaise pathologie.
Joe Biden, hospitalisé, pourra alors se retirer en sauvant la face.
De l’autre côté, le remplaçant a déjà été choisi. La machine Démocrate tournera à plein régime jusqu’à la convention du parti mi-août. On peut s’attendre à un torrent inouï de propagande.
Le remplaçant (ou plutôt la remplaçante) de Biden sera alors propulsé, mieux encore que la fusée géante Space X de Elon Musk.
Littéralement placé en orbite. Il ne manquera plus que le “bip bip” façon Spoutnik, et le “Houston, do you copy ?” d’Apollo.
C’est la seule chance, la seule narration possible pour éviter la catastrophe absolue (pour eux) : le retour de Trump à la Maison blanche.
Au-delà de l’état de décrépitude de Joe Biden, il faut souligner l’autre éléphant dans la Maison blanche : le bilan désastreux.
Voilà pourquoi… nous assistons à une mise en scène (le débat sur CNN… dont la date fut fixée très en avance par rapport à la tradition… voilà bien une preuve flagrante qui expose le plan du parti Démocrate…).
Remplacer Joe Biden est le meilleur moyen de se débarrasser du terrible bilan !
Nommer au dernier moment un autre candidat c’est l’équivalent politique de la Vierge Marie.
Toute l’opération est en réalité décidée et paramétrée depuis de nombreux mois.
Si la candidate Vierge Marie échoue, si la psyop ne prend pas… alors il restera la dernière carte à jouer, très, très risquée, incendiaire même : l’élimination physique de Donald Trump.