
Aspirine et cancer ? Et puis quoi encore ! Pourquoi pas lait fermier et cancer ? Ou salade auvergnate et cancer ? On en parle car… les médias en parlent.
Ils relaient en effet une étude publiée dans Nature, début mars. Son titre ?
L’aspirine prévient les métastases en limitant la suppression de l’immunité des lymphocytes T par le TXA2 plaquettaire
Ce que les médias traduisent par :
Cancer : les surprenantes vertus anti-métastatiques de l’aspirine (Le Figaro)
Scientists crack how aspirin might stop cancers from spreading (BBC)
Diantre ! Foutritude surprenifiante !
Madame Michu qui lit consciencieusement son quotidien le matin et qui regarde BFM-TV et LCI (alternativement) le reste de la journée, en est toute secouée.
Avant de revenir sur cette fameuse étude… pourquoi j’ai utilisé le mot “plaisanterie” dans le titre de mon billet ? Plutôt gonflé, non ?
Non.
Allez sur PubMed (la base de données des articles scientifiques). Tapez “cancer aspirin” (sans le “e”, en anglais donc). Résultats ? 6 450 papiers !
Si, si.
L’article le plus ancien que j’ai trouvé, avec un titre qui ne souffre aucun malentendu, date de… 1972. Et fut publié dans The Lancet (pas exactement un fanzine d’étudiants) :
L’effet anti-métastique de l’aspirine
Oui Madame Michu, oui Monsieur Robert… des scientifiques disaient ainsi EXACTEMENT LA MEME CHOSE… il y a plus de 50 ans. 😉
Un demi siècle.
La tuile.
A ce stade, nos joyeux retraités, parfaits représentants de la population des boomeurs… risquent d’être légèrement irrités…
“Ah ben dis donc ma chérie, si on avait su… on aurait pu donner de l’aspirine à Mauricette. Et tonton Roger aussi. Et sa fille, Jacqueline. Et la cousine Catherine ! Et Gérard, le pauvre Gérard. Et… à nous aussi, bordel de merde !”
Eh oui, Madame Michu et son mari Robert… finiront probablement par passer à la casserole, avec chacun leur petit carcinome (pas de jaloux, le cancer demeure une pathologie liée à la vieillesse).
Mais la situation est bien pire… Car entre ces deux dates, 1972 et 2025… ce sont en réalité des CENTAINES, des MILLIERS d’articles scientifiques qui pointent des liens entre aspirine et différents cancers…
Vous n’y croyez pas ?
Allez-y, faites vous plaisir (et puis bossez un peu aussi) :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=cancer%20aspirin[Title%2FAbstract]&sort=pubdate
Je ne vais pas faire ici de liste. Trop fastidieux. Vous devez simplement comprendre que cela fait des ANNEES que des actions positives de l’aspirine sur des cancers… sont OBSERVEES, DEMONTREES, ETABLIES.
Les gens intelligents et curieux… sont ainsi parfaitement au courant.
Sauf… les oncologues. 😉
Absolument.
L’oncologie est en effet un monde très particulier. Ces hommes et ces femmes, forts de gazillons d’années d’études cumulées sont les spécialistes de quelque chose… que l’on ne connaît pas (le cancer), pour reprendre la définition sublime créée par Dieudonné.
En clair : ils ne sont au courant de rien, ils ne lisent pas, ils se bouchent les oreilles.
A part appliquer religieusement des listes (les fameux “protocoles“), fournies clés en mains et surtout cartes de crédit en mains par Big Pharma, composées de chimios et autres délires (rayonnements ionisants, etc.)… ces gens, je le répète, mettent un point d’honneur à ne surtout pas lire ce que la communauté scientifique (la vraie) découvre, écrit, publie quotidiennement et ce depuis des décennies.
C’est vertigineux.
Je tiens à souligner que les “anti-inflammatoires non stéroïdiens” (famille à laquelle l’aspirine appartient) en plus de propriétés antitumorales… possèdent des propriétés ANTIFONGIQUES.
C’est bien entendu une coïncidence…
Faites le test Google. Tapez “aspirin antifungal” par exemple.
Ce lien, ce véritable PARALLELISME entre cellules cancéreuses et cellules fongiques, se retrouve chez des dizaines d’autres molécules (naturelles ou synthétiques).
En d’autres termes, quand vous avez sous la main une molécule (quelle qu’elle soit) qui semble efficace contre le crabe… elle a de très fortes chances… d’être EGALEMENT efficace contre les fungi, les fameux champignons, levures et autres moisissures.
Il s’agit d’un canari dans la mine qui nous permet de comprendre que la thèse “cancer = mutations génétiques”, ce qu’on appelle la “théorie des mutations somatiques” (car malgré ce qu’on vous a appris à l’école, c’est une simple théorie), est une vaste fumisterie sanitaire.
Mais revenons à l’étude qui met le Figaro en transe.
Son intérêt est qu’elle éclaire le mécanisme d’action de l’aspirine. Et il est très simple.
-l’aspirine comme vous le savez agit sur les plaquettes (elle fluidifie le sang, donc parfait pour la prévention des AVC)
-les cellules tumorales favorisent la sécrétion anormalement élevée de la thromboxane A₂ (TXA₂) par ces plaquettes
-la TXA₂ provoque l’inhibition de certaines… cellules immunitaires (lymphocytes T), permettant ainsi au cancer de se développer plus facilement
-l’aspirine bloque/réduit la production de TXA₂… laissant ainsi le champ libre à nos défenses immunitaires (système adaptatif) pour détruire les cellules cancéreuses.
Voilà.
En clair, l’aspirine “libère” certaines parties de nos défenses naturelles contre les cellules cancéreuses.
A ce stade, vous vous sentez sans doute comme Alice en train d’entrer dans le terrier du lapin blanc…
Alors… Pourquoi TOUS les protocoles anticancéreux n’intègrent-ils pas l’aspirine, une molécule ancienne, parfaitement maîtrisée et qui ne coûte rien ?
Réponse…
“Ah ben… nous ne sommes pas sûrs… vous comprenez… l’aspirine peut être… DANGEREUSE.”
😉
Les gens, les clowns plutôt, qui injectent des poisons mortels à des malades et qui brûlent leurs chairs avec des rayons ionisants, démolissant ainsi leurs défenses naturelles contre la maladie qui les ronge… ces gens craignent donc… les dangers de l’aspirine !
Voilà.
Cela résume toute l’absurdité de l’oncologie moderne.

POST-SCRIPTUM
Pour les lecteurs pointus et qui suivent… y’a t-il un lien entre cellules fongiques et thromboxane A₂ ? La réponse est oui (en théorie du moins). Via plusieurs mécanismes (inflammation, activation des plaquettes, métabolisme de l’acide arachidonique).
Le Candida par exemple pourrait contribuer à l’augmentation de la thromboxane A₂, ce qui en retour le protègerait (des attaques du système immunitaire).
La boucle est bouclée.
Quant à l’aspirine, le lien thromboxane A₂=inhibition des lymphocytes T n’est peut-être pas le seul mécanisme à l’oeuvre. Son action antifongique pourrait ainsi… s’ajouter.
23 replies on “Aspirine et cancer : une plaisanterie qui dure depuis 50 ans”
Respect, Docteur, pour les contenus. Et la tournure du discours.
Merci.
Aspirine, ivermectin, fenbedonazol : le voilà le traitement à 2 balles du cancer . Et dire que les gens croient que Big pharma leur veut du bien …
“Un enfant cancéreux est mort en s’étouffant avec un cachet d’aspirine.”
Il n’a vraiment pas de bol !
Sinon, toujours aussi intéressant de vous lire Doc.
Une simple question: pourquoi les coupes anat path ne révèlent elles pas la la présence d’éléments fongiques (levures/filaments mycéliens?).
Autrement parfaitement d’accord l’aspirine est un super médicament couteau suisse
Parce qu’on… ne les cherche pas.
C’est aussi simple que cela !
Et quand on les cherche, là -bizarrement- on en trouve.
https://covidemence.com/2024/08/21/tumeurs-et-champignons-quand-tout-le-monde-en-parle/
(2 études publiées en 2022).
Des pans entiers de la “science”… souffrent de ce biais. L’oncologie est paroxystique de ce point de vue.
On a décrété il y a 60 ans que le cancer = mutations ADN. Et ça fait 60 ans qu’on cherche ces fameux gènes… Et C’EST UN BIDE TOTAL.
Renseignez vous sur les “trouvailles” des projets “génome” sur le cancer.
https://www.cancer.gov/ccg/research/genome-sequencing/tcga
Peau de balle. Des milliards de dollars… pour des nèfles.
Des mutations ? Bien sûr. On en trouve des gazillons même… Un bordel sans nom. Totalement aléatoires. Même au sein de plusieurs tumeurs chez un seul individu… elles sont différentes.
Il n’y a aucun mystère ici, sauf pour les ravis de la crèche : les mutations sont des CONSEQUENCES et pas des CAUSES (sauf pour certains cancers, certaines mutations pourraient agir aussi en co-facteur).
L’histoire médicale est jonchée de ces visions en tunnel. On mis des années à admettre que la bactérie Helicobacter pylori causait le cancer de l’estomac !
Aujourd’hui encore, quand vous dites que 20 % des cancers ont OFFICIELLEMENT une cause infectieuse (bactéries, virus, parasites)… les gens vous regardent de travers.
Faites le test.
Les fungi sont encore très peu connus. C’est un monde extraordinaire dont on commence à peine à entrevoir les stupéfiantes capacités alors que ces micro organismes existent depuis des centaines de millions d’années, depuis l’apparition de la multi cellularité.
Mais je reste prudent : j’ai une vision syncrétique. La clé du cancer c’est… un peu de tout. Des fungi, des virus, des bactéries, et saupoudrés peut être par quelques mutations.
La deuxième clé du cancer, et elle est fondamentale: le système immunitaire.
C’est ici que tout le bordel environnemental (pollutions eau, air, électro-magnétique, nourriture, médicaments, stress de la vie moderne, etc.) agit. Et agit négativement bien entendu.
(Salut Grand Shaman, moi toujours en vie sans doute grâce au beaujolais et aux divines cochonneries)
Si je vous suis, les anti-agrégants plaquettaires comme le Ticagrélor devraient être aussi efficaces contre les cancers. Cela tombe bien, j’en ai bouffé pendant un an après chaque infarctus (deux) et l’on vient de me retirer un gros sarcome au gras double qui me chatouillait les reins comme une vieille tante.
Sinon, cela fait vingt ans que je prends de l’aspirine en poudre (Kardégic 160mg par jour) en prévention d’un hypothétique AVC (j’ai aussi une artère vertébrale complètement bouchée). Je le prends le matin délayé dans un petit verre ballon de beauj’ après mes tartines de rosette au beurre et mon café noir visqueux. Quant à la notice explicative apocalyptique et longue comme un jour sans pain (il paraît que l’aspirine au long cours rendrait même aveugle) j’ai dû essayer de la lire en entier au moins une fois…
Chaque jour qui passe est un bonus de ciel et j’ai pleins d’autres choses à faire sous l’œil réprobateur des anges. Le mien, désespéré, s’est aussi mis à boire et certains soirs nous titubons ensemble par les rues, moi sur le trottoir et lui au-dessus des réverbères. Justement, je vous laisse car c’est samedi, le jour du marché et de l’andouillette. Bonne et fructueuse continuation.
intéressant et vraiment bizarre votre témoignage.
Aucun jugement de ma part.
diluer aspirine dans du Beaujolais ?
le goût doit être modifié.
Je vous souhaite une meilleure santé.
cordialement.
Je viens de me farcir la vidéo « turbo cancers and repurposed drugs » interview du docteur Makis sur YouTube
Une bonne synthèse, un peu longue mais jamais lassante, qui reprend de nombreux points que vous évoquez régulièrement.
En plus il détaille les traitements qu’il recommande avec ivermectine, mebendazole…
J’ai tout noté au cas où !
J’ai trouvé les deux personnages assez mesurés, faisant appel au bon sens et à la curiosité.
Peut être aviez vous déjà parlé de ce personnage et de cette vidéo qui date d’un mois environ
Le DailyMail, 2ème plus gros tirage de la presse quotidienne britannique, poursuit son étrange campagne… relative aux dangers… des produits “sûrs et efficaces“.
Nouvel article donc : “Covid booster vaccine reawakens world’s deadliest virus inside man’s body”
https://www.dailymail.co.uk/health/article-14470239/covid-vaccine-reawakens-virus-world-india.html
Il s’agit d’une étude de cas (publiée). Un homme en Inde de 47 ans.
Il a pris 2 doses du poison de Pfizer. Les choses ont commencé à partir en sucette 6 mois après…. Tuberculose ! On le traite. Puis ça se calme…
Rappel : la tuberculose est une vraie maladie infectieuse (8 millions de cas par an) et qui est vraiment dangereuse (1 million de morts par an).
Puis, il prend sa 3ème dose (le fameux “booster”)…
Pouf.
5 jours après… la tuberculose revient avec vengeance.
Explication ?
“Hyperactive immune response after mRNA vaccine booster may have contributed to the development of IRIS syndrome in this patient.”
Les médecins optent pour une “suractivation” du système immunitaire… Bof. La logique dicterait plutôt l’inverse : l’homme s’est retrouvé avec un système immunitaire affaibli… la tuberculose en profitant alors pour se réveiller.
L’essentiel en tout cas est que madame Michu… lise cet article… Et fasse dans sa petite tête de plus en plus… le lien entre “vaccins ARNm” et… emmerdements potentiels. 😉
Ensuite elle en parlera à ses copines (si elles sont toujours en vie). Et à ses enfants.
Ca finira bien par percoler.
“ça finira bien par percoler” madame Michu va enfin comprendre…
Docteur, vous êtes pris en flagrant délit d’optimisme.
ça ne vous ressemble pas
ma mère âgée est morte il y a bien longtemps du vaccin “ordinaire” contre la grippe . Une très forte réaction immunitaire provoquant une hyperthermie fatale. Nous ne sommes pas malgré nos âges pas vaccinés contre la grippe préférant renforcer “bêtement” avec vit D K zinc…
il y en aurait à dire aussi sur les médocs pour avoir une tension “de jeune fille” transformant les gens en mankenpisse…
nom de nom de nom de …
levons nous et crions pour tous nos parents et grands parents qui ont été assassinés par leurs médecins !
ces pauvres vieux avaient encore quelques ou plusieurs ou de nombreuses années de joie et de souvenirs à vivre et survivre.
Très intéressant.
N’existe t’il néanmoins aucun cas de contre indication à l’utilisation de l’aspirine ?
Son utilisation serait plutôt curative ou préventive ?
Et a t’on une idée de la posologie recommandée ?
Contre-indications ? Oui, elles sont parfaitement identifiées : exemple ulcère, tout risque hémorragique.
Overdose ? Bien SUPERIEURE à la quantité létale de paracétamol (la saloperie qu’on file comme des bonbons aux enfants)…
Posologie ? C’est écrit dans les études. J’ai vu 80 mg par jour (ou plus).
Une étude (2023) compilant 118 études observationnelles (ce qui est quand même considérable) :
“a million patients with a wide range of cancers, finding that taking a daily low-dose (75 or 81 mg/day) of aspirin was associated with a 20% reduction in deaths from cancer and in deaths from all causes.”
Curatif (“métastases“)… Mais on ne peut s’empêcher de penser que les personnes qui prennent quotidiennement une “low dose” pour réduire le risque d’AVC (embolie, infarctus etc.)… bénéficieraient en bonus d’une protection contre le cancer. Ou alors 80 mg ne suffiraient pas. Là, on a moins de données (mais comme tout produit actif… il y a forcément un “dose-dépendance”).
Bref, je le répète, c’est fondamental : lisez.
Lisez les études et faites vous une idée… C’est le seul mécanisme pour vous débarrasser de cette peur irrationnelle.
J’ai écrit un papier plutôt sympa, assez clair, avec de l’humour, et la première question que vous me posez… sont les “contre indications” !
Cela prouve que vous n’avez pas -encore- effectué ce travail, personnel.
Ne le prenez pas mal… mais avez vous conscience de la différence, en terme d’effets sur un corps humain, entre l’aspirine et une chimio qui est un sous produit des gaz de combat (gaz moutarde) ? 😉
Je reformule : lorsque sa propre santé est en jeu… ne posez pas de questions. Faites plutôt vos propres réponses. La souveraineté c’est ça. Votre corps vous appartient.
Je sens que le sujet intéresse mes lecteurs.
Avec l’aspirine, on a un bonus : l’effet protecteur contre caillots sanguins (risque AVC, embolie etc.).
Pourquoi la “low dose” classique préconisée est 80 mg / jour ? A mon avis, ils ne se sont pas cassés la nénette : c’est la dose non toxique pour l’estomac. Bref, c’est une balance “risques/bénéfices”.
Une sorte de “plus petit dénominateur commun”.
Ce n’est pas forcément la meilleure stratégie.
Peut-être qu’une dose supérieure serait encore bien plus efficace.
Nous sommes différents. Il est bien évident que 80 mg/jour pour un gaillard de 90 kilos… et une femme de 45 kg toute mouillée sur la balance… ce n’est pas la même chose.
Métabolisme : là encore, nous sommes différents.
Effets de seuil : ça me passionnait à l’époque durant les cours de chimie. Mais c’est une vraie question pour la biologie. A 80 mg par jour… on obtient peut être un effet X. Mais si ça se trouve à 100 mg par jour (donc +25 %), on aurait un effet + 40 %.
Attention à l’idée de linéarité.
Demi-vie : autre point crucial. Prenons la vitamine C… Sa demi-vie est très courte (30 mn à 2 heures). Si vous admettez que cette molécule est utile contre X ou Y… alors il est bien évident qu’il faut plusieurs prises par jour, au lieu du classique 1 cachet le matin (en outre l’excédent est directement évacué, donc le coup de la dose de 1000 mg le matin… n’a pas vraiment de sens. Il vaudrait mieux 2 fois 500 mg ou 4 fois 250).
Joe Tippens prenait 222 mg de fenbendazole une fois par jour (pour lutter contre son cancer des poumons). Les cellules cancéreuses -elles- sont 24h24 dans le corps… Il paraît donc logique de diviser et de prendre 2 doses par jour.
Ajoutez… la potientialisation… Là on touche au sublime. A utilisé avec B sera supérieur à la somme des deux séparément.
Le mode d’absorption : la molécule est-elle liposoluble ? La vitamine D l’est. Donc il faut la consommer avec.. un bon repas bien gras ! A dose égale, si vous la prenez à jeûn, moins d’effet.
Bref, c’est l’occasion de rappeler qu’il y a des études, des guidelines, des protocoles, des moyennes, des témoignages… Et ensuite, il y a des individus.
Ca change pas mal de choses !
L’honnête homme au sens du 18ème siècle français (un concept qui me paraît fondamental et d’une grande modernité), face à une pathologie mortelle, ne peut pas faire l’économie… de l’expérimentation.
Sur sa personne.
https://t.me/eurasianform/18696
les ennuis commencent pour la chine et sa gestion du covid.
avec Trump ça va chier !!
Merci pour cet article. Il y a 25 ans de cela j ‘avais déjà lu des études sur les bienfaits de l aspirine contre le cancer. Certains livres étaient écrits par des oncologues qui en avaient assez de voir claquer leur patients
C est pour cette raison que je reste pessimiste sur le fait que le grand public soit un jour en mesure d ‘accepter ces nouvelles approches concernant le Cancer. Comme pour le COVID, comme pour l Ukraine,comme pour la guerre contre la Russie,le réveil ne se fait pas. Car ce n est pas sur un seul sujet que ce réveil doit se produire mais sur l ensemble des mensonges de nos sociétés
J ajouterai à titre personnel que le bienfait de l aspirine peut aussi s expliquer par sa capacité à fluidifier le sang. Nos réseaux capillaires représentent plusieurs milliers de kilomètres et sont essentiels à la bonne santé de l organisme. Avoir un sang plus fluide permet une meilleure irrigation et donc une meilleure évacuation des déchets. Une personne âgée a environ 40% de vaisseaux capillaires bouchés.
Oui en effet, cela prendra du temps.
Comme vous le dite, de nombreuses personnes ne sont pas “prêtes”. Sans parler bien entendu des formidables résistances de Big Pharma, de Big Cancer.
je le répète l’histoire médicale le démontre : TOUT PREND UN TEMPS INFINI.
On peut le regretter, mais c’est indépassable. C’est humain.
A nous d’avancer, entant qu’individus éclairés. C’est passionnant car très complexe, et surtout parce que cela peut toucher chacun de nous (l’OMS nous promet une explosion des cas de cancers).
“Plus de 35 millions de nouveaux cas de cancer devraient être enregistrés en 2050, soit une augmentation de 77 % par rapport aux 20 millions de cas estimés en 2022.”
Donc non, vous ne parviendrez pas à convaincre la Terre entière. Il faut d’abord agir au niveau individuel… et ensuite ça suivra son cours.
Il y a des aspects positifs. Faites le total des membres dans les groupes Facebook alternatifs dédiés au cancer ! Des dizaines de milliers de personnes… des centaines de milliers. Et ça papote à mort.
Le docteur Makis (Canada) qui est un fanatique de l’ivermectine et du fenbendazole (il soigne avec de nombreux cancéreux)… A 500 000 followers sur X !!!!
https://x.com/MakisMD
Cela n’existait pas avant.
Les grands médias commencent à relayer. Là encore, c’est nouveau.
Bref, il faut être glorieusement optimiste dans… le plus sombre pessimisme. 😉
Bonjour. Un grand merci Docteur ! Je découvre qu’il y a dans la famille des AINS, comme l’aspirine, aussi le ketoprofene et l’ibuprofene (cela tombe bien, j’en suis un utilisateur occasionnel). Sinon, il faut que je change d’habitude, aspirine plutot que paracétamol.
Docteur, MERCI.
Pour le fun du diamnche, fini le “réchauffement climatique”.
“Science et Avenir” annonce l’hiver polaire en Europe: https://unionpresse.fr/sciences-et-avenir-relaie-l-alerte-du-gulf-stream
Aussitôt modéré (voire démenti) :
https://www.nature.com/articles/d41586-025-00551-z
https://www.courrierinternational.com/article/climat-le-systeme-vital-de-courants-de-l-atlantique-ne-devrait-pas-s-arreter-d-ici-a-la-fin-du-siecle_228213
Bref, business as usual.
Je crois sincèrement que la psyop du “CO2” et du “climat”… va faire pschiit.
Intenable. Trump coupe le robinet du pognon… C’est fini.
Les Anglais n’ont pas encore fait un U-turn avec leur “net zéro” délirant… Mais là aussi le Réel l’emportera… Leur folie russophobe est bien plus forte… Donc, entre fabriquer des canons et se planter des plumes dans le cul climatique… à mon avis, ça va faire “pschitt” sans oublier “prout”. 😉
On sent cela déjà en Europe… Qui parle encore des “énergies vertes” ?
Non ils sont obsédés par Orange Man Bad et le Monstre Poutine.
Et pour changer un peu… une courte vidéo à l’honneur de l’espère.
https://www.youtube.com/shorts/oqtJYTjAnnE
Je parlais de “plaisanterie“.
J’en ajoute une à la liste.
En mars 2012, le Monde publiait un article.
“L’aspirine, un nouvel espoir contre le cancer
Le médicament réduit les risques de métastases et de décès”
Cela s’appuyait sur 3 études publiées dans The Lancet…
Alors on résume :
1972 : “aspirine efficace contre métastases”
2012 : “aspirine efficace contre métastases”
2025 : “aspirine efficace contre métastases”
A l’école, on appelait cela “le comique de répétition“. 😉
Allez ! Restons positifs ! En 2037, la presse écrira “aspirine efficace contre métastases”.