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Résistance Vaccinocide

Moderna : un (autre) pied dans la tombe

Je suis Merdena et j’approuve cet avis de décès.

Et toc !

Au début de la présidence Trump 2, des sots avaient pointé du doigt le fait que l’administration américaine avait promis des centaines de millions de dollars à Moderna… pour développer un soit-disant “vaccin” contre la grippe aviaire (un énième poison utilisant la technologie foutraque ARNm, bien entendu).

Ils disaient : ‘”la honte, fausse opposition“. Et osaient même ajouter : “prout” (violation intolérable de copyright).

J’avais alors écrit ici même : “vous verrez, ce contrat a été signé par l’administration Biden (forcément) en janvier… juste avant la prise de fonctions de Trump…“.

Eh bien… c’est fait.

L’administration Trump vient d’ANNULER ce fameux contrat (700 millions de dollars au total !).

Game over.

Cela fait des années que j’affirme que :
-Moderna est une non-société… sorte de Poulidor grotesque qu’on a conservé dans le formol pour ne pas prêter le flanc à l’accusation de monopole face au pseudo “vaccin” de Pfizer durant le “Covid”.

-Moderna n’a JAMAIS rien commercialisé d’autre (et on peut se demander si elle commercialisera quoi que ce soit d’autre dans le futur).

-la technologie ARNm appliquée à des “vaccins” est morte-née (que ce soit contre le “Covid”, la grippe, la grippe aviaire, la chiasse alsacienne, le sida du fion, la polio de la girafe, la peste du pangolin, la chtouille de la grenouille et autres joyeusetés infectieuses).

https://www.zerohedge.com/medical/us-cancels-700-million-moderna-bird-flu-vaccine-contract

L’action Moderna toucha son plus haut historique en août 2021… à 484 dollars… Moins de quatre ans plus tard, elle affiche au compteur… 27 dollars.

C’est bête, hein ?

Pensée émue aux gogos… pardon… aux “investisseurs“. 😉

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Vaccinocide

La lame se rapproche de la nuque de Pfizer

Au bout de l’hubris et de la démesure dans le mensonge… la lame. Finale.

Les fabricants de vaccins sont protégés aux Etats-Unis (loi fédérale dite Prep, votée en mars 2005, qui leur donne l’immunité, c’est le cas de le dire, face aux éventuels dégâts provoqués par leurs produits dans le cadre d’une urgence sanitaire).

Cette loi fut réaffirmée en mars 2020 pour les besoins du “Covid”, bien entendu.

A noter qu’une autre loi datant de 1986 (le National Childhood Vaccine Injury Act) accorde déjà une forte protection aux fabricants de vaccins (et pas uniquement pour les enfants, contrairement à l’intitulé de la loi).

Mais un état américain a trouvé une faille : le Kansas (large victoire de Trump en novembre 2024 avec 57 %).

En janvier 2024, ils ont attaqué Pfizer pour “pratiques commerciales trompeuses“.

Une cour locale a accepté le dossier. Pfizer a immédiatement contre-attaqué au niveau fédéral (pour faire reconnaître et appliquer la protection accordée par la loi Prep).

Pas de bol… Le juge fédéral a précisé que les “pratiques commerciales trompeuses” ne rentraient pas dans le cadre de la loi !

Il renvoie donc le dossier à la cour locale qui va pouvoir continuer.

L’idée du Kansas (et on l’espère, d’autres états ensuite) est géniale.

Oui Pfizer et Moderna sont protégés, leur responsabilité est exonérée pour les terribles effets secondaires provoqués par leurs poisons, décès et blessures (quoi que… ce qu’une loi a fait, une autre loi peut le défaire)… mais ils ont péché.

Comment ? Par leur communication, leur marketing… leurs délires des “95 % d’efficacité” et leurs “sûr et efficace” !

Toute la propagande insensée qui a déferlé sur les Etats-Unis à partir de la fin 2020, sans parler de leurs mensonges et des faits qu’ils ont dissimulés.

En clair voilà les points faibles :

  • Pfizer n’a pas révélé de liens entre son produit et des risques comme la myocardite, la péricardite (voir l’affaire de l’étiquetage désormais exigé par la FDA).
  • L’entreprise a faussement vanté l’efficacité sur la durée de son produit (ses données internes montraient au contraire une baisse rapide de son efficacité).
  • Pfizer a trompé le public en affirmant que le produit empêchait la transmission du virus (affirmation non étayée par des études).

Vous imaginez les risques financiers encourus par Pfizer ? A l’échelle. C’est-à-dire : colossaux. Rappelons qu’aux Etats-Unis la justice débouche souvent sur des réparations qui dépassent l’entendement en termes de montants.

La loi Prep protège certes les fabricants contre les conséquences physiques de leurs produits… mais elle ne les protège pas contre leurs mensonges ni leur propagande délirante.

Voici la source officielle au Kansas :
https://www.ag.ks.gov/Home/Components/News/News/182/1292

D’autres actions judiciaires sont en cours, dans d’autres états, et qui elles aussi testent les limites de la fameuse loi Prep…

Cela fait depuis 2021 que je répète que l’étau finira par se resserrer autour de la nuque de ces entreprises criminelles ; nous y sommes.

Oui c’est lent, trop lent, mais c’est réel.

Imaginez un barrage hydraulique… La moindre petite fuite, lente au début, peut subitement devenir catastrophique et provoquer la destruction complète de l’ouvrage.

Et la raison est très simple à comprendre : avec le “Covid”, ils ont été TROP LOIN, TROP FORT.

Sans parler de l’aspect politique, évident, brûlant même.

Impossible de comparer en termes d’échelles et d’intensité avec d’autres scandales pharmaceutiques “classiques” (thalidomide, Mediator, OxyContin, Vioxx, Dépakine, etc.).

POST-SCRIPTUM

Nous disposons d’un excellent indicateur avancé… celui qui criera à la face du monde que Pfizer et son complice Moderna sont finies.

Leurs cours de bourse. 😉

A fortiori aux Etats-Unis où le pognon est maître.

Cela sera, avec une ironie imposée, comme… une myocardite financière fatale…

Les rats quitteront le navire de plus en plus rapidement. Jusqu’au zéro de la destinée.

Aujourd’hui, à 23,32 dollars l’action… la valorisation de Pfizer est renvoyée au MEME NIVEAU que septembre 2012 !

Sacré “retour vers le futur”, non ?

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Vrac

Cancer de l’endomètre : la piste bactérienne

“Aucun doute, je la vois aussi clairement que la perruque de Brigitte… il s’agit bien d’une bactérie !”

Nouvelle surprise surprenante. Et surtout encore un cancer qui pourrait rejoindre la liste de ceux provoquées par… un agent infectieux.

Comment ? Vous ne le saviez pas ? Faut vous mettre à la page !

On estime que seize pourcents des cancers sont directement provoqués par des bactérie, virus et autres parasites. Une proportion officiellement admise a minima (certains parlent de 20 %).

Exemples ? Le col de l’utérus avec les papillomavirus humains ou encore le cancer de l’estomac avec la bactérie Helicobacter pylori.

Soit le cancer de l’endomètre (muqueuse interne de l’utérus). Il s’agit du quatrième cancer chez les femmes. Huit mille nouveaux cas par an en France.

Une étude menée par la clinique Mayo en 2021 pointe du doigt la responsabilité d’une bactérie : Porphyromonas somerae.

Cette association n’est pas totalement nouvelle. Certains scientifiques (qui ont contribué à cette étude) en parlaient déjà en 2016 puis 2019.

Le développement de cette bactérie serait accélérée par… les niveaux d’œstrogènes.

L’un des chercheurs affirme :

« Nous sommes allés au-delà de la simple association et corrélation pour démontrer le comportement pathogène », déclare le Dr Walther Antonio. « Il s’agit d’une avancée significative dans la compréhension du rôle du microbe dans la maladie »

Notons qu’on retrouve souvent cette vilaine bactérie… dans les cancers de la vessie (étude italienne publiée en 2024). Encore une association statistique troublante…

Au-delà de cet agent pathogène, on commence à comprendre l’importance du microbiome dans l’oncogénèse et le développement de la maladie.

Et cette relation est double. D’abord comme réservoir de micro-organismes (certains peuvent devenir pathogènes, lorsque invasifs, à l’instar des Candida), mais aussi (surtout ?) via le système immunitaire (étroitement lié au microbiome).

Ce monde stupéfiant (en taille et en variété) qui colonise nos entrailles et que l’on qualifie même de second cerveau… est décidément au centre de nombreux processus biologiques.

Toutes ces bactéries, virus et autres champignons ont de multiples effets y compris indirects, via leurs métabolites (leurs sous-produits). On peut même soupçonner des interactions, des effets de potentialisation (ou de suppression) les uns avec les autres.

Rappelons pour les sceptiques qu’une tumeur cancéreuse n’est absolument pas… stérile (idée encore largement répandue y compris chez de nombreux oncologues et autres pseudos professionnels de la profession). En réalité, elle abrite (et autour d’elle) de nombreux micro-organismes (y compris des champignons que l’on découvre peu à peu).

Les pisse-froids, au lieu de se mettre au travail devant ces découvertes extraordinaires n’ont qu’un seul mot à la bouche (en cul-de-poule, forcément) : “Corrélation n’est pas causalité. Nanananèèèèèèèèèère !“.

Y’en a marre des corrélations. Forcément.

Il s’agit d’un terrain encore peu exploré et surtout bien plus complexe que la théorie officielle (dite des “mutations somatiques“) selon laquelle des mutations dans l’ADN d’une seule cellule (sur trente mille milliards) provoqueraient le cancer.

Ces mutations, nombreuses et très variables d’un individu à un autre et même d’une tumeur à l’autre (chez un même cancéreux) sont bien réelles.

Mais elles paraissent de plus en plus (et à part quelques cancers particuliers, des leucémies) comme des effets et non des causes.

Le dogme qui statufie l’industrie du cancer depuis des décennies, vieillit décidément bien mal. Jusqu’à en devenir ridicule, comme un comédien essoré, barbouillé par un maquillage excessif et lâché par les spectateurs et les critiques.

Ainsi, cette pseudo science est toujours incapable d’expliquer pourquoi un jeune sportif qui ne fume pas… se paye un carcinome carabiné des poumons… Alors qu’un vieillard ayant avalé quotidiennement 2 paquets de Gitane depuis son adolescence, décède de sa belle mort à un âge canonique.

Devant tant de contradictions, on baffouillera, on utilisera des mots complexes, on vous débitera des contes à dormir debout.. Sauf qu’à la fin, on en arrive -piteusement- à accuser…. la malchance.

La fatalité.

C’est Alexandre Le Bienheureux appliqué aux sciences de la vie, ou quand la fainéantise dissimule -bien maladroitement- la bêtise ainsi que les conflits d’intérêts, évidemment…

Comme si on pouvait assimiler un cancer à… un accident de voiture.

Cet aspect infantile est frappant (on le retrouve souvent au sein de Big Pharma, inutile de revenir sur la farce des “vaccins” ARNm).

S’il s’agissait d’une simple controverse intellectuelle entre une poignée de scientifiques aussi barbus que barbants… cela n’aurait pas beaucoup d’importance.

Mais rappelons que les cancers tuent en gros 10 millions de personnes dans le monde. Chaque année. Le très méchant Sars-Cov2, rétrospectivement, fait doucement rigoler.

Dans certains pays riches (France, Canada) les cancers constituent désormais la première cause de mortalitédevant les maladies cardiovasculaires (eh oui, le podium évolue !).

Si vous voulez creuser la piste des agents pathogènes, et en particulier les champignons, je vous conseille le remarquable livre de Mark Lintern (dont la traduction française sortira fin juin).

POST-SCRIPTUM

Savez-vous que l’on commence à parler d’agents infectieux… y compris pour l’Alzheimer ?

Eh oui… Cette maladie neurologique (identifiée en 1907 par un médecin teuton eugéniste)… tourne en rond avec une théorie officielle qui craque sous ses propres contradictions : les “plaques amyloïdes“.

On patine dans la semoule depuis des décennies… malgré la mobilisaton de moyens très importants et on s’acharne à produire des molécules high-tech qui vont détruire ces plaques…. Bilan ? Foirage total.

C’est d’autant plus hallucinant que nous savons que des individus ayant le cerveau plein de ces fameuses “plaques”… n’ont jamais développé la maladie de leur vivant !

10 à 30 % des personnes âgées sans symptômes cognitifs peuvent présenter de telles plaques…

La tuile.

Pour se défausser, les clowns de service ont alors inventé  l’Alzheimer… “asymptomatique“. 😉

Cela ne vous rappelle rien ? Si bien sûr !

Si vous placez côte-à-côte cancer, Alzheimer et Covid… alors tout s’éclaire !

Suprême ironie : ces “plaques” pourraient en réalité être… une DEFENSE NATURELLE contre des pathogènes…

D’où l’hypothèse infectieuse en tant que cause -principale- de la maladie.

Bref, encore un sujet passionnant qui secoue Big Pharma dans ses fondations et avec toujours le même tryptique en filigrane : bêtise, hubris et fraude.

Pour aller plus loin, je vous recommande le nouveau livre de Charles Piller (un journaliste scientifique) : Doctored : fraud, arrogance and tragedy in the quest to cure Alzheimer’s.

Edifiant. Renversant.

Et j’insiste : tout est lié. La fraude insensée sur Alzheimer (avec des études bidonnées)… fait parfaitement ECHO à la fraude hallucinante au sujet du “Covid”, des vaccins ARNm (et derrière on peut ajouter les antidépresseurs, les opiacés “non addictifs”… la liste est longue, etc.)…

Les mêmes causes produisent TOUJOURS les mêmes effets.

POST-SCRIPTUM BIS

Et la sclérose en plaques alors ? Terrible maladie auto-immune… 120 000 personnes affectées en France… 3 000 nouveaux cas diagnostiqués par an. Cause inconnue…

Là aussi, vous avez sans doute entendu “génétique”… Les plus pointus d’entre-vous… certains virus… Mais sans succès.

Les dernières recherches… pointent du doigt des bactéries !

Source : https://www.sciencealert.com/scientists-identify-specific-bacteria-linked-to-multiple-sclerosis

On soupçonnait déjà l’influence du microbiote, mais sans en comprendre les détails.

Peut-on parler de coïncidences pour toutes ces pathologies étranges ?

Ou bien l’étau est-il en train de se refermer ?

A-t-on ignoré pendant des décennies ce que nous avions sous les yeux ? Des infections tout bêtement… et un système immunitaire qui parfois répond mal, de travers ou pas du tout… ?