Même le Figaro, le quotidien des bourgeoises complotistes, en parle désormais.
Les saloperies “vaccinales” couillonavirales ont des effets… sur les menstruations (cycles, intensité etc.). Des dizaines de milliers de femmes sont concernées, sans compter celles qui n’en parlent pas.
Car il est vrai que des femmes peuvent avoir au cours de leur vie, des cycles différents, des hauts et des bas.
Lien du jour : https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-les-troubles-menstruels-apres-la-vaccination-sont-ils-temporaires-et-benins-20211001
Dès le mois d’avril, on commençait à en parler (ici). Puis en juin. Ou encore en août chez des adolescentes.
L’idée qu’un produit génique qui est censé donner des instructions à vos cellules pour fabriquer une protéine (dite Spike)… puisse perturber les menstruations… n’a rien de naturel.
Et surtout rien de normal.
C’est comme dire : je mange des pruneaux ce qui a pour effet de faire grossir mon pied droit.
Ou encore : quand on m’injecte le produit Pfizer dans l’épaule droite, j’ai les poils qui poussent sur la jambe gauche.
Quel est le rapport avec la choucroute ?
Reformulons : comment un vaccin contre le Covid peut déclencher des règles chez… des femmes ménopausées ?
Quelle est la mécanique biologique à l’oeuvre ?
Car oui figurez-vous que c’est ce que l’on constate chez certaines “vaccinées” !
Et quand on entend cette saleté d’Olivier Variant, alors qu’il est médecin (dans une vie antérieure), affirmer avec l’assurance commune aux escrocs et aux imbéciles que :
Ces troubles sont transitoires, temporaires, ils n’affectent en aucun cas la fertilité
… on se dit que des mandales et des seringues -vides- se perdent.
Comment peut-il le savoir ? En réalité, il n’en sait absolument rien.
Il ne parle et n’agit qu’en vulgaire VRP de la propagande gouvernementale et des intérêts financiers de compagnies étrangères.
A t-il en sa possession des études randomisées en double aveugle et triple sourd, sur des années, avec des résultats probants pour pouvoir être aussi affirmatif ?
Non bien sûr que non, puisque nous avons dix mois exactement d’historique sur ces produits. Rien de plus.
Et surtout… comment explique t-il scientifiquement le lien entre les produits géniques couillonavirants et… la perturbations des cycles menstruels ?
Si on ne peut pas expliquer précisément ce qui se produit dans le corps de ces femmes suite à l’injection, comment peut-on affirmer que c’est “temporaire” et bénin ?
J’ai une idée pour déconstruire –après tout c’est à la mode– ce sinistre individu.
Mesdames, envoyez vos serviettes et tampons usagés à :
Olivier Variant
Ministère de la Santé
14 Av. Duquesne, 75350 Paris, France