Israël. La terre promise vaccinale. Quand les gueux imploraient pour recevoir l’hostie vaccinale en tendant leur sebile, Israël recevait en avant-première le produit Pifzer, grâce à un deal faustien conclu avec le labo américain (“tes doses contre les données médicales de ma population”, dans ce qu’il faut bien appeler une expérimentation géante).
La campagne débuta le 19 décembre 2020, à la vitesse des Merkava de Tsahal, lancés en cinquième sur les routes libanaises.
A ce jour, 60,5 % de la population sont doublement vaccinés (si on met de côté les enfants de moins de 12 ans, le taux pour les adultes est donc plus élevé).
66 % ont au moins une dose.
L’ex-premier ministre Benyamin Netanyahou avait tout misé sur cette campagne… pour se faire réélire en mars. Pas de bol. Il a été sorti.
Israël est donc au sens propre un laboratoire à ciel ouvert, rempli de souris neuneus à qui on a promis la lune (“le retour à la vie d’avant“) et qui en réalité sont prisonnières d’une expérimentation géante.
Où en est-on aujourd’hui ? Observons les données (source) :
Le vaccin est mi-chou, mi-buisson ardent, dans le grand ordre covidémentiel des choses.
Aux orties les pseudo 95 % d’efficacité qui n’étaient qu’un slogan marketing pour politiciens bas de plafond, médecins-plateaux TV à la ramasse, journalistes glands et ménagères de moins de 50 ans pré-ménopausées.
Son efficacité fond comme neige au soleil en fonction du temps passé et des variants.
Alors Israël une fois de plus se place à l’avant-garde… et se précipite sur l’injection de la fameuse troisième dose.
Ces crétins sont déjà à 2 millions de tertio-dosés sur une population de 9,3 millions ! Et ils s’attaquent même aux enfants à partir de 12 ans (lire ici).
On injecte donc une nouvelle fois la même chose… qui ne marche pas face au variant indien… tout en espérant que cela marchera mieux… 😉
C’est la définition même de la patascience, du Shadokisme ! Ou si vous préférez, de la bêtise crasse, voire de la folie.
Les esprits chagrins se raccrocheront aux décès qui sont moins nombreux que lors des 2 vagues précédentes en 2020 et 2021. C’est l’argument “ok les vaccins n’empêchent pas la contamination, mais ils sauveront votre vie, prout”.
Sauf que… non. Car le variant indien -malgré tous les délires vendus à la télé- est moins létal que les variants précédents.
Il y a donc toujours des vieux et/ou malades qui crèvent et qui continueront de crever “avec” le Covid. Comme d’habitude.
Comme avec Wuhan 1, Marseille 12, le variant breton, le mutant sud-africain, le colombien, la tarlouze du Kent et toute la galerie des horreurs mutantes que les médias prennent grand soin d’entretenir.
Et cela, avec ou sans vaccin.
Ca se passe en Israël et ça se passera dans tous les autres pays, car c’est inévitable.
La France toutefois est une exception. Comme elle l’était en 1986 face au nuage de Tchernobyl. Faut pas déconner.
Nous on a des centrales nucléaires, un siège permanent en cuir véritable au Conseil de Sécurité de l’ONU, Alain Juppé, la choucroute, le roblochon, Astérix et le Côte du Rhône.
En France, les patachiffres calculés par Véran et ses complices montrent que tous ceux qui sont malades ou qui crèvent “du” Covid ne sont pas vaccinés.
Et toc ! Prout. Non mais alors.
Bref. Le scénario est cousu de fil blanc. La mortalité “du” Covid augmentera de nouveau… pendant l’hiver. Ce qui constituera une surprise vraiment surprenante voire même suprisonafiante et en tout cas bouleversifiante puisque cela se produit… chaque hiver. 😉
Eh oui, on meure davantage en hiver. C’est triste, hein ?
D’autant plus surprenante que des gazillons de doses de vaccins auront été injectées dans les bras de la populace.
Plus sérieusement, la propagande d’état désignera les non-vaccinés comme responsables de la nouvelle moisson hivernale. Voilà pourquoi conserver un volant de non-vaccinés, une minorité droite dans ses bottes et ses principes et très en colère, est en réalité un cadeau bonus pour le pouvoir.
Bref, ces vaccins plus ou moins foireux ne sont pas un bug, mais une fonction. Ils participent de la continuation de la covidémence (qui demeure l’objectif principal).