Die Welt (le Monde) est l’un des 3 plus grands quoditiens allemands.
Le 29 avril, le journal publie un article consacré au passeport sanitaire, en cours de création à Bruxelles (les députés européens ayant voté pour, la Commission mettant le turbo sur ce sujet).
In conclusion, the present study has demonstrated that vitamin D deficiency is strongly associated with COVID-19 infection (P < 0.001), even after controlling for sex, malabsorption, dental diseases, race, diabetes, and obesity. Perhaps the most important finding was that vitamin D deficiency increased the risk of developing COVID-19 by a factor of 5 after adjusting for age.
C’est carré. C’est solaire.
Il s’agit d’une nouvelle étude, et cette fois mahousse (98 000 patients), réalisée aux Etats-Unis, qui montre que la carrence en vitamine D est un facteur de risque important dans le couillonavirus.
Ca fait des mois qu’on le sait. En France, en janvier 2021, des dizaines d’experts et 6 sociétés savantes recommandaient la distribution de vitamine D à grande échelle (article ici).
Our pilot study demonstrated that administration of a high dose of Calcifediol or 25-hydroxyvitamin D, a main metabolite of vitamin D endocrine system, significantly reduced the need for ICU treatment of patients requiring hospitalization due to proven COVID-19.
Bref, on attend quoi ?
Au lieu de prier Saint Vaccin, et les apôtres des Laboratoires, au lieu de faire chier la terre entière avec le doliprane et le remdesivir… On attend quoi pour réellement prévenir, traiter, et réduire les risques posés par le couillonavirus ?
La vitamine D, à l’instar de l’ivermectine et du zinc, ne coûte rien et est efficace.
Deux péchés capitaux. Deux crimes de lèse-covidémence…
La preuve : le Conseil de l’Ordre continue de harceler les médecins qui en prescrivent (mon article ici) !
Bref. Après des mois de confinement, de manque de lumière, de covidémence, de stress, vous avez le moral dans les chaussettes et votre niveau de vitamine D se situe pas loin du cap Horn. Sortez, prenez le soleil !
POST-SCRIPTUM
Pour le rôle du zinc, je vous invite à lire cet article.
En outre, Didier Raoult dans sa dernière vidéo (26/04) en parle.
“Quand le zinc est très bas, c’est un très mauvais facteur de pronostic”
“On est train de regarder si le fait d’ajouter du zinc permet d’avoir une meilleure évolution”.
Qui est ce monsieur ? Un covidément de base ? Un illuminé ?
En tout cas, c’est un devin d’exception… puisque mi-avril, il savait déjà avec certitude que les terrasses des restaurants seraient réouvertes “mi-mai “…
Il s’agit d’Achille Lerpiniere, Chef de division des Systèmes d’Informations de la Direction générale de la santé (DGS).
En clair, c’est le patron de la partie “technique” de l’enculade, excuse my french.
Il est donc mieux informé que quiconque des tenants, des aboutissants et du calendrier… Puisque c’est lui et ses équipes qui sont chargés de créer les outils.
La méthode Macron est cousue de fil blanc. Hier, il a lâché la laisse des clébards via un entretien à la presse… et l’annonce du calendrier du déconfinement en “quatre étapes“, du 3 mai au 30 juin.
Mais comme d’habitude, ce type est tellement suintant que les détails techniques de ces réouvertures seront annoncés ultérieurement, peu à peu (par Castex Avé l’Accent et/ou Olivier Variant).
L’obsession vaccinale et l’obsession du flicage généralisé via le passeport sanitaire… demeurent plus que jamais l’alpha et l’omega de l’action publique (en France, et dans la plupart des autres pays).
La terrible pandémie est calibrée pour servir ces objectifs.
Juste pour rire on rappellera qu’en décembre Macron affirmait que 5 000 cas par jour (source) c’était le seuil pour le déconfinement… On le voit… les 30 000 pseudo “cas” (asymptomatiques) en ce moment, ne le perturbe pas plus que cela…
Des mauvaises langues covidémentes (mais qui n’ont pas compris le script) feront enfin remarquer que “sanitairement” la situation est bien pire aujourd’hui que lors du déconfinement de l’année dernière…
Bref, les indicateurs (cas, morts etc.) sont pilotés.