400.000 doses du vaccin AstraZeneca non utilisées par les soignants vont servir au public. Des vaccins qui étaient normalement réservés pour le personnel soignant, ainsi que les pompiers, les ambulanciers et les aides à domicile, mais qui n’ont pas été demandés par ces derniers. (source HuffingtonPost)
La France avait déclaré une guerre sournoise contre l’Anglais AstraZeneca (lire ici) en déconseillant son utilisation pour les plus de 65 ans…. avant de changer d’avis.
Et maintenant Vérandouille s’étonne que les soignants rejettent ce produit !
Ni une ni deux, appliquant l’adage selon lequel “rien ne se perd tout se recycle”… le ministricule offre généreusement les stocks invendus… aux gogos.
Au passage, il remet une couche de culpabilisation envers les soignants en mentant de manière éhontée.
“Quand on est soignant, il est de notre responsabilité de se protéger soi-même et d’éviter d’exposer ceux dont on prend soin”, lançait-il, alors que moins d’un soignant sur trois dans le pays s’est pour l’heure fait vacciner.
Il n’y a aucune donnée, aucune preuve montrant que les vaccins empêchent les contaminations.
La phrase “éviter d’exposer ceux dont on prend soin” relève ainsi de la patacommunication.
C’est bien toute la magie, toute l’absurdité de cette obsession vaccinale concernant le couillonavirus : ils ne savent pas grand chose.
Une maladie bénigne pour la grande majorité de la population, une inutilité donc ontologique, des produits absolument pas testés, des effets secondaires inconnus, et au final une efficacité vague malgré les communiqués de presse triomphant des labos et de leurs complices gouvernementaux (voir Israël et le Royaume-Uni).