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Pays Vaccinocircus

Europe versus Royaume-Uni : où en est le vaccinocircus ?

Ce papier est parfaitement inutile (si des gens sains, jeunes sont assez crétins pour vouloir se faire vacciner, chacun son fardeau).

C’est juste pour le plaisir de faire bisquer les eurobéats bruxellois (tous covidéments, c’est à noter ) et les anti Brexit haineux.

En clair, mettre en lumière leur baltringuitude terminale. 😉

Malgré (ou plutôt à cause) des gazillons de fonctionnaires bas de plafond, des élites folles d’arrogance aidées par des grands cabinets américains de consultants : ils sont tous nuls.

Nullissimes.

Infoutus de mettre en musique leur Grand oeuvre couillonaviral.

Mot-clé : fiasco.

Voici le nombre de vaccinations par jour par millions d’habitants, moyenne mobile 7 jours (du 14/12, début de la campagne en Angleterre, au 05/02)  (source base de données).

Inutile de s’étendre : le graphique dit tout.

Mais j’insiste : sur le fond, il faut se réjouir de ce foirage humiliant. 😉

POST-SCRIPTUM

Si vous voulez des détails au sujet de la campagne française (tranches d’âge, répartition hommes/femmes, etc.), Les Echos publie un bilan.

A noter la base de données Géodes (qui suit les indicateurs de la vaccination).

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Pays Vaccinocircus

Poutine l’empêcheur de thérapie-génétiquement en rond

Comment dit-on “je te nique” en russe ?

La Russie a présenté son vaccin Sputnik V en août dernier...

Que de sarccasmes et haussements d’épaules de la part des covidéments.

Une preuve supplémentaire que le couillonavirus n’a rien de sanitaire,  mais est géopolitique…

Il y a un parfait recoupement entre les globalistes fanatiques anti-Russie et les covidéments.

En août dernier, il n’y avait… aucun vaccin. Sauf le Russe. Dans le même temps, les covidéments affirmait que le seul espoir de l’humanité contre la terrible pandémie… c’était le vaccin…

Et pourtant, ils ont toujours rejeté ce produit.

Or voilà que le Lancet publie une étude montrant qu’il a une efficacité de… 91,6 %.

Zut.

Et que… 30 pays ont déjà passé des commandes (source ZeroHedge).

Re-zut.

Il n’est pas cher et peut se conserver jusqu’à 8 degrés (forme lyophilisée).

Re-re-zut.

Sputnik V est le premier vaccin enregistré au monde basé sur la plateforme de vecteurs d’adénovirus humains bien étudiée. Sputnik V est déjà enregistré dans plus d’une quinzaine de pays du monde.

Malgré le mépris, voire la haine des covidéments anti-Russie… Sputnik V apparaît ainsi comme un des vaccins leader.

De fait, il est l’anti Pfizer/Moderna par excellence. Et il enrage les covidéments les plus extrémistes qui vivent encore au temps de la guerre froide (toute la clique américaine qui a viré Trump).

De bonnes raisons pour en faire sa promotion ! 😉

Et cela arrive pile au milieu du naufrage vaccinal européen (campagne contre Astra-Zeneca, difficultés d’appro pour Pfizer/Moderna etc.).

Tant mieux. L’hypocrisie des Européens va devenir de plus en plus visible…

 

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Vrac

La thérapie informationnelle

Tal Zaks est le directeur médical de Moderna.

En novembre 2017, il donne une petite conférence TED (courte) au sujet de la fameuse technique du “ARN messager” que vous connaissez tous maintenant grâce aux produits couillonaviraux de Moderna et de Pfizer.

Son expression choc : “The information therapy“.

La thérapie informationnelle (c’est moche je sais, mais c’est ce que j’ai trouvé de plus approchant).

Lien : https://www.ted.com/talks/tal_zaks_the_disease_eradicating_potential_of_gene_editing

Verbatim.

En fait, nous piratons le logiciel de la vie

Le mRNA est l’information qui détermine ce que fera une cellule

Nous le voyons comme un système d’exploitation

Si vous pouviez changer cela, ce que nous appelons le logiciel de la vie, si vous pouviez introduire une ligne de code ou changer une ligne de code, cela aurait des conséquences profondes sur tout, depuis la grippe jusqu’au cancer

Prenons le vaccin contre la grippe. On vous injectes des petits morceaux du virus, de protéines, votre corps apprends à les reconnaître.

Imaginez qu’au lieu d’injecter la protéine, on injecte les instructions pour fabriquer ces protéines, le corps pourrait alors fabriquer son propre vaccin.

Ensuite, il parle des cancers. Et des vaccins personnalisés (basés sur le profil des tumeurs du patients).

Mon patron est venu me voir. Il me demande : “est-ce que ça va marcher” ?

Je lui réponds : “je ne sais pas. Mais nous avons toutes les pièces pour essayer et répondre. Nous devons essayer. Aujourd’hui, je ne sais toujours pas si ça va marcher.

Nous avons essayé sur une patiente, la première avec un vaccin personnalisé.

Les prochains mois et années, nous aurons la réponse, si nous pouvons réveiller le système immunitaire contre le cancer de quelqu’un, grâce à un vaccin personnalisé.

Troisième exemple : une maladie rare (acidémie méthylmalonique).

Dans une souris malade, grâce à la technique mRNA, ils ont pu injecter le code génétique manquant.

Que penser de tout cela ?

L’espoir est à la mesure du véritable enjeu : les cancers. C’est ça la véritable pandémie, réellement mondiale, et qui tue massivement et à tous les âges !

On comprend pourquoi Moderna et Pfizer se sont précipités sur le couillonavirus. Il s’agit en réalité d’un formidable accélérateur pour cette technologie avec une application massive, dans le monde entier, et sur des populations très différentes les unes des autres.

L’intérêt scientifique est évident, sans oublier la thune, le tsnunami de pognon que la covidémence représente.

Demande et offre.

Il n’en reste pas moins que les produits génétiques pour lutter contre le couillonavirus sont parfaitement inutiles pour la grande majorité de la population. Et c’est là où on peut critiquer ces sociétés pharmaceutiques. Elles n’agissent pas en véritables médecins.

Ce n’est pas parce qu’on peut faire, qu’on doit faire.

Imaginez que que l’on parvienne à développer un vaccin contre… le rhume. Et profitant d’une “pandémie” de rhumes (en gros tout le temps, chaque année !), on finit par l’imposer aux populations.

Quel serait l’intérêt médical d’une telle vaccination ? Aucun. Injustifiable.

Avec le couillonavirus, on a créé une fausse demande, et ces laboratoires se précipitent pour créer une vraie offre.

Pour en revenir à la présentation TED. Une patiente cancéreuse a donc été traitée en 2017…

Nous sommes en 2021… En clair, si le truc avait fonctionné parfaitement, cela aurait fait du bruit.

Cet article de novembre 2020 d’ailleurs reparle du vaccin anti-cancer de Moderna. Il y a des tests phase 1 sur des petites cohortes qui montrent des effets bénéfiques (mais pas sur tous les types de cancer).

Nous sommes donc au tout début, aux balbutiements de cette technologie.

Plus largement, l’application aux cancers est-elle pertinente ? Et quid d’éventuels effets secondaires, sur le long terme ?

Car et pour filer la métaphore informatique utilisée en permanence par Moderna (lire ici)… des lignes de code foireuses qui font ensuite planter tout le système… c’est le lot quotidien des informaticiens. 😉