Nouvelle vidéo sur la chaîne “Décoder l’éco” et toujours axée sur l’étude de la mortalité couillonavirale sous le prisme de la démographie.
Les 2 premières étaient formidables (lire ici). Celle-ci itou, en se concentrant sur “l’effet moisson” et sur l’existence de sorte de cycles de 3 ans.
Pour résumer : stock versus flux. Vous savez que les épidémies de grippe ont été très, très molles du genou en 2019 et 2018… Donc le stock des personnes âgées et fragiles a gentiment augmenté durant ces années (en plus de l’augmentation provoquée par l’arrivée des baby boomers, la pyramide des âges)…
Puis arrive la terrible grippe chinoise de 2020, pardon le couillonavirus, et pouf, ce dernier flambe dans le “stock” de vieux.
Il a “moissonné”.
Ou fait ses courses, si vous préférez.
(d’autres études pointaient la corrélation, exemple ici : plus la grippe a été molle en 2018 et 2019 dans certains pays… plus le nombre de covimorts en 2020 a été important)
Mutant foireux, survendu par les covidéments. Il a certes une sale gueule, mais il est doux comme un agneau.
A chaque fois, la même méthode est employée. Ca devient risible.
-On balance un truc horrifique (“les mutants arrivent !”)
-On fait des hypothèses dessus (“ils semblent plus dangereux. On va tous mourir.”)
-On laisse mijoter dans les médias, les gouvernements en profitent pour rajouter une couche de covidémence en se basant sur ces hypothèses.
Encore une fois, à part l’existence (réelle) de ces mutants (le couillonavirus a déjà produit des milliers de mutants, c’est naturel)… il n’y a aucune donnée pour étayer ces affirmations.
Puis quelques semaines, mois plus tard… on commence à dire “ah ben non finalement, non, nous ne sommes pas sûrs… Euh en fait non. Prout”.
C’est exactement ce qui vient de se passer avec le désormais célèbre “mutant anglais” (souche du Kent, dite encore B117).
Tout ests grossi, survendu.
Is the Kent variant REALLY deadlier than original Covid strains? Symptom-tracking study claims mutated virus does not alter symptoms, severity or duration of illness
King’s College London scientists say there was ‘no difference’ between regions This suggests that the Kent variant is not triggering more severe symptoms (source DailyMail)
La saleté covidémente Patrick Vallance, conseiller scientifique du gouvernement anglais (mélange de Salomon et de Delfraissy avec un zeste de Vérandouille, je ne sais pas si vous imaginez le cauchemar), n’avait pas hésité à foncer dedans et à mentir de manière éhontée, début janvier.
Sir Patrick said that data suggested the new variant could kill 13 or 14 of every 1,000 men over the age of 60 who caught it, compared to 10 in 1,000 of the old variant.
Après l’Allemagne (lire ici), c’est au tour de la Suède de dire… “nein, no, non, nej” au vaccin d’AstraZeneca pour les plus de 65 ans.
Sweden will not recommend the Oxford AstraZeneca vaccine to over-65s, the country’s health ministry said today.
It comes after Germany advised against administering the jab to those over 65 and Emmanuel Macron claimed it was ‘almost ineffective’ for the age bracket. (source DailyMail)
Pas de bol, hein ? Quel dommage ! 😉
Alors que les vieux sont -nous dit-on- les cibles top prioritaires pour la vaccination anti-couillonavirale.
Quelle poilade.
Avec un peu de chances, AstraZeneca pourra se rabattre sur les animaux domestiques. Ou les nourrissons. Pour les foetus, ils y travaillent, si l’on croit le Lancet ainsi que le magazine Modes et Travaux.
Notons que AstraZeneca est une société anglo-suédoise (fusion du britannique Zeneca avec le suédois Astra). Etonnant donc de la part de Stockholm.
L’Allemagne -elle- bénéficie directement de ce kriegspiel (car la thérapie génique de Pfizer est conçue en partenariat avec BioNTech , société teutonne, simple coïncidence, cela va de soi).
Au passage, l’adolescent perturbé de l’Elysée en plein psychodrame Brexit a aussi fait son petit caca nerveux contre la société anglaise… Ce fut peu relayé par la presse française.
C’est bien la preuve que l’offensive anti-AstraZeneca est politique (article au sujet de tous les malheurs subis par la société).
Et nous on compte les points.
L’Europe a bel et bien déclaré la guerre à AstraZeneca. Il y a une préférence manifeste pour la thérapie génique de Pfizer.
Rappelons que le premier ne coûte pas cher, alors que le second coûte un bras.
Les commissions doivent être plus élevées avec le second, ou les retours d’ascenceur (version polie de la corruption) plus gros.
Forcément.
“Ben oui on se fait davantage de blé avec les thérapies géniques. Forcément.”
MISE-A-JOUR
A peine l’article démoulé, pouf, la France à son tour prend position -officielle. Ca va trop vite 😉 L’offensive européenne est donc désormais générale.
le vaccin AstraZeneca est autorisé en France, mais n’est pas recommandé aux plus de 65 ans(Le Figaro)
Il sera intéressant de voir les réactions d’autres pays (AstraZeneca a fourgué des centaines de millions de doses à de nombreux pays, y compris des accords de fabrication sous licence, par exemple en Thaïlande).
