
Fabuleuse journée pour les covidéments !
Une étude -française- montre que les anticorps chez les couillonavirés “forme légère”… auraient une durée de vie très, très, très limitée.
Lorsqu’une personne contracte une forme modérée de la maladie infectieuse, son système immunitaire produit des anticorps “neutralisants” permettant de bloquer l’entrée du virus dans ses cellules cibles. Mais, d’après leurs résultats publiés ce lundi dans Nature Communications, ces anticorps disparaissent progressivement, parfois même au bout de deux mois seulement. (source BFM)
Vous imaginez ce qu’ils vont pouvoir faire avec cela ? Tout un horizon covidémentiel s’ouvre ! 😉
Très tôt, au printemps 2020, des scientifiques (anglais par exemple) avaient affirmé qu’il faudrait plusieurs injections de vaccin… 1 par an, voire même deux…
Leur voeu le plus fou est peut-être en train de s’excaucer…
Si on part du principe que les couillonavirus sont devenus endémiques… et que les vaccins marchotent plus ou moins bien comme pour la grippe (c’est-à-dire bien loin des “95 % d’efficacité ” annoncés par les fabricants)… nous aurions ainsi des petites épidémies chaque automne/hiver. A répétition. Et les couillonavirés d’hier pourraient redevenir couillonavirés demain.
Retests PCR. Revaccin. Recovidémence. Redélires. Recouvre-feu. Resida mental, etc.
Rincez, répétez.
Pour toujours…
Cauchemar ? Certes.
Mais il faut avoir le courage de reconnaître que nous y sommes déjà… en plein cauchemar. Et depuis un an.