Categories
Médicament

Cancer et géopolitique : l’espoir sera chinois, indien, russe ou iranien

Ceci est une arme de destruction géopolitique massive. Un canon nucléaire à onde masturbatoire ionique ? Non. Une étude sur le repositionnement des médicaments et le cancer.

Cancer et géopolitique” ? Hein ? Et pourquoi pas “cancer et poterie” ? Voire “cancer et trottinette” !

Vous allez encore me dire que j’ai abusé de la dive bouteille. 😉

Nous parlions du fenbendazole (et de ses propriétés anticancéreuses) et un lecteur a posté le commentaire suivant :

Pour en revenir au Fenbendazole, une étude de l’Inserm de 2015 intitulée “Protéger et sévir” a mis en valeur l’expression de la protéine P53 que la molécule exacerbe sur les cellules cancéreuses.

A propos de P53, signalons un autre… anthelminthique (le monde est petit).

Le niclosamide.

“Niclosamide attacks cancer cell mitochondria and combats p53 deficiency”

Synthèse ici :
https://www.canceractive.com/article/repurposed-tapeworm%20drug%20can%20kill%20cancer%20cells

Une fois de plus, on se pince…

Ce produit est utilisé depuis des décennies, est infiniment moins toxique que la bonne vieille chimio de tata Big Pharma, ne coûte rien… et bizarrement agit sur les cellules cancéreuses (de multiples façons).

Et personne n’est au courant.

Surtout pas les pseudos cancérologues (“les spécialistes d’une maladie que l’on ne connaît pas“, comme le remarque si justement Dieudonné) !

Ni, hélas, les cancéreux (“coup de tampon sur la carte de membre, désormais tu es agréé“).

Cerise sur la tumeur : son action diffère par rapport à celle du fenbendazole.

Bref, on nage en plein délire.

Si de telles propriétés s’observent dans des tubes à essais et sur des souris (ainsi que chez des cancéreux qui osent) tout esprit rationnel, soucieux de santé publique (la vraie, pas celle fantasmée du “Covid”) travaillant pour l’état (un état réel donc souverain) mobiliserait immédiatement quelques dizaines de millions d’euros pour monter plusieurs études et tests cliniques sérieux, bétonnés, carrés.

Et dans le domaine du cancer, il n’est pas très difficile de trouver des cohortes de malades… très, très nombreuses… et surtout des malades très, très motivés !

On reformule : prêts à tout…

Ainsi, en QUELQUES ANNEES… le débat serait clos.

Basta.

C’est l’enfance de l’art !

Tout est là, sous nos yeux. Nous avons tout sous la main.

Répétons-le : ce serait terminé en un laps de temps court. Si échec, alors back to square one. Et si succès, alors cela constituerait un progrès considérable. Voire même un séisme.

La FDA américaine ne pourrait plus se foutre de la gueule des complotistes qui osent étudier et utiliser… l’ivermectine : “Vous n’êtes pas un cheval” (oh rassurez-vous bande de crapules, nous n’avons rien oublié…).

Voilà le coeur du problème. Il y a suffisamment d’indices pour AGIR, maintenant, en tant que force publique.

Car seul l’état peut le faire.

C’est l’évidence.

Pourquoi une société pharmaceutique cotée sur le Dow Jones ou le CAC 40 dépenserait du pognon pour chercher un truc, qui en cas de succès, ne rapporterait PAS UN SEUL CENTIME  ?

Il n’y a plus aucun brevet sur ces molécules (tant elles sont anciennes).

Pire encore : pourquoi prendraient-ils le risque… de détruire une part importante de leurs énormes profits, en rendant obsolètes leurs traitements contre le cancer (chimiothérapie, immunothérapie etc.) ?

Le cancer est une véritable industrie.

Nous ne pouvons pas blâmer le secteur privé. Ne soyons pas naïfs ni mauvais joueurs.

Le coupable (corrompu en son coeur par des membres du secteur privé) c’est bien ce pseudo état qui nous coûte tant, qui nous flique tant, qui prétend gouverner chaque instant de notre vie… et qui en même temps… se révèle être un gros loukoum qui N’OSE RIEN FAIRE.

La honte, la vraie, incendiaire, elle est là.

J’ai une intuition… cette percée aura lieu hors Occident… Chine, Inde, Russie, Iran.

En clair : les ennemis de l’Occident.

Ces pays vont comprendre que battre l’Occident ce n’est pas seulement appuyer sur toutes ses névroses (LGBT, racisme, wokisme, mondialisme, gauchisme, haine de soi etc.)… mais aussi le battre dans ses domaines d’excellence !

Comme par exemple la médecine.

L’Occident a inventé la médecine moderne. Impossible de le nier.

Et la médecine concerne, par définition, l’humanité toute entière.

Pourrait-on imaginer plus belle victoire que de DETRUIRE LITTERALEMENT Big Pharma (symbole occidental) ?

Car si ces pays peuvent démontrer que Big Pharma ment depuis des DECENNIES, que le corps médical occidental est aveugle et surtout d’une piètre qualité intellectuelle, et qu’ensemble ils sont responsables de la mort -prématurée- de CENTAINES DE MILLIONS d’individus… alors en terme géopolitique, ce serait un échec et mat éblouissant !

Ce serait une superbe attaque… asymétrique. Une redéfinition totale de l’expression soft power.

  • Ces pays sont confrontés, à cause du vieillissement, à une hausse mécanique et importante du nombre de cancers dans leur population (cancers = 10 millions de morts et 20 millions de nouveaux cas dans le monde chaque année, à la louche).
  • Ces pays ont désormais des MOYENS COLOSSAUX (financiers, humains)…
  • Ces pays disposent d’un terreau scientifique pointu, important, voire considérable (dans le cas de la Chine et de l’Inde)…
  • Ces pays ont une tradition et une pratique -réelle- de l’état fort, de l’état stratège…

Ils ont ainsi une carte à jouer.

Ils disposent d’une extraordinaire fenêtre d’opportunité.

Categories
Médicament

Les cellules cancéreuses utilisent… le système nerveux

Le professeur Ouistiti de l’Académie de Médecine réfléchit au nouveau protocole contre le cancer à base de gaz de combat, pardon, de chimiothérapie. Il est confiant. Perplexe, mais confiant.

Si on vous dit qu’un bêtabloquant ou un médicament anti-migraine ou encore un anti-épileptique qui “ralentit” la transmission neuronale… peut réduire la progression d’un cancer… vous pensez immédiatement à :

  • complotisme
  • poutinophilie
  • antisémitisme
  • transophobie

… Car enfin quel rapport avec la choucroute médicale, en l’espèce le bon vieux cancer des familles ?

C’est comme les fous furieux qui évoquent l’activité anti-cancéreuse des molécules anthelminthiques du type fenbendazole ou ivermectine, n’est-ce pas ?

Les éminents singes professeurs de l’Académie de Médecine nous répètent depuis des décennies (sept, une paille) que le cancer se traite avec des chimios, des rayons et de la chirurgie, et puis basta.

Certes, les singes professeurs les plus jeunes, les plus “startup nation” ajoutent immunothérapies et autres “vaccins ARNm” dans leur cabas… Sans aucun effet réel ni durable, mais ce n’est pas grave, ça sonne bien.

Et surtout, ça paye beaucoup plus !

Les tenants du dogme et leurs serviteurs zélés sont comme des chimpanzés à qui on demanderait de construire le barrage des Trois Gorges.

La seule différence entre ces deux groupes d’animaux à leur stade de développement respectif ?

L’arrogance de l’homme ne connaît aucune limite.

Et pourtant… c’est démontré.

Le cancer utilise le système nerveux pour se répandre et se multiplier, voire même pour affaiblir les défenses immunitaires !

Un article passionnant paru dans Nature fin janvier présente la problématique.

Lien : https://www.nature.com/articles/d41586-024-00240-3

Et c’est stupéfiant.

Il n’y a pas d’autres mots.

Un extrait (parmi d’autres) :

she led a phase II clinical trial, published in 2020, testing the beta blocker propranolol in people with breast cancer. Taking the medication for just one week reduced signs of the cancer’s potential to metastasize.

Qui parmi les oncologues (“les spécialistes d’une maladie qu’on ne connaît pas” comme le rappelle Dieudonné) est au courant ? Ont-ils lu ? Ont-ils réfléchi aux conséquences de telles découvertes ?

Ont-ils compris que tout ce qu’ils préconisent et font mécaniquement depuis des lustres prend un sérieux coup de vieux voire un franc coup derrière la nuque ?

Le professeur Ouistiti va pouvoir retourner à ses chères études…

Pour le barrage des Trois Gorges… on n’est pas rendu ! Pour le traitement du cancer hélas… non plus.
POST-SCRIPTUM

Le plus choquant ce ne sont pas tant ces “protocoles” aussi bourrins qu’absurdes… que l’arrogance inouïe qui les entoure.

Il suffirait de dire : “dans l’état actuel de nos connaissances, voilà ce que nous vous proposons, ce n’est guère brillant, mais au mieux vous gagnerez quelques mois, au pire vous en perdrez quelques uns…“.

La science doit être un éternel questionnement, un éternel commencement, sinon ce n’est pas de la science, mais une vague religion.

Je l’ai souvent écrit : le délire du Covid a eu cette grâce absolue… Dessiller nos yeux.

Le nombre de médecins bac + 15 et autres pontes émérites avec des carrières prestigieuses qui se sont révélés être des imbéciles finis à la pisse… est tout bonnement vertigineux.

Et ce sont les mêmes à qui nous devrions confier nos pathologies du moyen-âge ? Et in fine, nos vies ?

Quelle farce.

Statistiquement, nous avons tous connu -intimement- le cirque du cancer, la valse des “protocoles”, les chimios et des rayons qui démolissent les malades… qui les achèvent.

Mais je le répète, ce qui frappe le plus, c’est toujours cette morgue insupportable, verrouillée au corps… du corps médical : “nous détenons la vérité vraie. Nous sommes le bien, le vrai, le juste“.

Alors que de nombreuses études démontrent qu’au contraire nous savons peu de choses… Et que nous savons fort mal.

Et que tout reste à découvrir, à comprendre…

Et que le cancer est un sujet infiniment plus compliqué et qui réclame une approche infiniment plus nuancée que le dogme infantile et psychotique : chimios + rayons en mode “on va tout niquer, on extermine les cellules cancéreuses, on va gagner“.

Categories
Médicament

Miracle du bibonnage Covid : ivermectine contre cancer

Nos trois harpies se fendent la poire : Big Pharma a commis une grossière erreur.

Je l’avais prédit (pas difficile). Ca commence.

Le bidonnage, la censure, la folie furieuse du “Covid” furent d’une telle ampleur que… de multiples digues ont explosé.

Les digues de la bêtise, de l’étroitesse d’esprit,  de la peur, et surtout les digues de la corruption de Big Pharma.

Nous sommes nombreux, simples quidams, simples curieux, malades mais aussi médecins… à avoir compris que les choses ne tournaient pas rond et qu’il fallait tout revoir, tout remettre en question.

La guerre insensée livrée contre l’HCQ et l’ivermectine depuis 2020… ont paradoxalement excité la soif de connaissance…

Plus vraiment contre le “Covid” (car cette baudruche s’est définitivement dégonflée) mais contre l’éléphant, le véritable éléphant dans notre monde moderne : le cancer.

Comme disait Dieudonné dans son sketch consacré au cancer, véritable chef d’oeuvre de finesse et d’ironie :

“le mot est lâché, coup de tampon sur la carte de membre”. 😉

On a enfin compris que les traitements dits “conventionnels”, c’est-à-dire les chimiothérapies et les rayonnements ionisants (la chirurgie demeurant à part), sont aberrants (dans la plupart des cas).

Et qu’ils ne correspondent qu’à un dogme, une certitude totalement non-scientifique puisque imposée, répétée depuis des décennies, gravée dans le marbre.

Gravée dans le marbre… et surtout monnayée !

L’heure est au “repositionnement” des anciennes molécules, connues, éprouvées, moins toxiques.

the FLCCC Alliance announced that it has partnered with renowned breast cancer physician and researcher Kathleen Ruddy, MD, to conduct an observational study in five U.S. clinics to track patient responses to various adjunct cancer therapies using repurposed drugs and determine improvements in the five-year survival rate to several types of cancer including breast, prostate, lung, and colorectal. (source)

Comme contre le “Sars Cov2” (un virus quasiment surnaturel, chimère mélangeant accident de laboratoire et terrible arme biologique)… il faut essayer les molécules existantes.

Et en particulier celles qu’on nous a ordonné… de négliger, d’oublier, de moquer, de haïr même.

L’ivermectine

Le docteur Marik, la tête pensante de cette étude menée par la FLCCC, le dit très justement :

“This little fungus that grew in a golf course in Japan is scaring the shit out of them.”

L’ivermectine, surnommée la “wonder drug“, qui vient d’un petit organisme découvert dans un seul échantillon de terre prélevé près d’un terrain de golf au sud-ouest de Tokyo au début des années 70… leur fout une pétoche noire

Avant la covidémence, l’ivermectine était totalement ignorée du grand public mais aussi des professionnels (à part des Africains qui guérissaient grâce à elle d’une horrible maladie parasitaire, l’onchocercose… hélas l’Afrique tout le monde s’en tape… c’est un trou noir en terme de communication)…

Le délire absolu imposé durant la covidémence pourrait être ainsi un signe… Le signe d’une grossière erreur commise par Big Pharma.

Cette molécule étonnante, qui ne coûte rien, qui n’appartient à personne (les brevets sont tombés), semble avoir de très, très nombreuses vertus (le docteur Gérard Maudrux a fait pour les francophones un remarquable travail de présentation sur son blog).

Il convient désormais de toutes les lister, méthodiquement, et de tester.

D’oser faire des tests.

C’est le point fondamental.

Il s’est réellement passé quelque chose durant le “Covid”, quelque chose de très positif.

La barrière mentale est tombée.

Nous allons désormais oser.

POST-SCRIPTUM

La curiosité scientifique et le désespoir face aux ravages des traitements “conventionnels”… n’ont pas attendu la covidémence pour s’exprimer et… remuer dans les brancards.

Mais cela restait confiné à des malades, à leurs expériences personnelles. Et bien entendu, peu de médecins osaient s’aventurer sur un tel continent.

Citons 2 exemples de ces cancéreux qui ont dit “ça suffit”, mais il y a en a de très nombreux autres.

-L’Américain Joe Tippens avec son cancer des poumons carabiné et son protocole axé sur le fenbendazole (autre anti-parasite), huile de CBD (extrait cannabis sans THC, mais d’autres utilisent avec THC), etc. … Blog et un impressionnant groupe Facebook.

-Bien avant (1994/2004), l’Anglaise Jane McLelland (col utérus + poumons avec métastases). Son livre a été traduit en Français. Nombreuses molécules (metformine, dipyridamole, loratadine, doxycycline, chloroquine, et compléments alimentaires ou encore vitamine C en intraveineuse à hautes doses).

Elle fut une véritable Sherlock Holmes du cancer, voulant sauver sa peau, et se documentant et expérimentant.

Dans tous les cas, l’idée de base est que le cancer est une maladie métabolique (l’origine génétique étant beaucoup plus réduite qu’on ne le croit).

Et que la première ligne de défense est notre système immunitaire.

C’est lui qu’il faut soigner, muscler, reconstituer… au lieu de l’affaiblir, de le détruire de manière fanatique, obtue, imbécile avec des poisons (les sinistres chimiothérapies à doses massives qui bien entendu détruisent les cellules cancéreuses -pour un temps limité seulement-… mais aussi tout ce qu’il y a autour… c’est-à-dire le corps des malades !).

POST-SCRIPTUM BIS

Le “repositionnement” c’est sortir du carcan -idiot- de l’AMM (autorisation de mise sur le marché).

Ainsi l’ivermectine est le traitement officiel contre l’onchocercose, mais aussi contre la gale (maladie de peau très contagieuse).

On se souvient d’ailleurs de l’Ehpad en Seine-et-Marne qui avant le début de la terrible pandémie fut traité… à l’ivermectine en raison d’une flambée de gale et qui par miracle échappa… à l’hécatombe couillonavirale… !

Enième “mystère mystérieux” (copyright) et énième “corrélation n’est pas causalité prout” (trademark). 😉

Mais qui sait que l’ivermectine… est également le traitement miracle contre… les poux. Une seule dose suffit.

Mais oui. Les poux qui pourrissent la vie de si nombreux parents, depuis toujours, et qui coûtent un pognon de dingue en lotions et autres produits inefficaces ?

Et vous savez qui avait lâché le morceau ? Le professeur Didier Raoult.

Et vous savez en quelle année ? 2013 (dans un article publié dans Le Point) !

Mais voilà… cet usage n’est pas listé dans l’AMM de l’ivermectine !

Donc… CA N’EXISTE PAS aux yeux du système, de ses gardiens, de ses zélotes, de ses esclaves.

Et si vous affirmez le contraire, alors vous devenez un dangereux complotiste, un médecin déviant, un charlatan, voire un terroriste.

Pourquoi voulez-vous que les fabricants de lotions et autres poudres de perlimpinpin… financent les études et recherches ad hoc ?

Pour promouvoir un traitement réellement efficace mais qui ne rapporterait rien ?

Le pognon et donc la corruption.

Voilà le noeud gordien de… la santé.