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Saloperie et sida mental

Etats-Unis : une dérive autoritaire déjà ancienne

Qui pourrait en vouloir à un vieux monsieur handicapé qui joue avec des enfants ?

Il est de bon ton de critiquer la dérive autoritaire des Etats-Unis.

Après tout c’est factuel : depuis les attaques “terroristes” de septembre 2001… et le coup des 5456976 pages de l’infâme “Patriot Act” conférant des pouvoirs hallucinants aux autorités fédérales (loi qui était -miracle- déjà écrite et qui attendait bien sagement dans un tiroir…)… l’Amérique s’enfonce.

Et nous avec.

Mais comme souvent… notre mémoire de poisson rouge nous joue des tours.

Et si, finalement, la vraie liberté, celle des Pères Fondateurs et leur extraordinaire Constitution n’avait été qu’une modeste parenthèse temporelle ?

Inutile de revenir sur la création de l’impôt sur le revenu (octobre 1913), la création de la FED (décembre 1913), l’entrée dans la première guerre mondiale, suivie par l’absurde Prohibition (1920)… Autant de signes

Non, prenons plutôt un héros. Postérieur.

Franklin D. Roosevelt.

Démocrate, président avec plus de 2 mandats (de 1933 à sa mort en avril 1945), le président de la Dépression, le président du “New Deal” et celui de la Deuxième guerre mondiale, du “D-Day“, de la Victoire.

Le héros absolu dans nos livres d’histoire.

En réalité assoiffé de pouvoir, ennivré par cette terrible logique qui fait perdre la raison :

La fin justifie les moyens“.

Avec ses “executive orders” signés à la chaîne, il bouleversa l’Amérique, son équilibre institutionnel et constitutionnel, il pervertit la Constitution et démultiplia les pouvoirs… de l’état fédéral.

En clair : les siens.

Mais voilà, il était dans le Camp du Bien. Il terrassa le totalitarisme (le nazisme, le fascisme italien, le fascisme japonais).

Il fut l’homme, le leader, confronté à des situations extraordinaires. Des “crises“.

Alors, il brille au firmament de la mystique américaine… ce film dûment et perpétuellement mis en scène par Hollywood.

Propagande…

Je vous donne un seul exemple, concret : le 5 avril 1933… Roosevelt -d’un trait de plume- rend ILLEGALE la possession… d’or (pièces, lingots etc.) et impose de les livrer au gouvernement (à la FED) un mois plus tard !

Peine encourue par les réfractaires, déjà de dangereux terroristes, de mauvais citoyens on s’en doute ? 10 000 USD (226 000 USD de nos jours) et/ou 10 années de prison !

Inutile de s’étendre sur les pseudos raisons techniques d’un tel ordre délirant… le fait est là.

(Exercice pratique… essayez de visualiser une telle décision aujourd’hui. Ou encore Macron vous annonçant par exemple un soir à la télé : “je vous enferme en raison d’un virus grippal“… Ah pardon… ça a réellement eu lieu…).

Cette seule décision suffit à disqualifier la présidence de Roosevelt dans son entièreté.

Mais voilà… la “fin justifie les moyens“. Excuse classique de tous les constructivistes (terrorisme, Covid, réchauffement climatique, etc… même combat, ressorts identiques).

Une justification parfois sincère… le plus souvent viciée, vicieuse.

De nombreuses autres décisions furent totalement anticonstitutionnelles (création de la Social Security par exemple, la création d'”agences publiques“…).

Il tenta même d’étouffer la Cour Suprême (à l’époque à majorité conservatrice)… avec le projet de  nommer 6 nouveaux juges (sur 9) en 1937, juste après sa réélection (par surprise, ce n’était pas dans son programme).

Car il fut réélu TRIOMPHALEMENT en 1936 (60 % du vote populaire et un score africain sur le collège électoral)… et comme la “fin justifie les moyens“… alors voilà… notre grand “démocrate” passa à l’action (sur ce point, il échoua, mais la Cour Suprême prit peur et lui passa ses caprices ensuite et naturellement, plusieurs juges décédèrent de vieillesse après, Roosevelt put ainsi nommer des remplaçants à sa botte).

Sans oublier, après Pearl Harbour, sa décision d’envoyer les Américains d’origine japonaise dans des camps de concentration (1942/1946) !!!!!

125 000 Américains, des citoyens pourtant ! Là encore d’un simple trait de plume… transformés en animaux sauvages dénués de droits.

L’honnête homme du 21ème siècle doit comprendre ce fait indépassable : c’est Franklin D. Roosevelt qui est à l’origine du monstre administratif et totalitaire que nous connaissons aujourd’hui (“executive overreach“).

Roosevelt fait bien plus qu’incarner le “big governement” ; il lui donne naissance.

Les Etats-Unis, le pays “libéral” par essence, né d’une lutte contre l’injustice et l’autoritarisme (la monarchie anglaise), le temple du capitalisme, de la liberté (la statue de la Liberté accueillant des millions de crevards européens à New York) a toujours eu une part d’ombre (extermination des indiens, la guerre civile… l’esclavage, la ségrégation, puis le maccarthysme, l’assassinat de JFK, les émeutes raciales, la guerre du Vietnam, Guantanamo, etc. La liste est longue)…

Soit le tryptique infernal :

  • ultra violence
  • combinée à un fanatisme utilitaire (“la fin justifie les moyens“)
  • le tout rehaussé par une mystique élective (“one nation under god” et le fameux exceptionnalisme américain).

En clair : la parfaite recette pour la dictature moderne 2.0.

Au nom du bien.

Tu peux toujours te brosser. Nous, on ne veut pas de toi (note du service illustrations : poster original 1917).
POST-SCRIPTUM

Lorsque l’impôt sur le revenu est créé aux Etats-Unis (octobre 1913), il s’élève à… 1 %.

C’est du brutal… 😉

Plus une surtaxe de 6 % pour les très gros revenus (500 000 USD de l’époque, quelques millions de dollah de nos jours).

Cinq années plus tard… “à cause” de la guerre… le pourcentage atteint… 77 % pour les revenus supérieurs à 1 million de dollars…

Ensuite ça baisse…

En 1932, “à cause” de la Dépression le taux maximum d’imposition remonte à 66 %

Pour culminer en 1944, “à cause” de la guerre… à l’ahurissant… 94 %. 😉

Le “à cause” est bien entendu une arnaque et doit se lire en réalité “grâce à“…

C’est le régime d’exception qui devient la norme

Piège dans lequel les hommes tombent, encore et encore.

Depuis le premier dictator dans la Rome antique…

POST-SCRIPTUM BIS

Pour les amoureux de la constitution américaine, je vous conseille cet article remarquable (qui m’a donné l’idée d’écrire sur le sujet).

Lien : https://www.zerohedge.com/political/americans-are-fighting-control-federal-powers-shouldnt-exist

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Vrac

Obésité à l’anglaise : les tribulations de Candide au Japon

“Crunch, crunch, mwarf, grouik”. L’obèse anglais se reconnaît à son ramage et à sa danse nuptiale.

Soit la Perfide Albion. Soit un programe télévisé complètement débile qui consiste à faire voyager une bande d’obèses pathologiques dans le monde… pour qu’ils apprennent à perdre du poids !

Le titre de l’émission ? “Around The World In 80 Weighs” ! (source DailyMail).

Oh my god ! C’est si fin et si lourd à la fois (référence au bouquin de Jules Vernes… Le tour du monde en quatre-vingt jours). 😉

[note de la direction : mon stagiaire chinois au service illustrations s’est planté de livre. La honte]

Ca n’a pas loupé. Ces six crétins débordant d’huile furent envoyés… au Japon… pays dans lequel les gens sont normaux.

Comprendre : avec un poids normal.

Et là, ces six pauvres chéris sont… épouvantés…. Les gens dans la rue les regardent ! Les enfants rient à leur passage ! On les pointe du doigt !

Car c’est précisément ce qu’ils sont : des bêtes de foire.

‘They’re so open about being rude,’ she continued. ‘Why would you point and laugh at another human being? It’s just cruel.’

‘It just blows my mind that you’re not allowed to be who you are and you just have to fit it,’ agreed 31-year-old Marisa.

Marisa nous sert la classique soupe de victimisation woke et veule dont on l’abreuve à la maison depuis sa terminale X option Couture : “j’hallucine de voir qu’on n’est pas autorisés à être ce que nous sommes… et que nous devons seulement nous conformer”.

Elle a oublié le “prout” à la fin comme ponctuation.

Oui Marisa… Tu es anormale. C’est à toi de te conformer aux gens normaux. Pas l’inverse !

Puis la gourde adipeuse s’enfonce… sous l’effet de la gravité :

I don’t feel like I should be here,’ Marisa continued. She added: ‘In this country I don’t feel comfortable, and for me personally, it isn’t somewhere I would come back.

Ca tombe bien : les Japonais ne veulent pas de toi ! Tu n’es pas la bienvenue. Retourne dans ton shithole anglais graisseux.

Edith Cresson avait raison ! Les Anglais sont des pédés et les Japonais sont des fourmis ! La prochaine fois on voyagera aux Etats-Unis ! Et toc !”
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Saloperie et sida mental

Etats-Unis : pourquoi l’invasion migratoire au sud ?

Futurs électeurs américains… démocrates.

“J’ai besoin de davantage de gens dans mon district uniquement pour le redécoupage”.

Voici ce que vient de déclarer au sujet des migrants, une député noire américaine (de gauche) élue dans l’état de New York (Brooklyn).

Elle ajoute qu’avec la “diaspora” déjà présente, ils peuvent “absorber” ces nouveaux arrivants (source et analyse en anglais).

Le sujet est peu connu des Européens, car tabou.

On se souvient -vaguement- du fameux “mur” que Donald Trump voulait ériger à la frontière avec le Mexique.

Un mur pour nous, européens encore blancs et encore conscients, c’est le mur de Berlin ; c’est le Mal.

Mais nous ne comprenons pas réellement ce qui se passe depuis 2020, avec l’administration Joe Biden (et avant avec Obama).

La frontière au sud est littéralement démantelée.

Conséquence : plus de 4 millions d’étrangers sont arrivés clandestinement aux Etats-Unis depuis 2020 (source).

Et non, pas uniquement des latinos (Afrique, Moyen-orient et même Chine).

La question est “pourquoi ?” Car il s’agit bien d’une politique délibérée (la Maison Blanche a d’abord nié l’existence du problème, avant de le minimiser).

La député new yorkaise vient de donner l’explication, avec une remarquable ingénuité.

La Chambre des représentants (Assemblée nationale chez nous) compte des centaines d’élus, venant de tous les états. Mais comment s’effectue la répartition ?

Par la population.

Cette dernière est évaluée tous les dix ans grâce au recensement (census).

Ainsi la Californie, l’état le plus peuplé de l’Union, dispose de 52 sièges.

Dans un état fédéral comme les Etats-Unis… le pouvoir commence D’ABORD par le nombre de représentants dont chaque état dispose… Avant même la capacité de les faire élire en manipulant les électeurs…

Or les états démocrates (les états bleus) souffrent d’un phénomène… troublant : des habitants fuient. Littéralement.

Ils votent avec leurs pieds, ils en ont assez de la fiscalité, de l’insécurité, des politiques wokes, du fanatisme LGBT+, de l’impossibilité de se loger, etc.

Alors ils s’installent au Texas ou en Floride (états rouges, tenus par les républicains).

Suite au recensement de 2020… la Californie a ainsi perdu 1 siège (de 53 à 52). Une première dans son histoire !

Faire venir massivement des migrants permet de boucher les trous et de s’assurer de futures victoires électorales (les migrants ayant souvent un atavisme de “gauche” et il est facile de les contrôler par des politiques d’assistanat, de discrimination positive).

Ils finiront par être naturalisés, voire ils pourront voter illégalement (de nombreux états ne contrôlent pas l’identité des votants), ou bien ils feront des enfants… tous citoyens américains.

En 2008, le nombre total d’enfants nés de parents clandestins aux Etats-Unis s’élevaient… à 4 millions (340 000 rien que pour l’année 2008, soit 8 % du total des naissances).

POST SCRIPTUM

Pas besoin d’avoir fait l’Ena option Cuisine pour constater que le même phénomène se déroule en Europe.

En pire.

D’abord parce que les populations concernées sont principalement musulmanes donc difficilement assimilables.

Et elles le seront encore moins à mesure que les bantoustans se multiplient et grossissent sur le territoire national.

Et enfin, parce que cette invasion a commencé bien avant.

Concrètement, ça signifie quoi ?

Faisons abstraction des élections locales et même du découpage des circonscriptions…

Il est désormais évident qu’aucun candidat à l’élection présidentielle (scrutin national) ne pourra être élu sur un programme de “droite”, a fortiori en faveur du contrôle des frontières et de l’immigration.

Je reformule : stop aux fantasmes (la spécialité des droitards) !

Un candidat comme Zemmour ne sera JAMAIS ELU.

Jamais.

La raison est bien entendu le vote des Français d’origine immigrée. Et même s’ils votent moins que les bons vieux boomers blancs… leur masse suffit (déjà) à faire barrage au second tour.

Cette évidence arithmétique (ethnomathématique) est apparue au grand jour en 2012 quand dans les banlieues parisiennes tiers-mondisées… le piteux candidat Hollande fit plus de 70 % au second tour !

Des scores quasi soviétiques… pardon… africains.

Sur le département de la Seine-Saint-Denis 65,32 % contre 51,64 % au niveau national (1,13 million de votes de plus que Sarkozy, réfléchissez… ce n’est pas grand chose).

Dans le détail :

  • Villetaneuse = 78,22 % (2017 = Macron à 83,77 % ! 2022 = Macron à 77,47 %)
  • Saint-Denis = 77,78 %
  • Bobigny = 76,74 %
  • La Courneuve = 75,30 %
  • Montreuil = 74,84 %
  • Saint-Ouen = 73,63 %
  • Pierrefite-sur-Seine = 73,92 %
  • Stains = 73,50 %
  • Bagnolet = 72,37 %
  • Clichy Sous Bois = 72,07 %
  • Pantin = 71,38 %

La crème de la crème… !

En 2012, au second tour, les électeurs d’origine immigrée n’ont pas déclaré leur amour à Hollande (qu’ils méprisaient sans doute, et à raison).

Mais ils ont fait barrage à Sarkozy, perçu comme de “droite” et lesté de son fameux “kärcher”.

Et c’était il y a plus de dix ans !

Dans l’intervalle, combien de ces chères têtes blondes nées en Seine Saint Denis (ou ailleurs) sont devenues majeures, et donc équipées de leurs droits civiques ?

Dans l’intervalle, combien d’étrangers se sont installés légalement et illégalement ?

Dans l’intervalle, combien d’enfants ont-ils eu (bénéficiant automatiquement de la nationalité française et qui deviendront majeurs dans quelques années…) ?

Sans compter que le deuxième facteur de l’équation échappe à la plupart des veaux…

Car, autre “en même temps“… de nombreux électeurs français traditionnels (Robert et Christine, un coup à droite, un coup à gauche)… décèdent (du Covid, of course). 😉

La génération nombreuse du baby boom, après avoir tout salopé, a le bon goût de passer l’arme à gauche.

Ca va faire des gros trous dans les listes électorales… augmentant encore mécaniquement l’influence du vote ethnique (arabo-africain principalement, mais disons non-occidental).

Il est impardonnable de ne pas comprendre que tout changement qui affecte une population (sa pyramide des âges, son nombre et sa composition ethnique) entraîne forcément des conséquences sociales, économiques et politiques…

Et il n’y a finalement rien de plus raciste, et rien de plus sot, que de faire semblant de croire que les hommes sont tous SEMBLABLES et parfaitement INTERCHANGEABLES.

Les hommes sont différents, et ce sont les hommes qui font société.

Si on change une population… on change sa société.