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Chine : le supplice des cent confinements

1905. Eh oui les gars ça ne plaisantait pas à l’époque. Le philosophe Georges Bataille a totalement tripé sur cette photo. L’air extatique du supplicié pose question (opium ?). (sur ce coup là j’ai grillé mon stagiaire chinois au service illustrations, bien fait !).

Vous connaissez le supplice des cent morceaux ? Une spécialité pékinoise… sans le bouillon ni les raviolis. 😉

Une centaine d’années ans plus tard, rien n’a changé. Du moins dans l’intention.

Ainsi vous avez sans doute lu que le confinement (2 mois) de Shanghaï avait pris fin ?

C’est vrai.

Mais pas… totalement.

Multiple neighborhoods in Shanghai were placed back under lockdown only a day after city-wide restrictions were lifted, as China’s stringent zero-Covid strategy continues to haunt the financial hub. (source CNN)

Nearly 2 million people were still confined to their homes in areas designated as “high risk” by the government.

Seven new Covid cases were detected in the city’s Jing’an and Pudong districts, resulting in four neighborhoods being swiftly sealed off and designated as “medium-risk areas” — meaning residents will be confined to their homes for 14 days.

Rien de tel que quelques coups de règles sur les doigts… après quelques jours de liberté, pour achever de briser les gens

Idem à Pékin, où les campagnes massives de tests reprennent car ils ont découvert quelques cas ici ou là… reprise épidémique qualifiée… d'”explosive” par les autorités. 😉 (source VOA)

L’occasion de taper sur le quartier des clubs, des bars et… des ambassades.

Harceler des étrangers, c’est toujours bon à prendre. C’est bonus.

Cette campagne de harcèlement et cette stratégie de la tension se poursuivront naturellement.. jusqu’en novembre lorsque se tiendra le crucial congrès du PCC (l’évènement est tellement important que sa date est tenue secrète !).

Non Xi Jinping n’est pas fou.

Non Xi Jinping n’en a rien à foutre du “Covid” en tant que sujet de “santé publique” (jamais, même en janvier 2020, ce ne fut un sujet de “santé publique”).

Il fait de la politique -lui.

Comme Poutine, mais différemment. Belle tenaille géopolitique d’ailleurs.

Bien entendu, ça dépasse totalement les neuneus occidentaux qui à la place s’excitent sur le racisme, la transophobie, les genres, la couleur du string du Prince Charles, les “migrants”, le “réchauffement climatique”, la 7ème “vague”, ou encore une MST qui donne des boutons sur la queue… des singes.

Ou celle des homos.

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Chine : le vent mauvais souffle !

Kim Jong-Un envoie le vent mauvais vers la Chine.

Après l’écrasement confinatoire de Shanghaï et le viol psychique de plus de 20 millions d’habitants, la Chine sombre dans le burlesque.

Une ville de 2,9 millions d’âmes située près de la frontière avec la Corée du Nord ne comprend pas.

Malgré un confinement depuis fin avril… des “covicas” (défense de rire) continuent d’apparaître dans la localité !

“Roger, on a un problème, on a toujours des tests PCR positifs !”

Sapristi !

Mystère et boule de riz !

Que se passe-t-il donc dans ce modeste village (à l’échelle de la Chine) ?

Les fonctionnaires locaux bas de plafond ont trouvé le COUPABLE (car il en faut un pour les échelons supérieurs du PCC, sinon ils seraient envoyés au goulag vite fait bien fait).

Le vent.

Oui le vent.

Vous avez bien lu.

Description scientifique du phénomène :

Le vent souffle de l’autre côté de la frontière, c’est-à-dire en Corée du nord qui patauge dans le couillonavirus (comme chacun sait).

Le vent traverse le fleuve Yalu qui sépare les deux pays, il franchit donc la frontière avec ses petits bras et cet enfoiré ne présente même pas ses papiers à la douane !

Clando en plus.

Il poursuit sa trajectoire délétère et arrive dans la ville chinoise de Dandong, et là, sans sommation, il attaque sauvagement des pauvres innocents dans la rue… et leur refile la chtouille le couillonavirus !

Tout est clair ? 😉

Voilà pourquoi on conseille aux habitants… de fermer leurs fenêtres.

Pour vous fendre la poire, la version anglaise publiée par le Bangkok Post est bien aussi.

Et si vous avez deux minutes, vous pouvez réviser vos classiques à commencer par Paul Verlaine.

Et je m’en vais
Au vent mauvais
Qui m’emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.

(Chanson d’automne).

Et voilà.

Le vent mauvais.

Il suffisait d’y penser.

Allez ! On finit en chanson !

POST-SCRIPTUM

En parlant de Chine et de vent (?), la ville de Pékin annonce… 8 cas pour mardi. Tandis que Shanghaï fait tapis pour voir avec… 15 cas pour la même journée.

23 covicas sur un total de 47 millions d’habitants… c’est très chaud ! Ils sont à deux doigts du génocide viral.

Ils vont de nouveau tous mourir.

Bref, la croisière chinoise n’en finit pas de s’amuser.

Et nous avec.

J’ai une suggestion à faire aux fonctionnaires chinois. Ils devraient commencer à utiliser des… nombres décimaux.

Ils pourraient ainsi annoncer 4,3 cas à Pékin par exemple. Puis 0,7 ou 0,4… Puis le fameux ZERO serait atteint.

Et là, autre idée de génie (c’est banal chez moi) : les nombres négatifs ! Ca aurait de la gueule.

“Aujourd’hui à Shanghaï nous avons dénombré -12 nouveaux cas ! Grâce à l’action décisive du Parti, le virus est vaincu, et continuera à l’être encore plus -vaincu- dans le futur grâce aux nombres négatifs de nouveaux cas quotidiens.”

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Ile de Phuket : le masque part et puis revient

Oui je sais c’est beau. Mais il manque un truc essentiel sur cette photo… Le masque, contre le Covid qui va tous nous tuer. Une nouvelle fois (car oui, c’est scientifiquement prouvé : on peut mourir du Covid plusieurs fois de suite).

La farce est complète.

Le 1er juin, le gouverneur de l’île de Phuket (sud-ouest de la Thaïlande) suspend l’obligation du masque à l’extérieur (oui, oui, sur les plages…) (source).

C’est la première province à prendre une telle décision ! Le moment est important.

Au royaume de Siam il faut savoir que la loi… est un concept assez élastique.

Ainsi, de très nombreux touristes ou expatriés ne mettent déjà plus leur masque… à l’extérieur (on le voit sur l’île de Koh Samui par exemple). Ou alors portent le masque sous le nez.

Mais à côté, il est vrai qu’il y a de nombreux Thaïs qui sont terrorisés (ce sont les gens masqués seuls dans les voitures, les mecs qui désinfectent tout ce qu’ils touchent, les mecs avec 2 masques, les mecs qui refusent de monter dans l’ascenceur avec vous -un blanc, forcément infecté ! etc.).

Bref. Une décision positive, évidente, de bon sens.

Coup de théâtre, vendredi 3 juin, le même gouverneur… publie un contre-ordre ! Le masque est de nouveau réimposé à l’extérieur (source Bangkok Post) !

Hein ?

Il n’a pas expliqué sa décision. 😉

Il a dû recevoir un coup de fil de Bangkok, avec une proposition du type “que l’on ne peut absolument pas refuser”…

Le masque est une composante essentielle de la terreur couillonavirale.

Le gouvernement militaire a ABSOLUMENT besoin de faire durer la peur, jusqu’à fin juillet, au moins, car il fera face à une motion de censure de l’opposition (au parlement).

Voilà pourquoi le fameux “décret d’urgence” (qui institue l’état d’exception lié à la pseudo pandémie) a une nouvelle fois été prorogé  jusqu’à fin juillet (source).

Rappelons que ce décret qui donne les pleins pouvoirs au général Prayuth et aux bras cassés de son gouvernement… a été pris le 25 mars 2020… Il y a plus de deux ans… ! Et qu’il permit de mettre opportunément un terme aux manifs d’étudiants (ambiance Hong Kong, les jeunes qui en ont ras le bol de subir ces militaires dégénérés qui monopolisent le pouvoir depuis tant d’années).

Depuis, le décret est prorogé… tous les 2 mois. 😉

C’est une évidence, le Covid n’est plus QUE politique en Thaïlande, en tout cas dans les cercles du pouvoir (monarchie, junte, oligarques etc.)…

Et en bas, le populo souffre (dégâts économiques considérables) et devient fou (la peur permanente).

POST-SCRIPTUM

Où en est la terrible pandémie en Thaïlande. Le dernier bulletin fait état de… 27 covidécès en 24 heures (source). Dans un pays de 69 millions d’habitants… Et nous savons tous ce qu’un “covidécès” peut être en réalité…

Dans son délire politique, le gouvernement va donc sans doute attendre que le bulletin quotidien fasse état… d’un seul covidécès dans tout le pays, et il pourra alors déclarer la fin de “l’urgence” ? La fin de la “pandémie” ? 😉

Rappelons que chaque jour, 60 personnes sont tuées sur les routes du pays. Chaque jour. De chaque année.

Un véritable massacre (et pas des vieux malades de 80 ans… mais des jeunes pleins de sève, l’avenir du pays, explosés comme des crétins en motos… car 80 % des victimes sont bien sûr des conducteurs de motos).

Sans parler des… blessés (graves, handicapés à vie).