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Thaïlande : offensive contre l’ivermectine

Une information qui confirme le “complexe d’infériorité” des pays émergents, et la mécanique covidémentielle contre les traitements, en particulier l’ivermectine.

Alors que la situation se tend au Siam (lire ici) l’administration du pays… lance une étonnante offensive contre cette molécule.

The Food and Drug Administration (FDA) is warning people against using the antiparasitic drug Ivermectin to treat Covid-19, saying it is mostly for use in animals.

Ivermectin is technically not produced to be used on people so the risks are greater than drugs specifically developed for humans.

“People must not buy it without a prescription and in any case, a study on its effectiveness against the virus has yet to be concluded,” FDA deputy secretary-general Surachoke Tangwiwat said on Tuesday. (source Bangkok Post)

L’argumentaire est surréaliste. Selon ce petit fonctionnaire thaï, l’ivermectine… serait réservée aux animaux !

Oubliés les millions d’hommes et de femmes traités avec cette molécule depuis les années 80… Des milliards de doses… Qui ont sauvé beaucoup de monde (contre l’onchocercose ou cécité des rivières).

Ensuite, le classique avertissement quant aux effets secondaires :

Ivermectin can cause several adverse side effects, such as a rash, urticaria, queasiness, dizziness and also may have a harmful effect on the nervous and system and people’s sight.

Et cerise sur le tom yam kung… selon la faculté de pharmacie de Chiang Mai (nord du pays) :

the drug may aggravate Covid-19 patients’ symptoms, according to the website.

😉 C’est une première à ma connaissance ! L’ivermectine ne soignerait pas le Covid… mais au contraire aggraverait la maladie !

Bref, c’est typique du bas niveau des fonctionnaires et des scientifiques dans les pays émergents : le bidonnage est encore plus flagrant qu’en Occident.

Et le dernier argument, toujours identique :

the drug has not been declared safe for use to treat Covid-19 by the World Health Organization.

Voilà. Le tiers-monde se cale sur l’oracle OMS.

Un médecin du Bangladesh avait dénoncé ce principe, au sujet de l’OMS et des agences de santé publique occidentales :

S’ils approuvent quelque chose… nous l’approuvons

Et donc l’inverse est vrai. Tant que quelque chose n’a pas été tamponné par l’OMS, alors ça n’existe pas.

Aucune curiosité scientifique, aucune volonté d’explorer, de tester, de confirmer ou infirmer… juste le passage des plats.

Cette offensive intervient après le psychodrame… de l’Inde… Où on a beaucoup parlé d’ivermectine.

Là encore l’avis de l’establishment médiatique est très tranché :

The reported drop in Covid-19 cases in India was the result of more vaccines being made available to the population, the website said.

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Bangkok : confinement sélectif

Les cas se multiplient en Thaïlande, avec des nombres de nouveaux cas par jour qui sont étonnamment stables (nombre maximum de tests). La capitale compte pour la moitié.

On le voit sur ce graphique : la terrible pandémie n’a JAMAIS existé durant toute l’année 2020… Malgré la proximité avec la Chine.

C’est seulement depuis début avril 2021, avec le début de la vaccination, que les cas augmentent.

A ce jour, le pays affiche 26 covimorts par million d’habitants ! On pouffe…

Mais la panique gagne. Le variant indien commence à être détecté.

Le fameux.

Comme partout ailleurs, des pseudos médecins voulant se faire mousser ont réclamé cette semaine le confinement intégral de Bangkok, la capitale (8 millions d’habitants, 15 millions avec l’agglomération).

Ben voyons.

Le pouvoir, pourtant totalement covidément (idéologie Zéro Covid), se heurte au principe de réalité… Et histoire de donner le change a décidé… des confinements… “ciblés“.

En même temps il tente de promouvoir la réouverture au tourisme (les frontières sont fermées depuis le 3 avril 2020 !!), avec un système invraisemblable : le “Phuket Sandbox“… En clair, les “touristes” doivent restés emprisonnés sur l’île de Phuket pendant 14 jours, avec traking GPS, règles ahurissantes, 4 tests à faire,  etc…. Cela doit démarrer en théorie le 1er juillet. Le bide s’annonce biblique.

Alors les autorités s’attaquent aux esclaves.

The government has decided to close off infectious and high-risk areas including construction worker camps in the Greater Bangkok area and four southern border provinces for 30 days starting on Monday.

It rejected the idea of a total lockdown in Bangkok out of concern for the potential economic impact that may arise from such a move. (source Bangkok Post)

En clair : 80 000 esclaves sur les sites de construction (qui vivent sur les chantiers dans des conditions… misérables), parmi lesquels de nombreux Birmans et Cambodgiens. Il y a pas mal de clusters dans ces dortoirs. Allez zou. Un mois d’enfermement. Ca ne mange pas de pain, et cela permet une fois de plus de montrer du doigt les étrangers (un sport national au Siam…)

On a du mal à imaginer la mise en pratique de ce genre de mesures (vont-ils installer des barbelés autour des chantiers ?) … c’est à mon avis davantage de la com’. Mais cela s’annonce très disruptif…

Mêmes mises en scène ridicules qu’en Chine : on désinfecte l’air, le sol, et même les forêts en aspergeant on ne sait quoi. Ca marche auprès du public.

Encore plus disruptif : les restaurants ont reçu une fois de plus (la dernière fois c’était fin avril) l’ordre d’arrêter la vente sur place ! C’est valable à Bangkok et 9 autres provinces autour…

La folie vaccinale bat son plein au milieu d’incroyables imbroglios (l’unique société qui fabrique localement le vaccin AstraZeneca est la propriété du roi… mais elle merde sérieusement quant aux délais de livraison, bref… il n’y a pas assez de doses pour une campagne dite nationale).

Le pays s’appuie donc également sur le vaccin chinois Sinovac (au total 10 millions de doses importées) et le deuxième Sinopharm (un million de doses importées cette semaine).

Au milieu d'”apps” pour réserver sa vaccination, de luttes entre les hostos, de pressions politiques… C’est le grand n’importe quoi.

Des jeunes “hi-so” à Bangkok se font ainsi vacciner… avant des vieillards à risques.

Et les polémiques autour des premiers morts à cause des vaccins éclatent (comme partout).

Et les expatriés sont tous en train de pleurer auprès de leur ambassade… car les Thaïs n’en ont rien à foutre (Thaïs d’abord !). L’ambassade de France met ainsi en place un système spécial pour que les Français sur place puissent être vaccinés (avec le Janssen de Johnson et Johnson… un vaccin dit sérieux 😉 ).

Bref c’est surréaliste.

Au total, 8 millions de doses ont déjà été injectées (le pays compte 69 millions d’habitants).

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Gag pékinois, 12 tests par jour : nez, gorge, anus

Une nouvelle psyop en provenance de Chine et relayée avec complaisance par les médias occidentaux.

Il y aurait un foyer couillonaviral à Guangzhou, et le terrible variant indien serait responsable. Bien entendu.

A la mode chinoise, ça donne ceci :

The city tested practically its entire population of 18.7 million between Sunday and Tuesday, some of them for the second time. It has also put neighborhoods with a total of more than 180,000 residents into total lockdowns, with practically no one allowed out except for medical testing. (source NewYork Times)

Donc zou en 3 jours on teste 18,7 millions de personne, enfants et animaux domestiques compris. Ben voyons. Et combien de positifs ? Ah ça, on ne le dit jamais.

Et au final on ne confine qu’un… quartier de 180 000 personnes (à l’échelle chinoise, c’est un modeste paté de maisons). Terrible pandémie en effet.

La presse occidentale titre, emphatique (ici le New York Times) :

China Returns to Its Strict Covid Limits to Fight a New Outbreak

Rien n’est plus faux. Titre totalement trompeur.

Un foyer dans une seule ville chinoise. 18,7 millions d’habitants concernés, seulement 180 000 confinés dans un pays de 1,4 milliard d’individus. C’est peanuts. C’est une blague pékinoise, à défaut d’être une soupe.

Les enfoirés néo-zélandais du NZHerald (qui reprend l’article du New York Times) vont jusqu’à titrer :

Covid 19 coronavirus: China hit by devastating outbreak in Guangzhou

Mais oui, tu m’en diras tant. Vachement dévastateur ! Ces salopards de Kiwis sont de vrais covidéments collabos (adeptes de la secte Zéro Covid).

L’article du correspondant du New York Times à Pékin rappelle au passage les formidables contraintes imposées aux… étrangers visitant le pays. Bien réelles, elles…

Les voyageurs doivent effectuer une pré-quarantaine dans leur pays… puis une nouvelle quarantaine de 2 ou 3 semaines dans des locaux ad hoc en Chine (à leur charge), même s’ils sont… vaccinés.

Ils subissent une batterie de tests… et malheur aux faux positifs (qui existent bien entendu)… Car dans ce cas, zou, internement en hosto, traitement spécial, isolation, et on est reparti pour un tour (comme en Thaïlande).

Mais là où on touche au sublime c’est quand le journaliste (?) écrit :

A German national who flew into Shanghai last month said that he had been sent to a hospital isolation room for three days because he tested positive for antibodies, which he attributed to taking a second vaccine dose 16 days earlier.

Nurses took his blood twice a day and performed six throat swabs, four nasal swabs and two anal swabs daily, said the German, who insisted on anonymity to avoid offending the authorities. The hospital room had no towels, no toilet paper and no television, and the bed was a steel plate with a thin mat, he said.

Même selon les canons chinois, c’est totalement invraisemblable

Rappel : il s’agit ici du soit disant fleuron de la presse quotidienne intello bobo américaine. Le fucking New York Times !

Deux prises de sang, 6 tests PCR dans la gorge, 4 tests PCR dans le nez plus 2 prélèvements dans le rectum PAR JOUR ! 😉

Bande de sinistres crétins sinisants.

Que ce citoyen allemand (est-il seulement réel ?) aie pu subir cela… durant ses 3 jours passés à l’hôpital… clairement oui… Mais pas par jour, non.

Alors pourquoi je m’énerve sur ce détail ? D’abord, parce que c’est inexcusable de la part d’un grand quotidien américain qui fait référence (dans la désinformation et les fakes news).

Mais surtout parce que cela participe de la psyop.

L’exagération systématique, le grossissement outrancier, perpétuel.

Tout est toujours hénaurme avec le couillonavirus, surtout en Chine. Alors que cela ne correspond absolument pas, jamais au Réel.

Et la Chine ne fait rien pour démentir cette emphase, ou la mettre en perspective… Au contraire. Car c’est elle qui orchestre ce spectacle. Auteur, metteur en scène et acteurs. La Chine est tout cela à la fois.

La covidémence est un spectacle en Chine.

Quand la Chine confine… une ville ou simple quartier… Les médias deviennent fous, alors qu’en Occident -et ailleurs- on a confiné des pays entiers comme des demeurés.

La Chine est parvenue à nous imposer son modèle covidément… sans jamais se l’appliquer à elle-même.

Seulement en apparences, grâce à ses mises en scènes, grâce à sa propagande.

C’était vrai dès janvier 2020. Ca l’est toujours. Cette constance signe une fois de plus le crime.

La boucle psychologique ainsi créée est remarquable d’efficacité :

  • la Chine prend des mesures très dures
  • donc le virus est très dangereux
  • et c’est parce que elle prend des mesures très dures qu’elle a très peu de cas, et donc qu’elle réussit

Voilà pourquoi il y a toujours, et il y aura toujours un petit foyer, quelques cas ici ou là en Chine. Pour entretenir le spectacle.

Chaque petit foyer permet de montrer au monde une nouvelle fois à quel point la Chine est dure dans sa guerre (mot utilisé par Xi Jinping) contre le terrible couillonavirus, et à quel point elle réussit, et donc à quel point sa méthode doit être émulée partout…

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