Categories
Asie Vaccinocircus

Vaccin chinois : “73 effets secondaires”

Bon eh bien vous pouvez faire vos adieux au docteur Tao Lina… Il est possible que sa dépouille ne soit jamais retrouvée…

Un docteur à Shanghai (qui doit regretter et appeler sa maman en ce moment) a balancé la sauce sur le vaccin du labo étatique chinois, Sinopharm.

Et le pauvre bougre avait en plus 4,8 millions de followers sur Weibo, le twitter chinois.

Bref, une petite star.

Le docteur Tao Lina a écrit que ce vaccin provoquait jusqu’à “73 effets secondaires négatifs” ce qui faisait de lui “le vaccin le moins sûr du monde” (source DailyMail).

Au regard de la notorité de l’auteur, le message est vite sorti du pays… Erreur… Fatale ?

Le cher docteur doit regretter amèrement ce coup de projecteur… Il a immédiatement effacé ses propos et a ensuite posté des excuses en affirmant que son message était “extrêmement sarcastique”, que le vaccin était “très sûr” et que son choix de mots était “imprudent”, et qu’il “méprisait  les actions diaboliques des médias étrangers“…

Rien de moins.

Bref, le type se voit déjà en camp de rééducation, option froid sibérien, ou pire encore… 😉

Alors qu’en Occident ce sont les Trois Grâces qui occupent le terrain sanitaire et médiatique (et même politique), Pfizer (USA), Moderna (USA) et AstraZeneca (UK)… on oublie que d’autres vaccins sont déjà dispo et déjà utilisés dans le reste du monde : le russe (Spoutnik V) et le chinois.

Formellement, celui de Sinopharm a été approuvé en décembre par les autorités sanitaires locales, et 4 millions de personnes ont déjà été vaccinées (au 4 janvier).

D’autres pays ont d’ailleurs passé des commandes (citons la Thaïlande, Egypte, Indonésie etc.)

Categories
Asie Pognon

Grâce au virus, la Chine exploite le maillon faible européen

“Le virus accélère de nombreux dossiers… systématiquement à mon avantage. Vous croyez au hasard ? A la chance ? Gentils petits scarabées occidentaux…”

(ajout à ma série A qui profite le crime ?)

Et un miracle couillonaviral de plus !

La Chine et l’UE négocient depuis 2013 un accord d’investissements. De nombreux points d’achoppement embourbaient les discussions les deux dernières années (droits de l’homme, conditions de travail en Chine, situation à Hong-Kong sans oublier le traitement des Ouïghours, etc.)

Et subitement, fin décembre, pouf, crac, boum, hue, le dossier a connu un coup d’accélérateur, sous les bons auspices de la Fée Merkel, grande covidémente et collabo bruxelloise renommée (l’Allemagne assurait jusqu’au 31/12… la présidence tournante de l’UE ! Elle en a donc profité).

L’UE accepte un accord d’investissements avec la Chine malgré des engagements limités sur le travail forcé

Pékin et Bruxelles sont parvenus à un accord pour permettre un meilleur accès des investissements européens au marché chinois, mais les concessions de Pékin sur le travail forcé paraissent minces. La signature et l’éventuelle ratification de ce texte attendront plusieurs mois. (source Le Monde)

Paraissent minces ? Superbe understatement.

Une fois de plus le Coronavirus se révèle être de facto un… allié de Pékin.

Je ne suis pas le seul a être surpris par ce coup de chaud calendaire, surtout à quelques semaines… de la prise de fonctions du grabataire Biden.

“It’s just mind-boggling that the EU would even consider rushing to agree an investment pact with Beijing weeks before Biden takes office after claiming for several years that they wanted transatlantic cooperation on China.” (Guardian)

L’UE, une fois de plus, est le dindon de la farce et surtout… de la force.

Rappelons qu’en raison de la faiblesse crasse des Européens, de leur lâcheté et pour certains de leur collaboration active avec les communistes chinois, et du système prédateur organisé par la Chine… l’UE subit chaque année un déficit commercial ahurissant avec l’Empire du milieu.

150 milliards d’euros !

Les exportations chinoises au cours des dernières années étaient en moyenne deux fois plus élevées que les exportations de l’Union européenne vers la Chine. (source Euronews)

Notons que la France, pays veule et terriblement affaibli, enregistre pour sa part un déficit commercial… de 30 milliards d’euros par an avec la Chine (source LCI) !

C’est une constante depuis l’entrée de la Chine dans l’Organisation mondiale du commerce (OMC) en 2001 : le déficit commercial entre la France et la deuxième puissance économique mondiale ne cesse de s’alourdir.

Vraiment ? 😉 Mais personne n’a manifestement l’intelligence de percevoir la relation de causalité… et de constater la prédation organisée que nous subissons depuis 20 ans. Et d’en tirer les conséquences.

Trump a vu cette cause, a compris la menace existentielle posée par la Chine, et a pris des mesures. Raison supplémentaire pour le mettre en tête de la hit list du couillonavirus (on ne rappellera jamais assez que c’est grâce à la pandémie que Biden a pu tricher et donc l’emporter. Le virus a tué la réelection de Trump qui en janvier 2020 dernier était garantie.).

On rappellera que de nombreux dirigeants français sont très copains-copains avec Pékin et que ces liens sont consubstantiels à la covidémence (Vérandouille, Macron, E.Philippe liés à la France China Foundation)

L’entrée de la Chine dans l’OMC, sous la pression des collabos américains démocrates (le président Bill Clinton et sa femme, et tous leurs amis de Wall Street) fut le coup de poignard fatal porté à l’Occident et à sa puissance, c’est-à-dire son industrie (cette dernière est la conséquence et la cause premières de la puissance).

Un acte de haute trahison ni plus ni moins.

Pour revenir à l’accord d’investissement (qui sera ratifié, c’est une certitude), il signe la déchéance terminale de l’Europe.

Voici le mécanisme :

La Chine continuera de ravager l’industrie européenne avec ses exports… et en même temps grâce à ce nouvel accord pourra racheter des pans entiers de l’économie européenne pour des cacahuètes, resserrant encore son contrôle politique sur l’UE.

Dans le pire des scénarios, c’est la vente à la découpe et au rabais de l’Europe occidentale. Les soldes. La liquidation.

Quant à l’inverse, c’est-à-dire les investissements européens en Chine, c’est un mythe, une carotte, mais qui ne se matérialisera jamais, en tout cas absolument pas dans les mêmes proportions.

Les 20 dernières années le prouvent : la Chine a systématiquement et de manière organisée, triché, violé les accords commerciaux. Combien de sociétés occidentales ennivrées par le mirage extrême-oriental ont été totalement plumées, pillées ?

Ce double mouvement (exports/investissements) c’est le combo de la mort, faisant de facto de l’UE le larbin, l’esclave, la prostituée, la gagneuse de Pékin.

Et la terrible pandémie, une fois de plus et de manière objective, sert les intérêts de Pékin.

(lire aussi ce remarquable article publié par ZeroHedge).

POST-SCRIPTUM

(autre article de fond publié par ZeroHedge)

The so-called Comprehensive Agreement on Investment (CAI), concluded on December 30, was negotiated in great haste by German Chancellor Angela Merkel, French President Emmanuel Macron, the President of the European Commission, Ursula von der Leyen and European Council President Charles Michel. Other EU countries were excluded from the negotiations. Merkel, under pressure from China, reportedly wanted an agreement at any cost before Germany’s six-month EU presidency ended on December 31.

The deal — the details of which have not yet been made public — ostensibly aims to level the economic and financial playing field by providing European companies with improved access to the Chinese market. Currently, China has far more access to the European market than the other way around.

China, however, made only limited concessions in just three sectors — electric vehicles, telecommunications and private hospitals — and with many caveats that will restrict investment opportunities for European companies.

Moreover, on December 19, just days before the EU-China deal was reached, China approved a new national security review system for foreign investment. The new rules allow China to block foreign investment whenever it is deemed to harm China’s national security.

Categories
Asie Pays

Thaïlande : la covidémence est relancée

Carte montrant l’évolution des nouveaux cas de Covid du 18 décembre au 3 janvier.

28 provinces sont désormais touchées.

Les provinces en rouge (dont Bangkok) correspondent à plus… de 50 cas ! 😉

Le gouvernement a donc réimposé une série de restrictions : fermetures des centres commerciaux, des bars, interdiction des rassemblements publics, restrictions sur les ventes d’alcool(un grand classique en Thaïlande), fermeture des restaurants (ventes à emporter uniquement de 21h à 6h du matin à Bangkok par exemple) mais aussi…. fermeture des écoles durant tout le mois de janvier (une décision scandaleuse et qui a des effets de bord particulièrement redoutables, empêchant de nombreux parents d’aller travailler), etc.

Bref, on est donc reparti pour un tour, à fond les manettes.

Concrètement voici le classement des provinces par nombre de cas :

1 Samut Sakhon 2 401
2 Rayong 386
3 Chonburi 305
4 Bangkok 217
5 Chanthaburi 122
6 Nonthaburi 99
7 Samut Prakan 88
8 Nakhon Pathom 65
9 Ang Thong 30
10 Trad 23

Des chiffres qui devraient faire hurler de rire toute personne saine d’esprit.

Bangkok ? Une méga-ville de plus de 10 millions d’habitants (presque 20 millions pour le “grand Bangkok”)… et 217 cas ! 😉

Rappelons que le Royaume de Siam totalise 69,5 millions d’habitants et affiche un score de…. 65 covidécès depuis janvier dernier, soit 0,9 mort par million d’habitants, quand la France est à 993 et l’Allemagne à 415… (source Worldometer).

Les frontières sont fermées depuis mars dernier. Les Thaïs et les étrangers souhaitant rentrer dans le pays doivent subir une quatorzaine d’isolation contrôlée et obligatoire dans un réseau d’hôtels, principalement à Bangkok (avec 3 tests PCR durant la période de quarantaine).

Le gouvernement a fait face l’année dernière à des manifestations d’opposants, en particulier des jeunes (lycéens et étudiants), l’état d’urgence sanitaire et toutes les mesures restrictives sont donc une véritable aubaine.

Le pays est un cas d’école d’exploitation éhontée du couillonavirus à des fins politiques et de contrôle social.

Mais pas que. La covidémence est très développée au sein de la population, excitée par la propagande gouvernementale.

De nombreux Thaïs sont sincèrement terrorisés par le Covid, et le pays se trouve ainsi sur une ligne de crête de santé publique particulièrement cinglée : le zéro cas.

Ce qui est par définition absurde.

C’est comme si Macron disait que l’objectif était zéro cas de… grippe (ah on me murmure à l’oreillette que son objectif à lui est 5 000 cas par jour 😉 ).

Plus prosaïquement c’est l'”hiver” là-bas, avec un terrain propice aux maladies respiratoires (temps “frais” dans de nombreuses régions au nord).

Donc le cirque se prolongera très vraissemblablement jusqu’en mars (après les fortes chaleurs, l’intensité des UV cuiront littéralement le virus).

Ou alors le jeu sera relancé avec le Covid 2.0, le fameux mutant (qui vient d’être détecté en Thaïlande, sur une famille de 4 personnes revenant d’Angleterre…).

POST-SCRIPTUM

A ce sujet, c’était couru, les autorités viennent d’interdire l’entrée sur le territoire national… des Anglais (source Bangkok Post) !

Prétexte ? Le fameux mutant (de nombreux pays ont déjà interrompu les liaisons aériennes avec l’Angleterre).

AJOUT 06/01/2021

La liste des restrictions par province (en anglais).