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OMS : la Chine continue de refuser l’accès à Wuhan

“C’est si bon de se foutre de votre gueule”. Xi Jinping, apprenti maître du monde.

La Chine se moque du monde entier depuis le début de la crise couillonavirale. Et elle ajoute cette touche de foutage de gueule, si caractéristique des coupables qui pissent à la raie de leurs victimes.

Pékin pendant des mois a refusé que toute équipe de l’OMS vienne enquêter dans l’épicentre de la pandémie : Wuhan.

Or ne pas enquêter à Wuhan… c’est renoncer à comprendre une chose fondamentale : l’origine du virus. Et la manière dont le virus a pu muter, apparaître (quel animal par exemple a pu servir d’hôte, pour l’instant, officiellement il n’y a que des hypothèses, vous vous souvenez du fameux et si grotesque “pangolin”).

Ce refus signe déjà le crime.

On peut prendre la question sous tous les angles : refuser c’est dissimuler.

Donc la Chine veut à tout prix cacher quelque chose à Wuhan. Quoi ?

La réponse est évidente pour toute personne dotée encore de quelques neurones, en état de marche et reliés les uns aux autres…

De guerre lasse, Pékin a enfin accepté de recevoir en juillet une “pré-équipe” de l’OMS. Comprendre… 2 experts. Un couple quoi. 😉

C’est sûr que pour une terrible pandémie qui ravage le monde entier depuis 8 mois…. ça fait un peu juste. Et ça fait un peu tard… Vous ne pensez pas ?

Ces 2 experts sont donc venus, n’ont rien vu, n’ont rien vaincu et sont repartis la queue bassse.

Forcément.

Ils sont en effet restés assis pendant 3 semaines en juillet… à Pékin. A exactement 1170 km de Wuhan.

On imagine qu’ils ont eu le temps de visiter les musées de la capitale chinoise et de goûter à la gastronomie locale. Avec un peu de chance, ils ont probablement été autorisés à visiter… Disney World à Shanghai.

Ca c’est un truc à voir… 😉

Bon et pour le couillonavirus, la terrible pandémie qui ravage la planète, tout ça… on fait quoi ?

(source ZeroHedge).

(et n’oubliez pas de lire ma série “A qui profite le crime ? ” , menu du haut)

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Asie Pays Saloperie et sida mental

Corée du Sud : c’est foutu, ils replongent

Séoul a étendu dimanche à l’ensemble du territoire sud-coréen les mesures déjà en vigueur dans la région de la capitale, fermant plages, restaurants, bars karaoké et musées et suspendant les rencontres sportives à huis clos.

La Corée du Sud, un des premiers pays touchés au printemps après la Chine, a fait état dimanche de 397 nouveaux cas de coronavirus, la plus forte hausse quotidienne depuis début mars. «La situation est très grave car nous sommes au bord d’une épidémie nationale», a déclaré dimanche le directeur des Centres coréens de contrôle et de prévention des maladies (KCDC), Jung Eun-kyeong.

(source Le Figaro)

Corée du Sud. Population : 51,6 millions

Covicas : 17 660

Covidécès : 309 (oui 309)

Alors que la Corée du Sud fait figure de modèle avec leur approche “pister/isoler” qui lui permet d’afficher un bilan couillonaviral à faire pâlir d’envie tous les Européens si hautains et pourtant si dégénérés… Ils viennent de replonger.

Fermer les plages ? ! Aujourd’hui ? !

C’est stupéfiant.

On retrouve l’essence même de la covidémence dans cette déclaration : “La situation est très grave” !

Pour 397 tests positifs en 24 heures ? Dans un pays de 51 millions d’habitants ? Et en août, alors même nous avons des courbes en cloche pour les cas graves, les décès ?

Partout sur la planète, à quelques exceptions près (Argentine…), les nombres de cas graves et de morts s’effondrent. Y compris les hospitalisations

C’est non seulement incompréhensible, mais c’est surtout… très inquiétant.

Car encore une fois nous ne sommes pas au début de cette pseudo pandémie. Mais dans son huitième mois, avec une foultitude de données à notre disposition.

A part chercher à pourrir la vie de ses concitoyens, comment ce Jung Eun-kyeong peut-il aujourd’hui faire de telles déclarations ? Et en Corée du Sud en plus ?

Qui le paye ? Quels intérêts défend-il ? Pourquoi les dirigeants politiques coréens acceptent cette situation ?

Pourquoi les médias relaient in extenso ces messages, sans jamais chercher à remettre les données en perspective, voire même à les démonter à coups de cric ?

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Asie Pays Pognon

Thaïlande : destruction totale du tourisme

En 2019, la Thaïlande enregistrait 39,8 millions arrivées de touristes.

Depuis le 4 avril 2020 et l’interdiction de tous les vols internationaux commerciaux ?

Zéro.

Revenons sur les chiffres. Population du pays : 69,5 millions.

Covicas : 3 397. Covidécès : 58 (oui 58)

Possibilité de bidouiller les bilans ? Théoriquement oui puisque gouvernement type junte militaire bas de plafond, mal recarrossé “civil” après les élections de 2019 (suivant le coup d’état militaire de 2014).

Mais dans la pratique impossible puisque la Thaïlande est peut-être le pays qui utilise le plus…. Facebook au monde (mais oui !). En clair : difficile de cacher des piles de cadavres couillonavirés…

Nous sommes d’accord ? Bien.

“Sawadee khaaaaaaa. Allez tous vous faire foutre, vous ne rentrerez pas”.

Donc, frontières fermées. Hermétiquement. Zéro touriste. 2 millions d’emplois, officiellement, ont été détruits (source Bangkok Post).

Officieusement : davantage. Car si le tourisme compte entre 8 et 17 % du PIB, (ah les statistiques…) le secteur emploie de très nombreuses petites mains (emplois directs et indirects).

Ces gens n’ont plus aucun revenu depuis début avril.

L’état d’urgence sanitaire, sur lequel s’appuie l’interdiction des vols, a été prolongé jusqu’au 30 septembre… Manoeuvre purement politicienne.

Thai Airways, compagnie nationale en régime de banqueroute (chapter 11 à l’américaine), affiche sur son site des messages annonçant des annulations de vols… jusqu’au 31 octobre (ici et ).

Bref, on a toute les raisons de penser que cette démence absolue… va se poursuivre, pépère… jusqu’à ? C’est là le problème, le gouvernement n’en a aucune idée. Aucun plan de sortie de crise.

Juste la sidération.

La croyance de type vaudou du fameux “zéro cas”.

Et pour agraver le problème… une crise politique se développe au même moment (manifs d’étudiants, critiques des institutions comme la monarchie etc.)… ce qui va achever de rendre totalement paranos les militaires bas de plafond… qui auront encore moins de temps pour prendre conscience de l’apocalypse économique qu’ils ont provoquée.

Les militaires ont un neurone chacun. Donc gérer deux problèmes en même temps… difficile.

Le régime va rentrer en mode “survival“. Et l’histoire du pays montre que cela rime toujours avec… violence. Voire ultra violence…

Bref, le “pays du sourire” fait la gueule. Et pour longtemps.

PS : rappels. En janvier 2020, la Thaïlande a accueilli 800 000 touristes… chinois… Quotidiennement il y avait 6 vols directs… venant de Wuhan…. Et malgré tout cela… Rien. 3 400 cas, et 58 morts.

PS 2 : seuls les vols spéciaux dits de “rapatriement” sont autorisés. Pour les citoyens thais bloqués à l’étranger, et les non-nationaux (familles, permis de travail etc.)… Eh oui encore aujourd’hui des milliers de personnes qui veulent rentrer (dont des citoyens !) sont toujours bloqués en dehors du pays…. Un invraisemblable système de quarantaine obligatoire et contrôlée dans hôtels spéciaux a été créé (un cauchemar administratif et kafkaïen) et les retours s’effectuent au compte-goutte (250 à 500 par jour).