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Chiffres Vaccinocircus

Pourquoi 2,93 milliards d’humains refusent le produit de Pfizer ?

J’ai déjà longuement parlé (ici et ) de la Chine qui refuse obstinément d’utiliser les “vaccins” ARNm de Pfizer et Moderna.

Mais… n’oublions pas un autre -tout petit- pays qui refuse aussi.

L’Inde. Une paille démographique.

Eh oui. L’Inde s’est fâchée avec Pfizer (lire ici), en refusant les conditions ahurissantes que voulait imposer le fabricant américain (acceptées bien entendu par tous les Occidentaux en mode lèche-cul).

L’Inde a ensuite donné une autorisation en urgence au produit de  Moderna… mais bizarrement ne l’utilise toujours pas. Quel dommage !

Aux dernières nouvelles, non, décidément, c’est toujours non, les Indiens refusent de profiter de ces miracles technologiques expérimentaux aux effets long terme inconnus !

La tuile.

Un autre pays, faible par sa démographie mais très important géopolitiquement et qui dispose d’immenses ressources, refuse aussi les produits ARNm.

La Russie.

Aïe.

Encore une sacrée tuile.

Résumons : 1,4 milliard + 1,38 milliard + 155 millions = 2,93 milliards d’êtres humains dans des pays stratégiquement importants qui refusent ces produits ARNm expérimentaux contre une maladie très peu létale, et aux effets long terme inconnus.

Plus d’un tiers de l’humanité. Zut.

Ca pique… pas c’est le cas de le dire !

Alors, comme d’habitude, il y a une explication rationnelle.

Les 2,93 milliards d’Indiens, de Chinois et de Russes sont tous…  morts du Covid !

Voilà.

C’est scien-ti-fi-que. Démonstration :

  • Le Covid tue en masse
  • Seuls les vaccins ARN vous empêcheront de mourir
  • Donc si vous refusez l’hostie Pfizer, alors vous passerez l’arme à gauche

Je propose d’envoyer une délégation composée de Darius Rochebin,  Karine Labombe (sans ses 3 maris ni son psy), Olivier Variant et Alain Fisher sur le terrain, en Inde, en Chine ainsi qu’en Russie, pour mener une enquête circonstanciée.

Cette fine équipe pourra ainsi constater visuellement que ces 2,93 milliards d’hommes, de femmes, d’enfants sont bel et bien tous covidécédés (bien fait pour leur gueule !) et que c’est la faute à leur obstination anti-Pfizer, à leur haine de l’Occident.

Et pour finir sur une note humoristique, je vous propose de faire l’exercice inverse.

C’est-à-dire de lister tous les pays qui injectent ces produits ARNm expérimentaux aux effets long terme inconnus et contre une maladie dont la dangerosité est minuscule, et de faire le total des centaines de millions d’individus concernés

Vous terminerez l’exercice (j’en ai marre de faire tout le boulot !) en posant la question :

-quelle est l’approche la plus intelligente, la plus rationnelle ?

Ainsi que la question subsidiaire :

-A la fin, qui va gagner ? Qui ? Qui ? Mais qui ? 😉

Je ramasse les copies le 1er janvier 2031.

Et avant cela, bien entendu, je vous souhaite à toutes et à tous une excellente année couillonavirale 2022.

Rassurez-vous : elle sera… moins pire que la suivante. 😉

Donc, profitez-en bien.

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Asie Chiffres

Thaïlande : une vaguelette qui dure

La Thaïlande covidesque, c’est officiellement ça :

Rien en 2020 et début 2021, pour un pays dont la population est égale à celle de la France et qui recevait 800 000 touristes chinois en janvier 2020, avec de nombreux vols directs en provenance de… Wuhan.

On pouffe.

Il ne s’est strictement rien passé en Chine en 2020, ni dans toute l’Asie du Sud-Est, contrairement à l’image renvoyée par le “Show de Wuhan”.

Bref.

Puis, la Thaïlande commence à vacciner en avril 2021… et pouf, les covicas et les covimorts arrivent.

La tuile. Un phénomène constaté dans de nombreux autres pays…

Explication officielle : Delta “qui-est-plus-contagieux”.

La souche Wuhan ne prenait pas. Mais Delta oui, il s’accroche mieux aux petits poumons des gentils asiatiques…

Admettons…

Mais sauf en Chine. Ah la Chine, toujours cette grosse écharde dans le pied des covidéments.

Personne ne décède du couillonavirus en Chine, alors que c’est la Chine qui a inventé le virus, pardon la terrible pandémie, en lui donnant “corps”.

L’indicateur des “cas” n’est pas pertinent en Asie du Sud-Est, car ils testent considérablement moins que les pays occidentaux… Ou alors… justement ils auraient raison ? 😉

J’ai donc suivi 2 indicateurs, plus précis, depuis juin 2021.

-les malades, les vrais (“serious conditions“), pas les bidonnés “asymptomatiques”.

-dont les malades sous “respirateurs” (équivalent réanimation chez nous, ICU en anglais).

On peake mi août… et puis c’est une longue et très lente descente qui est le parfait miroir des “cas”.

Au niveau des évolutions quotidiennes (mais moyenne mobile 7 jours) on note que la croissance s’affaiblit dès la mi-juillet… avant de devenir négative fin août.

Alors que penser de tout cela ?

Bof. Ces longues descentes me semblent trop “parfaites”.

Au final, le Royaume de Siam est loin, très loin derrière pour les covimorts : 308 par million d’habitants en cette fin 2021… Quand la France est à 1 873, l’Allemagne à 1 320, l’Italie à 2 264…

Bref, si on met de côté toute responsabilité des “vaccins”… la situation en Asie continue de ne pas faire sens… lorsqu’on la compare avec l’Europe et l’Amérique.

Les souches se succèdent… et l’Asie du Sud-Est demeure -relativement- protégée.

Font-ils les choses mieux que nous ? Tous ces gouvernements (Thaïlande, Malaisie, Vietnam, Philippines, Cambodge etc.) sont covidéments.

Soignent-ils mieux les malades graves ? Ou alors, est-ce parce qu’ils soignent les contaminés avec peu de symptômes (empêchant ainsi une éventuelle détérioration ?) C’est possible.

Le “restez chez vous prenez du paracétamol” n’existe pas en Thaïlande. Le pays au contraire s’obstine à hospitaliser des gens… positifs mais asymptomatiques. On les surveille en permanence (température, tension, niveau d’oxygène). Et on leur donne quelques médicaments (la molécule japonaise le Favipiravir).

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Chiffres Saloperie et sida mental

LCI prise la main dans le sac à mensonges

“Je suis soit un menteur soit un crétin. Ou les deux ! Gnééééé.”

Soit Darius Rochebin, ex-présentateur télé en Suisse. Il a débarqué sur LCI en août 2020.

On le surnomme le “PPDA” suisse… rien de moins (sans les accusations de viol, c’est déjà ça).

Le 20 décembre, lors d’un débat sur le passe vaccinal en direct sur LCI, il coupe son interlocuteur en martelant ces mots :

“Pardon, mais quand on atteint presque 3 000 lits Covid sur 5 000, après presque 2 ans de crise, est-ce qu’il n’y a pas une urgence de santé publique ?” (séquence vidéo)

Il fait référence aux 3 000 malades du Covid hospitalisés en “soins critiques” (source officielle)… argument choc utilisé par le gouvernement et les médias pour imposer l’idée d’une… “urgence de santé publique“… qui n’existe absolument pas.

Il est soit un menteur soit un con… voire les deux.

Car après “2 ans de crise“, il confond toujours “soins critiques” avec…. “réanimations” !

Les “soins critiques” se composent de :

  • surveillance continue = 8 217 lits
  • soins intensifs = 5 954 lits
  • et réanimation = 5 433 lits

Soit au total 19 604 lits pour la France (chiffres au 31/12/2019, source Drees).

Deux ans ! Bordel ça commence à bien faire !

Alors on répète une nouvelle fois pour les mous du bulbe :

  • 3 000 lits occupés Covid sur 5 000 : oui ça ferait beaucoup.
  • 3 000 lits occupés Covid sur 19 600 : c’est dérisoire, surtout en hiver.

Deux ans que le gouvernement ment délibérément (voir mon article d’avril 2021) et que les journalistes entretiennent la confusion, tellement ils sont veules et stupides.

Quand Rochebin va t-il arrêter de raconter des conneries le soir à 20h sur LCI ?

Quand va t-il s’instruire un minimum ? Quand va t-il arrêter d’être l’idiot utile d’un gouvernement corrompu ?

Quand va t-il arrêter de terroriser les ménagères de moins de 50 ans, pour rien ?

Vous allez me dire : Darius est un salopard, un parmi de nombreux autres, on s’en cogne. Et c’est vrai. Ce type a une gueule de moine vicelard avec un balai dans le cul (son air de componction est insupportable).

Mais c’est signifiant pour illustrer les méthodes employées… DEPUIS DEUX ANS.

Voilà le point fondamental.

Car deux ans après, on ne peut plus croire qu’il s’agit d’une erreur de bonne foi, faite dans la précipitation, avec des données parcellaires.