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Chiffres Saloperie et sida mental

LCI prise la main dans le sac à mensonges

“Je suis soit un menteur soit un crétin. Ou les deux ! Gnééééé.”

Soit Darius Rochebin, ex-présentateur télé en Suisse. Il a débarqué sur LCI en août 2020.

On le surnomme le “PPDA” suisse… rien de moins (sans les accusations de viol, c’est déjà ça).

Le 20 décembre, lors d’un débat sur le passe vaccinal en direct sur LCI, il coupe son interlocuteur en martelant ces mots :

“Pardon, mais quand on atteint presque 3 000 lits Covid sur 5 000, après presque 2 ans de crise, est-ce qu’il n’y a pas une urgence de santé publique ?” (séquence vidéo)

Il fait référence aux 3 000 malades du Covid hospitalisés en “soins critiques” (source officielle)… argument choc utilisé par le gouvernement et les médias pour imposer l’idée d’une… “urgence de santé publique“… qui n’existe absolument pas.

Il est soit un menteur soit un con… voire les deux.

Car après “2 ans de crise“, il confond toujours “soins critiques” avec…. “réanimations” !

Les “soins critiques” se composent de :

  • surveillance continue = 8 217 lits
  • soins intensifs = 5 954 lits
  • et réanimation = 5 433 lits

Soit au total 19 604 lits pour la France (chiffres au 31/12/2019, source Drees).

Deux ans ! Bordel ça commence à bien faire !

Alors on répète une nouvelle fois pour les mous du bulbe :

  • 3 000 lits occupés Covid sur 5 000 : oui ça ferait beaucoup.
  • 3 000 lits occupés Covid sur 19 600 : c’est dérisoire, surtout en hiver.

Deux ans que le gouvernement ment délibérément (voir mon article d’avril 2021) et que les journalistes entretiennent la confusion, tellement ils sont veules et stupides.

Quand Rochebin va t-il arrêter de raconter des conneries le soir à 20h sur LCI ?

Quand va t-il s’instruire un minimum ? Quand va t-il arrêter d’être l’idiot utile d’un gouvernement corrompu ?

Quand va t-il arrêter de terroriser les ménagères de moins de 50 ans, pour rien ?

Vous allez me dire : Darius est un salopard, un parmi de nombreux autres, on s’en cogne. Et c’est vrai. Ce type a une gueule de moine vicelard avec un balai dans le cul (son air de componction est insupportable).

Mais c’est signifiant pour illustrer les méthodes employées… DEPUIS DEUX ANS.

Voilà le point fondamental.

Car deux ans après, on ne peut plus croire qu’il s’agit d’une erreur de bonne foi, faite dans la précipitation, avec des données parcellaires.

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“La pression s’accentue” : quelle pression ?

La pression de mon poing dans ta gueule ?

Voici ce qu’on voit sur Le Figaro (avec la complicité de l’AFP, comme d’habitude) :

Bigre. On va de nouveau tous mourir ! Surtout que le même jour, la crapule de l’Elysée organise une nouvelle partie de poker clandestin, le fameux “Conseil de Défense”…

Il faut donc préparer le terrain en foutant la pétoche au cheptel.

La pression continue de monter sur les services de soins critiques qui comptent 3.299 patients contre 3.282 samedi, avec 93 nouvelles admissions.

Rappelons que les “soins critiques” se composent de 3 niveaux :

  • surveillance continue = 8 217 lits
  • soins intensifs = 5 954 lits
  • et réanimation = 5 433 lits

Soit au total 19 604 lits pour la France (chiffres de 2019, voir l’excellente vidéo de Décoder l’Eco, ainsi que son article au sujet de 2020)

Donc d’un côté 3 299 patients (tous étiquetés “Covid”, premier bidonnage) et de l’autre… 19 604 lits pour les accueillir.

Elle est où la pression ?

Ce délire de la “pression” dans les services hospitaliers dure depuis 2 ans… mais en réalité depuis 10 ans.

Chaque hiver, certains services sont “sous pression”. Car oui, découverte scientifique stupéfiante, les gens tombent malades en hiver, davantage qu’en été.

La tuile.

Mais plus largement, les soins critiques (les réanimations en particulier) sont par définition “sous pression”. Surtout quand on supprime des lits chaque année, et qu’on se paye le luxe de virer des personnels soignants pour crime de lèse-injection… juste avant l’hiver, car c’est encore plus rigolo.

Bref. On approche du 2ème anniversaire du show de Wuhan… et les méthodes de propagande n’ont pas évolué d’un iota.

Et pourquoi le feraient-elles ? Puisque ça marche si bien…

On a toujours :

  • Les mêmes éléments de langage (avec quelques variations, ainsi plus personne ne parle d'”immunité collective” et pour cause ! Ni d'”applatir la courbe“)
  • les mêmes acteurs (le gouvernement de criminels et/ou de bras cassés, les pseudos médecins de plateaux TV)
  • les mêmes médias achetés et cons comme des enclumes
  • et surtout la même volonté, obsessionnelle, fanatique, de nous faire croire que la planète, voire le système solaire tout entier, subit une terrible pandémie et que le virus est très dangereux.

Certains résistants voient une covidémence qui s’essouffle, qui perdrait en intensité.

Ah bon ?

Nous avons tout le contraire, devant nos yeux.

Deux ans.

C’est vrai… la pression s’accentue

Mais sur nous.

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Angleterre : hospitalisé pour une jambe cassée ? Covid

Voici Raoul. Il souffre d’un Covid léger nécessitant une hospitalisation immédiate (en conventionnel). Le pauvre ! Il ne peut même pas être interviewé par BFM !

Les rapports se suivent et se ressemblent. Vous avez lu, entendu que les hôpitaux outre-Manche se remplissent de “malades du Covid”, alors même qu’Omerdon serait (toujours le conditionnel) plus “doux”.

Quant aux cas, c’est carrément la cas-apocalypse : plus de 100 000 par jouuuuuuuur !

Mais tout est bidonné.

Two-thirds of new Covid hospital patients in England only tested positive AFTER being admitted for a different illness, official data shows amid mounting evidence Omicron is milder

More than half of new ‘Omicron patients’ are actually people being treated in hospital for a different reason
These people are in hospital for physical injuries such as broken bones, heart attacks, or even routine care (source DailyMail)

Ces milliers de “malades du Covid hospitalisés” qui encombrent les lits du NHS… n’ont en réalité rien à voir avec le Covid !

On pourrait les appeler les “Malgré-nous”.

J’ai à plusieurs reprises mis en exergue cette ingénuité britannique très particulière (qui confine à mon sens au trollage). Ils bidonnent à mort, comme partout, mais très vite font leur mea culpa.

Entendons-nous bien : cela ne change rien à l’affaire. Les Anglais sont et demeurent de grands covidéments.

Les démentis arrivent toujours après, et les gens n’y prêtent aucune attention. Médiatiquement, le mal a été fait. Le crime a été consommé.

Le profit a été encaissé.

Une question : quid de la France ?

La situation est rigoureusement identique… Le gap entre “malades du Covid hospitalisés en conventionnel” et “malades du Covid en soins critiques”… est incompréhensible.

Les patients réellement malades du Covid, les poumons en compote, le niveau d’oxygène dans les chaussettes, atterrissent en “soins critiques” (rappel 3 niveaux, le pire étant la réanimation).

Mais les autres ? Ceux avec un Covid léger ou… inexistant… qui peut croire une seule seconde qu’ils sont hospitalisés, en tant que tels ?

Je reformule : en France on n’hospitalise pas quelqu’un qui tousse un peu, pour une petite grippe, voire un rhume. En France, tout est fait pour ne pas vous hospitaliser justement, afin de réduire les coûts.

Et cette logique s’applique à tous les domaine de la médecine. On fout dehors les femmes qui viennent d’accoucher avec une catapulte.

Au début des années 80, plus de la moitié des femmes avaient
séjourné entre 7 et 9 jours en maternité à la suite d’une naissance. La durée moyenne de séjour (DMS) est, d’après les dernières données de l’enquête nationale périnatale de 20101,  de 4 jours si l’on ne prend en compte que les accouchements par voie basse. (rapport)

Prenons les données officielles au 23/12 :

  • Nombre moyen de nouvelles hospitalisations quotidiennes : 1 233
  • Nombre moyen de nouvelles entrées en soins critiques quotidiennes : 275

Les 275 seraient ainsi des “vrais” malades du Covid… Mais les 1 233 ? Bidonnés pour la plupart, comme chez les Anglais.

Administrativement parlant, il est fort probable qu’avant d’être admis en “soins critiques”, on soit d’abord mécaniquement admis à l’hôpital  (autre moyen de gonfler les chiffres).

Cela fait donc 1 233 – 275 = 958. Il resterait donc toujours 958 mystérieux “malades du Covid mais pas graves” qui seraient hospitalisés en moyenne chaque jour dans ce pays.

C’est absurde, comme en Angleterre (et comme partout ailleurs).

Avis aux journalistes : posez la question !

C’est quoi un “malade du Covid” hospitalisé en “conventionnel” ?

Trouvez des témoignages de personnes qui ont été “hospitalisées en conventionnel” pour cause de Covid.

Dernier point : le “restez chez vous prenez du paracétamol”… est toujours en vigueur (on trouve de nombreux témoignages sur les réseaux sociaux).

Ce qui renforce encore l’absurdité de tels chiffres.