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USA : chiffres gonflés à l’hélium

La mortalité du couillonavirus est gonflée à l’hélium, aux Etats-Unis, UK, Belgique (lire article ici) et Italie (liste non exhaustive). Je l’ai déjà écrit (article du jeune en Floride qui se tue en moto… mort classée Covid), mais il faut insister sur ce point. Le nombre de cas est également tripatouillé.

Voici la preuve pour les Etats-Unis. Conférence de presse des responsables santé de l’Illinois (Midwest, 12,6 millions d’habitants).

Technically, even if you died from a clear alternate cause but you had COVID at the same time, it is still listed as a COVID death.

La preuve en vidéo.

Cette politique n’est pas une fantaisie locale. Elle est définie au niveau fédérale.

Seconde preuve, et massive, voici la conférence de presse de la Covid Task Force (avec Trump et le vice-président Pence) du 27 avril. Le docteur Deborah Birx répond à la question d’une journaliste.

I think in this country we’ve taken a very liberal approach to mortality…[…] Right now, we’re still recording it, and we’ll — I mean, the great thing about having forms that come in and a form that has the ability to mark it as COVID-19 infection — the intent is, right now, that those — if someone dies with COVID-19, we are counting that as a COVID-19 death.

Difficile d’être plus…. clair. La preuve en vidéo.

Docteur Birx à 1h38 sur la vidéo de la conférence de presse.

Et d’ailleurs Fauci prend la parole juste après, et il sous-entend que c’est pour cela que New-York a le plus grand nombre de covidécès (à l’époque fin avril) (part disproportionnée).

Les “cas” également sont sur-comptés.

Ainsi, le Texas a modifié ses définitions et critères…. mi-mai. Et l’on peut avoir un “cas Covid”, sans jamais de confirmation par un laboratoire…

Au niveau fédéral (CDC), la motivation est politique. Et au niveau local, il y a de claires motivations pécunières à cette Fantasia numérique.

Ainsi le U.S. Department of Health and Human Services (HHS) (ministère de la santé) envoie de l’argent aux :

“Hospitals that had more than 161 COVID-19 admissions between January 1 and June 10 will be paid $50,000 for each COVID-19 admission. HHS asked hospitals to start submitting COVID-19 admission data on June 8.”

Hospitals that use the new CDC definition stand to make millions of dollars. The first round of HHS grants was $12 billion and paid $76,975 per admission to hospitals that had more than 100 COVID-19 admissions from January 1 through April 1. Clearly, states hit early got tons of money- Illinois got $740 M, New York got $684 M, and Pennsylvania got $655 M alone. Additionally, Medicaid will pay out $15 billion in relief funds- hospitals must apply by August, so the more cases the better the return.

(source)

Voilà. Aux Etats-Unis, le couillonavirus, pour les bas échelons, c’est tout simplement davantage de pognon.

Et clairement une arme politique, en haut de la pyramide.

De nombreuses personnes, institutions ont un ou plusieurs intérêts à cette “pandémie” (lire article A qui profite le crime).

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Le décor change : des morts aux nouveaux cas

Les décès par jour, du 17 mars au 2 août. J’ai peur. Zut. Je vais devoir utiliser Omo Machine pour laver mon slip en soie sauvage. Pour l’utiliser ensuite comme masque… (source)

Je sais c’est dur. Mémoire poisson rouge. Mais faites un effort. Mars, avril. Confinement. Autorisation de sortie. On vous terrorisait avec les covimorts, n’est-ce-pas ?

Salomon, le Directeur général de la santé (la taule ? oui pépère tu finiras par y aller) égrenait les chiffres macabres, chaque soir à 19h30.

600 morts les bons jours (à l’hôpital). Ah c’était le bon vieux temps !

Ca y est ça vous revient ?

Fast forward 3 mois.

On ne parle plus des “morts“, pour une raison très simple, il n’y en a plus.

En tout cas pas assez pour vous foutre la pétoche (11 décès le 30 juillet).

Vous imaginez Salomon, à la télé, chaque soir : “la pandémie est terrible. Hier nous avons perdu…. 11 malades“.

Grotesque.

Ils ont donc changé le narrative. Désormais, on vous assomme avec les “nouveaux cas“.

Des milliers, des dizaines de milliers. Des millioooooooooons. Un tsunami (la vague, toujours, n’oubliez pas) de nouveaux cas qui vont emporter la planète.

Des nombres si élevés, ça doit forcément être grave, n’est-ce pas Madame Langlois ?

Non. Tous jeunes. La plupart asymptomatiques. Même pas le nez qui coule.

Caramba, encore raté.

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Décès : quand ça veut pas…

… Ca veut pas.

Les mises à jour de l’INSEE se suivent (ici celle du 31/07), et se ressemblent. Et à chaque fois : “caramba encore raté” !

Le nombre de décès toute cause est TOUJOURS INFERIEUR depuis le 1er mai… comparé à 2019 et 2018.

Alors que nous sommes censés être toujours dans la “pandémie“, avec force “seconde vague“, forte hausse des “nouveaux cas“, etc.

Et pour un virus serialkiller ça la fout plutôt mal. Véran le Verrat, que se passe-t-il ? Tu as des vapeurs ? Tu as oublié ton masque… de plongée ?

Entre le 1er mai et le 20 juillet, 123.104 décès ont ainsi été enregistrés sur le territoire, soit 3% de moins qu’en 2019 et 1% de moins qu’en 2018, selon des chiffres encore provisoires, basés sur l’état-civil et ne détaillant donc pas les causes des décès.

(source Le Figaro)
“Oh c’est déjà fini ? Y’a plus des cadavres partout, dans les couloirs, dans les rues ? L’apocalypse est partie à la plage ? En vacances ?

Profitons de cette mise à jour pour répéter que la présentation de l’Insee est fondamentalement malhonnête.

Il est en effet aberrant de commencer la comparaison annuelle au 1er mars… évitant ainsi soigneusement la surmortalité des grippes saisonnières de 2019 et 2018… (j’ai parlé de ce problème dans l’article sur les nombres)

C’est une manipulation délibérée destinée à grossir la “surmortalité” du couillonavirus entre fin mars et fin avril, destinée à frapper les esprits avec un lourd bilan.