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Chiffres

Le virus est grossophobe

Cet homme a un BMI de 53 (“obésité sévère”)… Son risque Covid est élevé.

Le couillonavirus est raciste. Si, si (j’y reviendrai plus tard).

Mais en plus il est terriblement… grossophobe.

D’ici à ce qu’il soit en plus, homophobe, les carottes seraient totalement cuites. 😉

De très nombreuses séries de données, à travers le monde, pointe vers ce fait :

-l’obésité est un facteur de risque (en plus de l’âge, des pathologies ou comorbidités comme le diabète, des facteurs ethniques, etc.).

Ce n’est pas politiquement correct de le dire, et pourtant. Ce sont ces personnes que nous devrions protéger en priorité, au lieu de délirer sur les enfants, et les jeunes, et de détruire notre économie en imposant des “lockdowns” (con-finements pour les lettrés versaillais).

Public Health England a mené une étude (en Angleterre) à ce sujet.

Le risque d’hospitalisation, de traitement en soin intensif et au final de mort, augmente progressivement avec le Body Mass Index (une mesure de l’obésité).

ZeroHedge présente cette étude.

Conclusion ?

In a nutshell, people who are severely obese are twice as likely to die from Covid.

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Chiffres Pays

USA : chiffres gonflés à l’hélium

La mortalité du couillonavirus est gonflée à l’hélium, aux Etats-Unis, UK, Belgique (lire article ici) et Italie (liste non exhaustive). Je l’ai déjà écrit (article du jeune en Floride qui se tue en moto… mort classée Covid), mais il faut insister sur ce point. Le nombre de cas est également tripatouillé.

Voici la preuve pour les Etats-Unis. Conférence de presse des responsables santé de l’Illinois (Midwest, 12,6 millions d’habitants).

Technically, even if you died from a clear alternate cause but you had COVID at the same time, it is still listed as a COVID death.

La preuve en vidéo.

Cette politique n’est pas une fantaisie locale. Elle est définie au niveau fédérale.

Seconde preuve, et massive, voici la conférence de presse de la Covid Task Force (avec Trump et le vice-président Pence) du 27 avril. Le docteur Deborah Birx répond à la question d’une journaliste.

I think in this country we’ve taken a very liberal approach to mortality…[…] Right now, we’re still recording it, and we’ll — I mean, the great thing about having forms that come in and a form that has the ability to mark it as COVID-19 infection — the intent is, right now, that those — if someone dies with COVID-19, we are counting that as a COVID-19 death.

Difficile d’être plus…. clair. La preuve en vidéo.

Docteur Birx à 1h38 sur la vidéo de la conférence de presse.

Et d’ailleurs Fauci prend la parole juste après, et il sous-entend que c’est pour cela que New-York a le plus grand nombre de covidécès (à l’époque fin avril) (part disproportionnée).

Les “cas” également sont sur-comptés.

Ainsi, le Texas a modifié ses définitions et critères…. mi-mai. Et l’on peut avoir un “cas Covid”, sans jamais de confirmation par un laboratoire…

Au niveau fédéral (CDC), la motivation est politique. Et au niveau local, il y a de claires motivations pécunières à cette Fantasia numérique.

Ainsi le U.S. Department of Health and Human Services (HHS) (ministère de la santé) envoie de l’argent aux :

“Hospitals that had more than 161 COVID-19 admissions between January 1 and June 10 will be paid $50,000 for each COVID-19 admission. HHS asked hospitals to start submitting COVID-19 admission data on June 8.”

Hospitals that use the new CDC definition stand to make millions of dollars. The first round of HHS grants was $12 billion and paid $76,975 per admission to hospitals that had more than 100 COVID-19 admissions from January 1 through April 1. Clearly, states hit early got tons of money- Illinois got $740 M, New York got $684 M, and Pennsylvania got $655 M alone. Additionally, Medicaid will pay out $15 billion in relief funds- hospitals must apply by August, so the more cases the better the return.

(source)

Voilà. Aux Etats-Unis, le couillonavirus, pour les bas échelons, c’est tout simplement davantage de pognon.

Et clairement une arme politique, en haut de la pyramide.

De nombreuses personnes, institutions ont un ou plusieurs intérêts à cette “pandémie” (lire article A qui profite le crime).

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Chiffres

Le décor change : des morts aux nouveaux cas

Les décès par jour, du 17 mars au 2 août. J’ai peur. Zut. Je vais devoir utiliser Omo Machine pour laver mon slip en soie sauvage. Pour l’utiliser ensuite comme masque… (source)

Je sais c’est dur. Mémoire poisson rouge. Mais faites un effort. Mars, avril. Confinement. Autorisation de sortie. On vous terrorisait avec les covimorts, n’est-ce-pas ?

Salomon, le Directeur général de la santé (la taule ? oui pépère tu finiras par y aller) égrenait les chiffres macabres, chaque soir à 19h30.

600 morts les bons jours (à l’hôpital). Ah c’était le bon vieux temps !

Ca y est ça vous revient ?

Fast forward 3 mois.

On ne parle plus des “morts“, pour une raison très simple, il n’y en a plus.

En tout cas pas assez pour vous foutre la pétoche (11 décès le 30 juillet).

Vous imaginez Salomon, à la télé, chaque soir : “la pandémie est terrible. Hier nous avons perdu…. 11 malades“.

Grotesque.

Ils ont donc changé le narrative. Désormais, on vous assomme avec les “nouveaux cas“.

Des milliers, des dizaines de milliers. Des millioooooooooons. Un tsunami (la vague, toujours, n’oubliez pas) de nouveaux cas qui vont emporter la planète.

Des nombres si élevés, ça doit forcément être grave, n’est-ce pas Madame Langlois ?

Non. Tous jeunes. La plupart asymptomatiques. Même pas le nez qui coule.

Caramba, encore raté.