Le couillonavirus est politique.
La covidémence est politique.
Dès lors, voir la Russie officiellement dézinguer l’HCQ, et promouvoir en lieu et place… le remdesivir, la merde américaine de Gilead rejetée même par l’OMS… cela pose question.
Et voir l’infâme organe de propagande russe (selon Macron), Sputnik News, donner de l’écho à cette décision, en France… cela pose question aussi. 😉
«Il est recommandé d’administrer de l’immunoglobuline humaine contre le Covid-19 aux patients hospitalisés en tant que composant de tout schéma de thérapie antivirale […]. L’hydroxychloroquine est exclue de la liste des médicaments autorisés pour traiter le Covid-19», indique un communiqué publié sur le site du ministère russe de la Santé. Cinq médicaments figurent dans cette liste: le remdesivir, le favipiravir, l’immunoglobuline humaine, l’interféron alpha et l’umifenovir. (source Sputnik News)
Chine et Russie, les deux ennemis des Etats-Unis, jouent à fond la carte covidémentielle. Dans les discours et dans les faits.
Difficile de croire que c’est pour vendre des vaccins… afin de se faire un peu de pognon.
Difficile de croire en l’espèce que Poutine ne contrôle pas son ministre de la santé, qu’il est dépassé par les événements, qu’il est profondément stupide, et qu’il a Le Monde, le Washington Post et Marie Claire comme seules sources d’informations…
Alors que Poutine et Xi Jinping pourraient descendre l’Occident, en prouvant au monde sa profonde corruption, le cirque des vaccins contre une maladie bénigne, etc.
C’est en réalité tout l’inverse qui se produit.
Etrange, non ?
Nous sommes en réalité dans le vice, dans une pratique machiavélique des relations internationales…
La Russie et la Chine savent que l’Occident est malade et donc leur intérêt objectif est de tout faire pour intensifier la covidémence.
Afin que la maladie atteigne son stade terminal, provoquant la mort du patient.