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Thaïlande : entre antiviral japonais et plante médicinale

On apprend que la Thaïlande utilise (source) le Favipiravir, un antiviral d’origine japonaise destiné à lutter… contre la grippe.

Extrait d’une étude publiée en octobre 2020.

Favipiravir was first used against SARS-CoV-2 in Wuhan at the very epicenter of the pandemic. Then, as the pandemic spread to Europe, this drug received approval for emergency use in Italy, and currently has been in use in Japan, Russia, Ukraine, Uzbekistan, Moldova, and Kazakhstan. Approval has also recently been granted in Saudi Arabia and the UAE. Thereafter, Turkey, Bangladesh, and most recently Egypt have also seen recent commercial launches. In June 2020, favipiravir received the DCGI approval in India for mild and moderate COVID-19 infections

Problème : ce produit est déconseillé aux femmes enceintes (car toxique pour le foetus).

Dans le même temps, les autorités misent sur… une plante médicinale,  Andrographis Paniculata, pour les couillonavirés avec des symptômes légers.

The Ministry of Public Health has handed over 600,000 fatalaijone capsules to affiliated hospitals nationwide to treat Covid-19 patients with mild symptoms.

“Fatalaijone possesses the ability to suppress virus expansion among patients with mild symptoms. Yet it must be used along with modern medicines,” said Public Health Minister Anutin Charnvirakul. (source Bangkok Post)

 

Andrographolide (fatalaijone) is traditional medicine extracted from the leaves and stems of the Andrographolide plant. Traditional and alternative medicine practitioners have used this extract which has has anti-inflammatory properties to cure infections and boost immunity.

Mais toujours aucune trace d’ivermectine (ni HCQ, ni antibiotiques) en tout cas dans les communications officielles. Comme souvent, c’est le grand silence autour des traitements des couillonavirés. Tout est axé sur les vaccins (comme dans la plupart des pays).

Le pays mise ainsi tout sur son usine (société possédée par le roi)… qui devrait en juin commencer à produire le produit d’AstraZeneca.

La tuile. 😉

Pour le moment 1,2 million de doses ont été injectées (sur un pays de 69 millions d’habitants). Du chinois Sinovac et un peu d’AstraZeneca importé.

Le pays connaît une “vague” depuis 1 mois, créant une véritable panique (les rues de Bangkok, magasins, restaus sont vides).

Les cas (2 200 environs par jour ces derniers jours) ne veulent pas dire grand chose puisque… très peu de tests sont réalisés.

Alors on peut se rabattre sur les covimorts, mesure un peu plus factuelle.

15 décès enregistrés le 28 avril (10 le 29).

Depuis le début (mars 2020)… ça nous fait du 3 morts par million d’habitants (source Worldometer) ! Quand la France est à 1 589

Bref, c’est surréaliste (comme dans toute le reste de l’Asie du reste).

Le plan de vaccination annoncé en mode grosses caisses par le gouvernement est le suivant (source) :

-se concentrer sur les zones à “forte infection”( selon les critères thaïs…) : Bangkok, Chiang Mai, Chon Buri.

  • JUIN : 16 million people include 11.7 million aged over 60 and another 4.3 million suffering from chronic diseases such as severe respiratory disease, heart disease, kidney disease, cancer, diabetes, obesity and stroke.
  • A PARTIR D’AOUT : inoculation will be available for 31 million people aged between 18-59.

Si le principe de la vaccination de masse est ridicule pour les pays occidentaux par exemple, au regard de la réalité de la menace, alors que dire du plan thaïlandais ?

MISE-A-JOUR

Bangkok et 5 autres provinces passent le 1er mai au stade “dark red”, contrôle maximum… Ce qui signifie :

  • fermeture des restaurants. Uniquement ventes à emporter
  • les centres commerciaux demeurent ouverts… mais jusqu’à 21h
  • réunion publique pas plus de 20 personnes
  • écoles fermées

Les détails ici.

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Médicament Pays

“L’ivermectine sauve l’Inde”

Dans la foulée du témoignage d’un médecin au Zimbabwe, voici le témoignage d’un médecin en Inde.

L’ivermectine sauve l’Inde.

Le 22 avril, l’AIIMS (All India Institute Of Medical Science) de New Dehli a approuvé l’ivermectine. Ca change tout.

Dans 2 semaines, ce sera terminé.

Ce qu’il dit au niveau de l’oxygène est intéressant. On verra si sa prédiction se réalise.

Concernant la campagne de propagande menée contre l’Inde… lire mon article ici.

Je signale enfin un excellent article consacré… au Brésil publié sur Contrepoints.org.

Brésil et Inde se ressemblent (vaste état fédéral, larges pouvoirs aux provinces, structures de santé aléatoires, etc.), et surtout même propagande covidémentielle.

Cette campagne s’attaqua d’abord aux Etats-Unis sous Trump, puis le Brésil (de Bolsonaro, méchant car de droite et covisceptique…) et maintenant l’Inde.

Toujours les mêmes ressorts : focus sur les chiffres bruts, car ces pays ont une population importante.

“300 000 cas par jour en Inde !” hurle la presse… pour 1,3 milliard d’habitants… alors que la France avec ses 67 millions d’habitants enregistre 30 000 cas par jour, c’est à dire en proportion 2 fois plus !

Comment dit-on “foutage de gueule” en Hindou ? Réponse : auliviaitvairan.

Donc si c’est l’apocalypse en Inde, quel mot faudrait-il utiliser pour la France ? 😉

Pour le Brésil à l’époque, la presse française mettait en avant les “3 000 morts par jour“… pour un pays de 211 millions d’habitants. Idem pour le bilan total des Etats-Unis (“le cap des 500 000 morts franchi ! Maman au secours ! Appelez les Décodeurs du Monde et de Libé ! “).

Plus c’est gros, plus ça glisse, pas besoin de gel hydro… lubrifiant.

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Zimbabwe : ivermectine à tous les étages

Qui aurait cru qu’un jour le Zimbabwe (ex-Rhodésie pour les nostalgiques)… pourrait ridiculiser la covidémence et les pays occidentaux ?

Ce petit pays d’Afrique australe (14,6 millions d’habitants), quasi failli pendant de nombreuses années, célèbre pour son hyperinflation grotesque et les cingleries de son ex-dictateur, feu l’infâme Robert Mugabe

Et pourtant !

Voici une remarquable interview du docteur Jackie Stone. Elle travaille dans un centre de santé à Hararé, la capitale.

Confrontée au couillonavirus et à des patients qui partaient en sucette fin juillet 2020… Elle commence à utiliser l’ivermectine (comprimés et forme liquide) début août (suivant les protocoles du groupe FLCCC et les études réalisées au Bangladesh, au Kenya etc.)

Les résultats sont immédiats et spectaculaires.

“De début août au 24 décembre, je n’ai plus perdu un seul patient”.

“Tout le pays a été sensibilisé à l’ivermectine. L’autorisation officielle est arrivée le 26 janvier 2021.”

L’interview est sous-titrée en français (par les bons soins de l’excellent site ivermectine-covid.ch)

Elle parle du fonctionnement de la molécule contre le couillonavirus, des dosages utilisés en fonction de la gravité clinique, et de sa propre expérience (elle s’est autotraitée, après avoir été infectée -durement- par le variant sud-africain).

Elle n’hésite pas à utiliser des doses élevées dans les cas graves (100 mg).

Une de ses patientes, très malade, ayant même pris en plus la dose prescrite à son mari en prophylaxie… Et qui le lendemain, se sentait très bien, et ne souffrant d’aucun effet secondaire.

Elle rappelle qu’en Afrique, les médecins n’ont pas peur de l’ivermectine (utilisée localement depuis des décennies). Le paracétamol est beaucoup plus dangereux, fait scientifique qui échappe à la plupart des grands savants français, comme Cyril Hanouna, Olivier Véran, Casimir et le professeur Karine Lacombe.

Elle rappelle les leçons du HIV et de la malaria : frapper fort et surtout rapidement. Pour le Covid, c’est la même chose.

C’est-à-dire l’antithèse du modèle chinois appliqué depuis un an en Occident : ne rien faire, “restez chez vous”…. et récupérer ensuite les malades mourants en réanimation…

Enfin, elle a cette phrase, solaire :

“Je n’ai plus peur du tout de cette maladie, maintenant”

Lien : https://odysee.com/@ivermectine-covid.ch:5/Interview-de-la-Dr-Jackie-Stone-sur-l’utilisation-de-l’ivermectine-au-Zimbabwe:9

Ces interviews sont très importantes.

Essentielles mêmes.

  • Car ce sont des vrais médecins (pas des fonctionnaires corrompus et fainéants)
  • confrontés à des vrais patients (pas des modèles mathématiques)
  • qui font vraiment leur travail (au lieu de faire de la politique)
  • et qui font feu de tout bois pour sauver la vie des malades (sans idéologie et en respectant le serment d’Hippocrate).

Ces médecins sur le terrain testent des traitements au lieu de renvoyer leurs patients crever à leur domicile, avec du doliprane ou de faire chier la terre entière avec des études randomisées en double aveugle (et triple sourd).

L’ivermectine fonctionne, c’est-à-dire réduit la covimortalité, y compris avec tout le circus des mutants. CQFD.

Il y a des dizaines d’études, dans plusieurs pays, et surtout de nombreux témoignages comme celui du docteur Jackie Stone qui illustrent cette vérité incandescente.

Tout le reste est de la politique, relève du sida mental et/ou des manipulations gouvernementales (à commencer par le gouvernement chinois).

Comme je l’ai souvent écrit : la vérité vient de ces pays improbables, pauvres… en Afrique, Amérique du sud, Asie…

Ce fameux “tiers monde” dont nous parlons avec tant mépris, alors que l’Occident est devenu un shithole et surtout un asile de vieillards, de neuneus, craintifs et manipulés par le PCC.

SYNTHESE

Pour résumer : vous êtes à risques Covid ? Pensez ivermectine, avant de penser vaccins (et printemps…).

Documentez-vous, observez ce que font de vrais médecins en dehors de France, lisez, réfléchissez.

En clair : prenez votre santé en main.

Et si vous n’êtes pas à risques… eh bien… faites le même travail ! 😉 La culture ça cultive… !

Et qui sait, un jour, si une saleté de variant vient vous chatouiller les muqueuses, vous saurez quoi faire…

MISE EN PERSPECTIVE FRANCO-FRANCAISE

Entendre un branleur comme Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, parler de “mise en danger de la vie d’autrui ” (!!!)… quand des jeunes ont eu l’outrecuidance de danser le week-end dernier au parc des Buttes-Chaumont…

Et quand dans le même temps ce gouvernement criminel refuse de travailler avec l’ivermectine, et donc de facto TUE DES MALADES DU COVID… on mesure l’étendue du sida mendal qui frappe la France.

Quand Gabi au bord de la Seine, pieds nus (après une pédicure, faut quand même pas déconner), lisant le Monde, sirotant un verre de rosé… vient nous parler de “mise en danger de la vie d’autrui”… (note du service illustration : photo non truquée).