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Médicament

Encore un bide français : Abivax arrête son projet de médicament

la biotech française Abivax arrête son essai clinique par «manque d’efficacité»

Baptisé ABX464, ce traitement avait reçu en mai 2020 le feu vert de l’ANSM pour être testé contre le Covid-19, lors d’un essai clinique. (source Le Figaro)

Tout avait pourtant si bien commencé… On le voit, le cours de la société avait fortement augmenté depuis le début de la terrible pandémie, passant de 8 à 20 puis à 30. 😉

Hélas… énième bide français (après Sanofi, Pasteur etc.)

Toutes ces sociétés qui s’agitent et qui pompent comme des shadoks alors que les traitements existent déjà : éprouvés, ne coûtant rien… Comme l’ivermectine par exemple, sans oublier les antibios, l’hydroxychloroquine.

En tout cas, cette mésaventure est… positive, pour le petit Olivier et son comparse, Jeannot Avé L’Accent… !

Ils pourront continuer à nous répéter en boucle comme des perroquets sous psychotrope : “il n’y a pas de traitement contre le Covid, je ne sais pas de quoi vous voulez parler”. 😉

Olivier Véran s’entraîne à la trottinette : “il n’y a pas de traitement contre le Covid”, “Il n’y a pas de traitement contre le Covid…”
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Médicament Pays

Comment expliquer le miracle indien ?

Du 1er mars 2020 au 1er mars 2021. La courbe ne ressemble pas à celle de la plupart des pays, surtout à partir de novembre.

Deuxième pays le plus peuplé sur la planète. Un système hospitalier… de bric et de broc… Des mégalopoles invraisemblables… Des conditions d’hygiène… aléatoires (pour rester poli)…

Certains craignaient une hécatombe couillonovirale en Inde.

Et pourtant… non.

113 covimorts par million… Quand les glands français si arrogants et si sachants sont à 1 334 (source Worldometer).

Onze fois plus…

Pour reformuler : il y a proportionnellement beaucoup moins de lits de réanimation en Inde qu’en France… alors pourquoi une telle différence ?

La réponse habituelle… Le soin. Et le plus vite possible. Y compris chez des gens qui ne faisaient pas de tests PCR.

Puisque les médecins indiens ne pouvaient pas se payer le luxe de dire aux malades “restez chez vous, prenez du paracétamol, on viendra vous chercher quand vous serez à l’article de la mort”.

Le site Covexit (listé dans mes sources) publie un papier remarquable écrit par 5 médecins indiens.

C’est la première fois que je vois une évaluation du nombre total de patients indiens qui ont été traités avec l’HCQ et l’ivermectine (distribués gratuitement parfois, lire ici) de mars à décembre 2020.

Les chiffres sont stupéfiants.

This would project the number of patients receiving either HCQ or Ivermectin to over 30 Millions (29 Mil + half of 5.75 Mil)
Thus, it is safe to assume that behind every positive case of Covid-19 in India, there were 2 more who received either HCQ or Ivermectin.

Les auteurs pointent également d’autres hypothèses et facteurs. L’âge bien entendu. Ou encore la prévalence de la malaria.

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Médicament

Ivermectine : une étude américaine qui décoiffe

Allô ? Véran ? On a un cadeau pour toi…

Tu auras le temps d’y penser lorsque tu seras à la Santé. En taule.

Une étude, peer reviewed, et qui va être publiée dans le journal américain Frontiers of Pharmacology... donne un grand coup de boule dans la gueule des covidéments neuneus type Véran ou Castex (“il n’y a pas de traitement, je ne sais pas de quoi vous voulez parler. Prout. “).

‘The data is overwhelming – we are in a pandemic, and this is an incredibly effective way to combat it. If we use ivermectin widely, our societies can open up.’ (DailyMail)

Traduction sur le pouce : “les données sont écrasantes… C’est un moyen incroyablement efficace contre le virus. Si on utilisait l’ivermectine à large échelle nos sociétés pourraient revivre normalement”.

Pour les retardataires, les têtes en l’air, rappelons les bases : l’ivermectine est un médicament antiparasite utilisé depuis la fin des années 70, très largement, qui ne coûte rien et qui est sans danger.

C’est le traitement de référence contre la gale par exemple.

Il y a eu d’ailleurs une incroyable démonstration de l’efficacité de l’ivermectine contre le couillonavirus… en mars 2020 dans un ehpad français.

Une résidente a la gale. Immédiatement, on traite tout le personnel et les pensionnaires avec de l’ivermectine (la gale étant extrêmement contagieuse).

Et ? Mystérieusement, le couillonavirus a évité cet ehpad…

Ce simple fait -documenté- et qui s’est produit sur le territoire national aurait dû pousser les autorités à lancer une enquête, mobiliser des équipes, lancer des recherches poussées… Car, rappelons-le, nous sommes “en guerre” n’est-ce pas ?

Que s’est-il passé ? Rien bien entendu. Surtout pas. Ne rien faire. Ne pas étudier. Ne pas venir en aide aux malades.

L’ivermectine agit même en prophylactique (son élimination dans le corps est très longue).

Pour tout savoir sur ce médicament miracle, le docteur Maudrux est la référence.

Ou sinon, excellente vidéo de synthèse réalisée par l’IHU Marseille.

Quand Véran et Castex continueront de se couvrir de ridicule (avant de collectionner les plaintes au pénal)… vous pourrez briller dans les dîners en ville.

Avec des données scientifiques, des vraies.

Non seulement le couillonavirus est bénin pour la grande majorité de la population.

Mais en plus, pour les personnes réellement à risques (les vieux malades)… un traitement existe, l’ivermectine, qui réduit la durée d’hospitalisation, et le nombre de morts.

Bref, le couillonavirus est mort.

Qu’il le reste.

MISE -A-JOUR

La revue a refusé finalement de publier le papier (le 2 mars).

Lien : https://blog.frontiersin.org/2021/03/02/2-march-2021-media-statement/

Le papier est accessible ici.