Allô ? Véran ? On a un cadeau pour toi…
Tu auras le temps d’y penser lorsque tu seras à la Santé. En taule.
Une étude, peer reviewed, et qui va être publiée dans le journal américain Frontiers of Pharmacology... donne un grand coup de boule dans la gueule des covidéments neuneus type Véran ou Castex (“il n’y a pas de traitement, je ne sais pas de quoi vous voulez parler. Prout. “).
‘The data is overwhelming – we are in a pandemic, and this is an incredibly effective way to combat it. If we use ivermectin widely, our societies can open up.’ (DailyMail)
Traduction sur le pouce : “les données sont écrasantes… C’est un moyen incroyablement efficace contre le virus. Si on utilisait l’ivermectine à large échelle nos sociétés pourraient revivre normalement”.
Pour les retardataires, les têtes en l’air, rappelons les bases : l’ivermectine est un médicament antiparasite utilisé depuis la fin des années 70, très largement, qui ne coûte rien et qui est sans danger.
C’est le traitement de référence contre la gale par exemple.
Il y a eu d’ailleurs une incroyable démonstration de l’efficacité de l’ivermectine contre le couillonavirus… en mars 2020 dans un ehpad français.
Une résidente a la gale. Immédiatement, on traite tout le personnel et les pensionnaires avec de l’ivermectine (la gale étant extrêmement contagieuse).
Et ? Mystérieusement, le couillonavirus a évité cet ehpad…
Ce simple fait -documenté- et qui s’est produit sur le territoire national aurait dû pousser les autorités à lancer une enquête, mobiliser des équipes, lancer des recherches poussées… Car, rappelons-le, nous sommes “en guerre” n’est-ce pas ?
Que s’est-il passé ? Rien bien entendu. Surtout pas. Ne rien faire. Ne pas étudier. Ne pas venir en aide aux malades.
L’ivermectine agit même en prophylactique (son élimination dans le corps est très longue).
Pour tout savoir sur ce médicament miracle, le docteur Maudrux est la référence.
Ou sinon, excellente vidéo de synthèse réalisée par l’IHU Marseille.
Quand Véran et Castex continueront de se couvrir de ridicule (avant de collectionner les plaintes au pénal)… vous pourrez briller dans les dîners en ville.
Avec des données scientifiques, des vraies.
Non seulement le couillonavirus est bénin pour la grande majorité de la population.
Mais en plus, pour les personnes réellement à risques (les vieux malades)… un traitement existe, l’ivermectine, qui réduit la durée d’hospitalisation, et le nombre de morts.
Bref, le couillonavirus est mort.
Qu’il le reste.
MISE -A-JOUR
La revue a refusé finalement de publier le papier (le 2 mars).
Lien : https://blog.frontiersin.org/2021/03/02/2-march-2021-media-statement/
Le papier est accessible ici.