Mais c’est surtout une scène d’anthologie, extraite du film Calmos, avec Jean Rochefort et le sublime Jean-Pierre Marielle.
Les personnages revisitent Montaigne… en se levant à minuit… afin de “doubler le premier sommeil, le plus réparateur “. 😉
la Turborg, ça glisse
l’admirable cholestérol qu’on va se payer
Quand on mange sain, sans produit chimique, y’a jamais de contre-indication
Bref, contre la covidémence, bouffez du saucisson à l’ail.
En prime, vous éviterez les vampires… on ne sait jamais… ainsi que les partenaires cul-serré (une Française ou un Français qui n’aime pas l’ail ne mérite pas l’amour).
La FDA est formelle : l’ivermectine c’est le diable. Il a des oreilles pointues, des cornes, et il est hautement toxique. Cette photo prise au microscope électronique le prouve !
C’était parfaitement prévisible.
La puissante FDA américaine rejoint la guerre menée contre toute idée de traitement du couillonavirus.
Et comme depuis quelques mois l’ivermectine est sous les feux de la rampe (après l’HCQ) alors elle devient la nouvelle cible de choix.
La cible à abattre alors que ce médicament existe et est utilisé dans le monde depuis… 40 ans… Sans problème.
Et mieux encore : elle ne coûte rien (domaine public).
Elle est donc doublement dangereuse pour la covidémence.
The Food and Drug Administration is warning Americans against using ivermectin, a drug that kills parasites, to treat COVID-19.
“Taking large doses of this drug is dangerous and can cause serious harm,” the FDA said Friday. (source FoxNews)
La propagande est énorme… Personne n’a jamais dit ni écrit que pour lutter contre le couillonavirus il fallait utiliser de “grosses doses” d’ivermectine !
Les posologies utilisées sont classiques et en fonction du poids des patients.
“Even the levels of ivermectin for approved uses can interact with other medications, like blood-thinners,” the FDA explains.
“You can also overdose on ivermectin, which can cause nausea, vomiting, diarrhea, hypotension (low blood pressure), allergic reactions (itching and hives), dizziness, ataxia (problems with balance), seizures, coma and even death.”
Toujours les mêmes arguments pour débiles profonds : attention, si vous en prenez trop…. vous pouvez moooooooooooourrrirrrrrrrr !
Et si vous la mélangez avec de la mort-au-rat, de l’acide de batterie, ou de l’eau javel… vous pouvez mouuuuuuuuuuuuurrrrrrrrrrir aussi !
Eh oui.
Surdose et interaction…
Cela s’applique également pour le paracétamol, le chocolat, le pinard, la poule-au-pot, la crème anglaise, l’héroïne, le sel de table, le crack et même l’eau.
On attend le même type de communiqué de la part de la FDA pour le remdesivir ou les produits géniques de Pfizer et Moderna, sans oublier les milliers d’autres médicaments utilisés dans la pharmacopée moderne…
Bande de sinistres comploteurs.
Hélas le mal est fait. Les grands médias dans le monde publieront tous le titre : “La FDA met en garde contre l’utilisation de l’ivermectine”.
Mission accomplie.
La FDA est une agence publique américaine puissante (et régulièrement au centre de polémiques). Elle a en charge la sécurité des médicaments… ce qui la place -bien entendu- au coeur du dispositif covidémentiel.
A titre de comparaison le CDC a un budget de 11 milliards.
Pour synthétiser : la FDA autorise des traitement parfaitement inconnus (les nouveaux produits de Pfizer et Moderna) pour lesquels la science n’a aucun recul (on ne le répétera jamais assez), et parallèlement, la FDA avertit sur les dangers de l’ivermectine…
CQFD.
Est-il besoin de répéter mon antienne ?
La covidémence est dans son 14ème mois… et rien ne change.
La guerre globale contre les populations et contre les traitements se poursuit, et même s’intensifie.
Combien de temps faudra t-il pour que les derniers sceptiques finissent par comprendre qu’il y a quelque chose de profondément pourri et de funeste dans cette pseudo terrible pandémie ?
la biotech française Abivax arrête son essai clinique par «manque d’efficacité»
Baptisé ABX464, ce traitement avait reçu en mai 2020 le feu vert de l’ANSM pour être testé contre le Covid-19, lors d’un essai clinique. (source Le Figaro)
Tout avait pourtant si bien commencé… On le voit, le cours de la société avait fortement augmenté depuis le début de la terrible pandémie, passant de 8 à 20 puis à 30. 😉
Hélas… énième bide français (après Sanofi, Pasteur etc.)
Toutes ces sociétés qui s’agitent et qui pompent comme des shadoks alors que les traitements existent déjà : éprouvés, ne coûtant rien… Comme l’ivermectine par exemple, sans oublier les antibios, l’hydroxychloroquine.
En tout cas, cette mésaventure est… positive, pour le petit Olivier et son comparse, Jeannot Avé L’Accent… !
Ils pourront continuer à nous répéter en boucle comme des perroquets sous psychotrope : “il n’y a pas de traitement contre le Covid, je ne sais pas de quoi vous voulez parler”. 😉
Olivier Véran s’entraîne à la trottinette : “il n’y a pas de traitement contre le Covid”, “Il n’y a pas de traitement contre le Covid…”