Categories
Médicament Pays

Moyen-Orient et Afrique du Nord : quel pays utilise quels traitements

Je signale un article décoiffant publié par le quotidien libanais, l’Orient le Jour.

Lien : https://www.lorientlejour.com/article/1245520/traitements-et-vaccins-contre-le-covid-19-au-moyen-orient-et-en-afrique-du-nord.html

Fascinant car il détaille, pays par pays (Moyen-Orient et Afrique du Nord), quels sont les traitements utilisés contre le couillonavirus.

L’HCQ, l’ATZ.. sont massivement employés (Bahreïn, Liban, EAU, Egypte, Maroc, Algérie, Tunisie, Soudan, Syrie etc.)

Il suffit ensuite de regarder leur “score” (nombre de covidécès par million, sur Worldometer) pour voir que ces gens sont souvent moins riches que nous, mais beaucoup, beaucoup plus intelligents….

Allez. On fait une bonne action. On imprime l’article et on l’envoie en recommandé à Vérandouille et à tous ses complices.

Avec un peu de chance, ils se réuniront pour définir un protocole de lecture, et ensuite 4 ans après ils seront prêts pour apprendre et comprendre.

Ca nous fera des vacances.

POST-SCRIPTUM

Un autre pays listé dans l’article est réellement fascinant : l’Iran.

Si vous n’êtes pas au courant, révisez l’histoire récente.

L’Iran a été frappée par le couillonavirus très tôt en 2020 (en même temps que l’Italie). A un moment, des hauts fonctionnaires et membres du Parlement et même du gouvernement tombaient comme des mouches (au point que l’on pouvait soupçonner une coverop au sein de la psyop… si vous voyez ce que je veux dire).

Eh bien, je pensais que les Perses étaient intelligents… Figurez-vous qu’ils utilisent… le Remdesivir, du labo américain Gilead, la fameuse molécule qui ne fonctionne pas, démontée à coups de cric par Raoult, et finalement déconseillée par l’OMS même !

C’est stupéfiant !

Sur ce coup-là, les mollahs affichent un côté enclume assez perturbant…

La ressemblance n’est pas évidente, certes. Et pourtant. C’est bien un mollah iranien !
Categories
Médicament

Zut : Mexico, Honduras, Japon utilisent l’ivermectine

Ceci n’est pas une pipe. Et encore moins un traitement contre le Covid.

Zut.

Aïe.

Une capitale et deux autres pays s’ajoutent à la liste de ceux qui ont décidé de prendre leur destin en mains (lire ici et ).

VILLE DE MEXICO

Oliva López, Head of the Mexico City Ministry of Health, reported that the city’s medical staff was administering ivermectin and azithromycin to COVID-19 patients, reported el Financiero, with the support of the National Institute of Medical Sciences and Nutrition “Salvador Zubirán” (INCMNSZ), the Mexican Institute of Social Security (IMSS) and the Ministry of Education, Science, Technology and Innovation (SECTEI). (source)

HONDURAS

Le secrétaire à la Santé, Alba Consuelo Flores, a annoncé aujourd’hui […] que l’ivermectine a été approuvée pour être mis en œuvre avec des médicaments utilisés à titre préventif chez les patients atteints de covid-19. (source)

JAPON

Lors d’une conférence de presse le 9 février, le président de l’Association médicale de Tokyo, Haruo Ozaki, a recommandé l’utilisation d’urgence de médicaments, principalement pour prévenir l’aggravation des soignants à domicile afin de répondre à la propagation de la nouvelle infection à coronavirus. Il a souligné que les médicaments antiparasitaires tels que “l’ivermectine” devraient être administrés aux personnes infectées par la corona, affirmant qu’ils se sont avérés efficaces pour prévenir l’aggravation à l’étranger. (source)

Mais souvenez-vous du motto officiel : “il n’y a pas de traitement contre le Covid, je ne sais pas de quoi vous parlez” (Vérandouille et tous ses complices Salomon, Castex etc.). 😉

Messieurs, vos places à la Santé, au chaud, vous attendent…

La prison de la Santé.

(Paris, dans le 14ème, pour nos amis provinciaux 😉 ).

 

Categories
Médicament

Guadeloupe : une plante contre le couillonavirus ?

La Guadeloupe va t-elle nous sauver de la terrible pandémie ?

Une plante, l’Herbe à pic, utilisée dans la pharmacopée traditionnelle, bloque la voie d’entrée du couillonavirus dans les cellules.

Cette découverte est fondamentale pour réduire l’impact de tous les virus à ARN sur les populations (dengue, chikungunya, coronavirus, rougeole) (source France Info)

Que penser de cela ?

D’abord, on va créer le protocole du protocole pour lancer une étude randomisée double aveugle.

Dans 4 ou 6 ans, on devrait avoir la version finale du protocole.

Ensuite, il faudra plusieurs années pour procéder aux tests et accumuler les données nécessaires à l’évaluation.

Ensuite, il faudra au moins 10 ans pour étudier les effets secondaires de cette plante.

Eh oui , c’est une étape fondamentale et incompressible ! Notons que c’est exactement ce qui a été fait pour les produits de Pfizer et de Moderna et d’AstraZeneca.

On ne peut pas jouer avec la santé d’autrui. Le principe de précaution s’impose à nous, nous les scientifiques et fonctionnaires éclairés.

Ensuite, viendra le temps de la publication des résultats dans The Lancet (si ce torchon existe toujours).

Ensuite, Véran, qui sera alors en fuite à l’étranger après s’être échappé de la prison de la Santé, écrira des tweet vengeurs :

Il n’y a pas de traitement contre le Covid, je n’en connais aucun, et ce n’est pas une plante coco rhum à la con qui me fera changer d’avis. Prout. Zob.

Bref… En 2045, on aura -éventuellement- les résultats.

Mais pas de bol, le Covid, alors, n’existera plus.

Bon courage à nos amis ultra-marins… 😉

Et méfiez-vous de Castex et Véran…

Ils vont pourrir votre île fissa.

On ne plaisante pas avec le crime de lèse-couillonavirus

POST-SCRIPTUM

Plus sérieusement, présentation du bouzin :