La Guadeloupe va t-elle nous sauver de la terrible pandémie ?
Une plante, l’Herbe à pic, utilisée dans la pharmacopée traditionnelle, bloque la voie d’entrée du couillonavirus dans les cellules.
Cette découverte est fondamentale pour réduire l’impact de tous les virus à ARN sur les populations (dengue, chikungunya, coronavirus, rougeole) (source France Info)
Que penser de cela ?
D’abord, on va créer le protocole du protocole pour lancer une étude randomisée double aveugle.
Dans 4 ou 6 ans, on devrait avoir la version finale du protocole.
Ensuite, il faudra plusieurs années pour procéder aux tests et accumuler les données nécessaires à l’évaluation.
Ensuite, il faudra au moins 10 ans pour étudier les effets secondaires de cette plante.
Eh oui , c’est une étape fondamentale et incompressible ! Notons que c’est exactement ce qui a été fait pour les produits de Pfizer et de Moderna et d’AstraZeneca.
On ne peut pas jouer avec la santé d’autrui. Le principe de précaution s’impose à nous, nous les scientifiques et fonctionnaires éclairés.
Ensuite, viendra le temps de la publication des résultats dans The Lancet (si ce torchon existe toujours).
Ensuite, Véran, qui sera alors en fuite à l’étranger après s’être échappé de la prison de la Santé, écrira des tweet vengeurs :
Il n’y a pas de traitement contre le Covid, je n’en connais aucun, et ce n’est pas une plante coco rhum à la con qui me fera changer d’avis. Prout. Zob.
Bref… En 2045, on aura -éventuellement- les résultats.
Mais pas de bol, le Covid, alors, n’existera plus.
Bon courage à nos amis ultra-marins… 😉
Et méfiez-vous de Castex et Véran…
Ils vont pourrir votre île fissa.
On ne plaisante pas avec le crime de lèse-couillonavirus…
POST-SCRIPTUM
Plus sérieusement, présentation du bouzin :