Ca vient de sortir chez les Suisses et c’est en langue française.
Ce site s’appuie sur le Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (un groupe de médecins, aux Etats-Unis, qui travaillent sur les traitements contre le couillonavirus).
Un avocat de Montpellier, Jean-Charles Teissedre, avec une association, a entamé une procédure devant le juge administratif pour que ce dernier ordonne au Ministère de la santé de demander à l’Agence du médicament une RTU (recommandation temporaire d’utilisation) pour l’invermectine.
On rappelle que cette molécule créée à la fin des années 70 est utilisée comme anti-parasite et a permis de sauver des millions de personnes dans le monde depuis 40 ans (en particulier la “cécité des rivières” en Afrique et Amérique centrale).
De nombreuses études montrent qu’elle a une action contre le couillonavirus, y compris (c’est important voir plus bas) en prophylaxie.
Elle est utilisée contre le couillonavirus au Mexique, Brésil, Inde, Paraguay, etc. (voir article ici).
Le docteur Maudrux a pondu une remarquable synthèse au sujet de l’ivermectine (dispo sur son blog)(à lire absolulement et à faire tourner).
Rappelons également que la même Agence du médicament a refusé une RTU pour l’hydroxychloroquine, demandée par Didier Raoult (ce dernier contre-attaquant au pénal).
Alors que le remdesivir… la nouvelle merde de Gilead, n’a eu aucun problème pour l’obtenir. Alors que cela ne marche pas contre le Covid, c’est l’OMS qui le dit maintenant (ça n’a pas empêché l’Union Européenne d’en acheter pour des centaines de millions d’euros… juste avant… les neuneus bruxellois sont toujours premiers dans les mauvais coups).
Bref, la requête de Teissedre a été jugée recevable. Il a obtenu une audience le 6 novembre 2020. Il a plaidé le dossier.
“Et là la première chose qui m’a frappé, et qui a frappé aussi la présidente de l’audience, c’est que le ministre de la santé n’était pas représenté. Il y a toujours quelqu’un. Mais là il n’y avait personne. La présidente n’a pas compris. Elle était partagée cette magistrate. Elle semblait aller dans mon sens. Et puis je voyais qu’elle était gênée. A la fin de l’audience, 15h, elle n’a pas mis l’affaire en délibéré, c’est rare, elle a demandé un supplément d’information. Je veux prendre quelques heures de plus, j’ai des recherches à faire, a t-elle dit. Et à 17h, la décision a été rendue : requête rejetée.” (source interview donnée au site Covexit).
Commentaire personnel : il devient de plus en plus difficile de parler d'”erreur“… Après tout, tout le monde peut se tromper.
Dire oui au remdesivir et non à l’HCQ c’était peut-être une erreur de la part de l’ANSM.
Mais là… ça recommence. En fait, les autorités font tout pour rejeter, bloquer tout principe de traitement du Covid.
Entre le confinement et les vaccins… dans leur esprit covidérangé, il n’y a rien ! Il ne peut rien y avoir…
Pour boucler sur la France, citons une étude… française (mais oui !)… qui illustre parfaitement le mot (anglicisme): sérendipité.
😉
Leçon de vocabulaire :
Capacité, aptitude à faire par hasard une découverte inattendue et à en saisir l’utilité (scientifique, pratique).
Le 6 mars dernier une épidémie de gale se déclenche dans un Ephad en Seine-et-Marne.
Ni une ni deux, les 69 pensionnaires et les 52 employés sont traités par le médicament de référence dans cas : l’invermective.
Ajoutons que l’âge médian des résidents était de 90 ans (!) et qu’ils avaient quasiment tous “au moins une comorbidité à risque de COVID-19 sévère“.
Bref, visualisez un train de la mort en partance pour l’enfer, sans escale… Billets en première classe…
Et vous devinez ce qui s’est passé ensuite… Si, si vous devinez… 😉
Cet Ephad a été miraculeusement épargné par… le couillonavirus (en terme de mortalité et de sévérité des symptômes).
Oh ben zut alors.
Oui, tous ces gentils vieillards prêts à crever à la moindre quinte de toux covidesque, prêts à être sacrifiés sur l’autel de la covidémence, déesse cinglée qui a besoin de cadavres pour exister… ont miraculeusement survécu.
Rezut.
Bien entendu on ne peut exclure dans ce cas précis l’intervention de la Fée Clochette, voire celle plus ténébreuse d’Allah ou encore un petit coup de pouce de l’Ange Gabriel.
Dans sa vidéo hebdomadaire, le professeur Raoult révèle d’autres informations qui confirment que les autorités bloquent toutes les études portant sur des molécules anciennes pour lutter contre le Covid (on appelle ça le “repositionnement“).
On a un collègue qui a présenté un CPP [Comités de protection des personnes] pour tester la doxycycline, qui est un médicament banal, il a été rejeté. Il a été rejeté aussi pour l’hydroxychloroquine…[…] Toutes les propositions de test de molécules anciennes sont rejetées dans ce pays par des gens dont la formation scientifique n’est pas comparable à celle des demandeurs.
On connaît parfaitement les groupes à risque face au couillonavirus :
-les vieillards
-les malades (hypertension, diabète, obésité etc)
Si vous combinez les deux, vous êtes dans la ligne de feu.
Pourtant, il faut rappeler un point fondamental : de nombreux individus qui répondent à ces critères et qui sont couillonavirés… NE MEURENT PAS.
Et heureusement !
Deuxième chose fondamentale à rappeler : malgré le terrorisme pratiqué par les covidéments, ce virus demeure une plaisanterie au niveau de la mortalité globale.
Alors comment expliquer les différences que l’on voit sur le terrain ? Il est très probable que les gènes soient un élément de réponse.
De la même manière qu’un individu n’ayant jamais fumé pourra succomber d’un cancer du poumon carabiné, alors qu’un autre fumant comme un pompier décèdera à un âge canonique, sans cancer (et en se foutant de la gueule du premier bien entendu).
Nous ne sommes pas égaux.
Le Covid ne peut échapper à cette vérité biologique.
L’université d’Edimbourg (Ecosse) a réalisé une étude sur 2 700 patients anglais répartis dans 208 unités de soins intensifs et infectés par le Covid (forme grave).
22 % d’entre-eux sont décédés.
Les informations génétiques de ces malades ont été comparées à celles de 100 000 personnes.
Five genes emerged as being extremely common in severe Covid cases.
Researchers say the discovery of five genes that appear so clearly to be linked to the disease is unprecedented in the field.
Knowing which genes are involved in severe cases of coronavirus infection can help scientists identify pre-existing drugs that could help treat Covid, the researchers say (source DailyMail)
L’étude vient d’être pré-publiée dans la revue Nature.