Si on vous dit qu’un bêtabloquant ou un médicament anti-migraine ou encore un anti-épileptique qui “ralentit” la transmission neuronale… peut réduire la progression d’un cancer… vous pensez immédiatement à :
- complotisme
- poutinophilie
- antisémitisme
- transophobie
… Car enfin quel rapport avec la choucroute médicale, en l’espèce le bon vieux cancer des familles ?
C’est comme les fous furieux qui évoquent l’activité anti-cancéreuse des molécules anthelminthiques du type fenbendazole ou ivermectine, n’est-ce pas ?
Les éminents singes professeurs de l’Académie de Médecine nous répètent depuis des décennies (sept, une paille) que le cancer se traite avec des chimios, des rayons et de la chirurgie, et puis basta.
Certes, les singes professeurs les plus jeunes, les plus “startup nation” ajoutent immunothérapies et autres “vaccins ARNm” dans leur cabas… Sans aucun effet réel ni durable, mais ce n’est pas grave, ça sonne bien.
Et surtout, ça paye beaucoup plus !
Les tenants du dogme et leurs serviteurs zélés sont comme des chimpanzés à qui on demanderait de construire le barrage des Trois Gorges.
La seule différence entre ces deux groupes d’animaux à leur stade de développement respectif ?
L’arrogance de l’homme ne connaît aucune limite.
Et pourtant… c’est démontré.
Le cancer utilise le système nerveux pour se répandre et se multiplier, voire même pour affaiblir les défenses immunitaires !
Un article passionnant paru dans Nature fin janvier présente la problématique.
Lien : https://www.nature.com/articles/d41586-024-00240-3
Et c’est stupéfiant.
Il n’y a pas d’autres mots.
Un extrait (parmi d’autres) :
she led a phase II clinical trial, published in 2020, testing the beta blocker propranolol in people with breast cancer. Taking the medication for just one week reduced signs of the cancer’s potential to metastasize.
Qui parmi les oncologues (“les spécialistes d’une maladie qu’on ne connaît pas” comme le rappelle Dieudonné) est au courant ? Ont-ils lu ? Ont-ils réfléchi aux conséquences de telles découvertes ?
Ont-ils compris que tout ce qu’ils préconisent et font mécaniquement depuis des lustres prend un sérieux coup de vieux voire un franc coup derrière la nuque ?
Le professeur Ouistiti va pouvoir retourner à ses chères études…
POST-SCRIPTUM
Le plus choquant ce ne sont pas tant ces “protocoles” aussi bourrins qu’absurdes… que l’arrogance inouïe qui les entoure.
Il suffirait de dire : “dans l’état actuel de nos connaissances, voilà ce que nous vous proposons, ce n’est guère brillant, mais au mieux vous gagnerez quelques mois, au pire vous en perdrez quelques uns…“.
La science doit être un éternel questionnement, un éternel commencement, sinon ce n’est pas de la science, mais une vague religion.
Je l’ai souvent écrit : le délire du Covid a eu cette grâce absolue… Dessiller nos yeux.
Le nombre de médecins bac + 15 et autres pontes émérites avec des carrières prestigieuses qui se sont révélés être des imbéciles finis à la pisse… est tout bonnement vertigineux.
Et ce sont les mêmes à qui nous devrions confier nos pathologies du moyen-âge ? Et in fine, nos vies ?
Quelle farce.
Statistiquement, nous avons tous connu -intimement- le cirque du cancer, la valse des “protocoles”, les chimios et des rayons qui démolissent les malades… qui les achèvent.
Mais je le répète, ce qui frappe le plus, c’est toujours cette morgue insupportable, verrouillée au corps… du corps médical : “nous détenons la vérité vraie. Nous sommes le bien, le vrai, le juste“.
Alors que de nombreuses études démontrent qu’au contraire nous savons peu de choses… Et que nous savons fort mal.
Et que tout reste à découvrir, à comprendre…
Et que le cancer est un sujet infiniment plus compliqué et qui réclame une approche infiniment plus nuancée que le dogme infantile et psychotique : chimios + rayons en mode “on va tout niquer, on extermine les cellules cancéreuses, on va gagner“.