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Médicament Saloperie et sida mental

Attention : l’Actifed contre le rhume peut vous tuer

Plus c’est gros plus ça passe (proverbe africain, pardon chinois)

Quelques jours après la publication d’une étude montrant l’efficacité de 2 molécules associées (le Diphénhydramine + Lactoferrine, lire ici) contre le couillonavirus… les clowns de l’ANSM sont appelés à la rescousse.

L’Agence nationale de la sécurité du médicament a ainsi fait une découverte scien-ti-fi-que stupéfiante (en quelques jours !) :

Nez bouché, gorge qui gratte, maux de tête ? Ces symptômes conduisent nombre d’entre nous directement à la pharmacie. Gare à l’utilisation de certains médicaments tels que l’Actifed Rhume, Humex Rhume, Rhinadvil Rhume, qui présentent un risque d’effets indésirables. Ils sont rares, prévient l’Agence nationale de sécurité du médicament, mais sont potentiellement très graves. L’agence évoque un risque d’infarctus du myocarde ou d’accidents vasculaires cérébraux. (source Midi Libre)

Eh oui ! Toutes ces molécules peuvent vous tuer. Comme  l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, l’aspirine, la vitamine D, la vitamine C, même le pinard, le sport, le sexe, les saucisses, etc.

En fait, tout peut vous tuer, sauf les produits géniques de Pfizer, Moderna et autres “vaccins”.

Eux ils sont gentils.

Tout ce qui peut vous soigner contre le Covid, ça par contre c’est méchant.

L’avertissement de l’ANSM concerne l’Actifed Rhume, sans Diphénhydramine… seul l’Actifed Rhume “Jour et nuit” en contient.

Mais les 2 contiennent du pseudoéphédrine… ergo l’avertissement couvre les 2.

Et le mal est fait puisque le nom est identique.

Avec de l’Actifed, vous risquez donc d’avoir le coeur en bouillie, avec les “vaccins” couillonavirants… non, jamais.

Vous avez pourtant lu que les risques de myocardites étaient élevés chez les hommes jeunes avec les produits de Pfizer et Moderna ?

Non, vous êtes victimes d’une hallucination.

On rappellera que la date d’autorisation de l’Actifed remonte à 2001.

Oui, il y a 20 ans

Rétrospectivement, la terreur nous saisit : combien de millions de Français ont été tués par ce poison ?

Merci l’ANSM.

Un peu lent, mais merci quand même…

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Bientôt un chewing-gum contre le couillonavirus ?

“Je mâche, donc je vis… en bonne santé”

“Fraîcheur de vivre… Hollywood chewing-gum… chewing-gum au goût très frais… Hollywood chewing-gum… on en prend un… on se sent bien !”

Oui je sais, les jeunes ne peuvent pas comprendre. 😉

Pourtant, cette ritournelle pourrait connaître une seconde vie grâce à l’invention d’une pâte à mâcher… contre le couillonavirus !

L’idée est étonnante… Car il s’agit d’imbiber une pâte à mâcher classique avec… des protéines ACE2 (produites grâce à des plantes), vous savez le truc qu’on a un peu partout dans notre corps et que les fameuses Spike du couillonavirus utilisent pour s’accrocher à nos cellules et les infecter.

The work, led by Henry Daniell at Penn’s School of Dental Medicine and performed in collaboration with scientists at the Perelman School of Medicine and School of Veterinary Medicine, as well as at The Wistar Institute and Fraunhofer USA, could lead to a low-cost tool in the arsenal against the COVID-19 pandemic. Their study was published in the journal Molecular Therapy. (source Pen Today)

Comment ça marche ? Le couillonavirus pénètre dans votre bouche… là il “voit” une chiée de protéines ACE2… et se précipite dessus… et crève, car il n’y a rien derrière ; c’est un leurre.

Qu’il est con ce virus ! 😉 Et dire que certains -séniles- le croyaient diabolique

Avant la crise couillonavirale, Henri Daniell étudiait la protéine ACE2 dans le cadre de traitement de l’hypertension. Et c’est pour cela qu’il avait créé un système pour les produire grâce à des plantes.

Ils ont fait des tests, concluants semble-t-il (la quantité de virus baissant drastiquement dans la bouche du mâchouilleur, car ne pouvant pas infecter les cellules humaines et donc ne pouvant pas se dupliquer).

Henry Daniell et son équipe vont désormais entamer des essais cliniques.

Rappelons que des études ont montré que des bains de bouche réguliers réduisaient les risques d’infection.

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Deux molécules banales assomment le couillonavirus

“Alors les gueux ! N’oubliez pas votre 3ème dose de merde génétique expérimentale étrange et dangereuse ! Nous, ça va, on se soigne avec des médicaments sans ordonnance. Plus du pinard”.

La liste des molécules actives contre le couillonavirus devient longue comme le bras.

A tel point que ça en devient… embarrassant

Une équipe de chercheurs en Floride a identifié un couple de molécules qui démolit le couillonavirus, lorsque elles sont utilisés en conjonction.

Il s’agit d’un antihistaminique (contre les allergies, les rhumes)… le Diphénhydramine (en France, c’est le fameux Nautamine par exemple, contre le mal des transports, ou encore Actifed, contre les rhumes).

Et de la Lactoferrine (une protéine présente dans le lait maternel, vendue comme complément alimentaire).

Bref, deux molécules vendues sans ordonnance… dont il sera difficile de dire qu’elles sont subitement très dangereuses. 😉

Mais on ne sait jamais ! Dans ce domaine, l’imagination d’Olivier Variant et de ses complices est dé-bor-dan-te.

In lab tests on human and monkey cells, the combination was particularly potent: Individually, the two compounds each inhibited SARS-CoV-2 virus replication by about 30%. Together, they reduced virus replication by 99% (source).

Karine Labombe va encore nous faire une jaunisse et changer de mari.

La pauvre.

Data from the experiments show that a highly specific sigma receptor binding drug candidate (with pain relieving properties), and formulated combinations of over-the-counter products (such as diphenhydramine and lactoferrin) have the potential to inhibit virus infection and decrease recovery time from COVID-19, the researchers concluded.

Quelques liens :

The Prospect of Lactoferrin Use as Adjunctive Agent in Management of SARS-CoV-2 Patients: A Randomized Pilot Study

Protective Effects of Lactoferrin against SARS-CoV-2 Infection In Vitro

The Biology of Lactoferrin, an Iron-Binding Protein That Can Help Defend Against Viruses and Bacteria