Hum… c’est si bon… Ca coule. C’est sucré. Ils en crèvent d’envie.
Qui aurait cru une telle chose possible ? Même envisageable il y a encore quelques mois ?
Et pourtant.
Ils en crèvent d’envie. Ne se cachent même plus.
L’Australie, pourtant démocratie, Occident, Commonwealth, Commonlaw, la Reine, mon cul c’est de la volaille et tout le tralalala… s’apprête à le faire.
Ou du moins aimerait officiellement tant le faire.
Australie : population 25 millions. 24 000 cas et… 450 covidécès !
L’Australie devrait rendre obligatoire la vaccination de sa population contre le coronavirus, sauf exemption médicale, a estimé mercredi 19 août le Premier ministre australien Scott Morrison.
Au pays où certaines populations croient que violer des nouveaux-nés c’est bon pour guérir du Sida… règne on s’en doute un je-ne-sais-quoi d’irrationnel…
En mars dernier, un covilockdown très dur fut imposé. Assorti de mesures délirantes, comme l’interdiction de la vente d’alcool (seule la Thailande a fait la même chose, mais pour un mois seulement) et de tabac !
Fast foward 17 août. Cinq mois après. Le pays plus vraiment arc-en-ciel sort enfin de son confinement covidémentiel.
Bilan : 11 900 covidécès. Trois millions d’emplois perdus. Des pertes de recettes fiscales (taxes sur vente alcool/tabac) abyssales. Tout cela pour… ça.
Rappelons que le UK pour 66 millions d’habitants, a 4 fois de plus de covidécès…
Enfin, et surtout, l’Afrique du Sud enregistre… 21 000 homicides par an et ça n’empêche personne de dormir. Le taux d’homicide est six fois supérieur à celui des Etats-Unis.
Nabila a appelé le président sud-africain. Ils ont parlé chiffons.
Le président s’est donc graté la tête et a fini par mettre un terme à la covidémence (source BBC).
Tout en disant, comme d’habitude, en bon politicien :
However, he called on South Africans , not to let their guard down against Covid-19 despite “signs of hope”, warning of difficult times ahead.
Et le reporter d’Al Jazeera (eh oui avec moi vous avez des sources du monde entier !) 😉 de se lamenter : Vilakazi Street à Soweto, la rue où sont nés Nelson Mandela et Desmond Tutu, est désespérement vide.
Pas un seul touriste. C’est trop triste.
Le tourisme pèse 8,5 % du PIB, pour plus de 7 millions de visiteurs par an. L’Afrique du sud est la principale économie touristique de tout le continent.
Avril 2012. Au fond d’une mine dans la province chinoise du Yunnan.
C’est à cette date et en ce lieu… que le mystérieux couillonavirus serait apparu.
Comment ?
Une équipe de travailleurs chargés de nettoyer pendant 2 semaines les excréments… de chauve-souris, dans la mine de Mojiang, à 1 800 km de Wuhan.
Six mineurs développèrent alors une forme de pneumonie, avec des symptômes comme une importante fièvre, une toux sèche, des maux de tête et douleurs musculaires.
La maladie fut fatale pour 3 d’entre-eux.
C’est l’histoire présentée dans une thèse écrite par le médecin chinois qui traita les mineurs à l’époque, et traduite ensuite par 2 scientifiques américains. Ces derniers en déduisent qu’il pourrait s’agir de l’acte de naissance du SARS-CoV-2.
L’un de ces virologistes, Jonathan Latham, va même jusqu’à affirmer que le virus… s’est vraisemblablement échappé d’un labo de Wuhan… car le médecin chinois envoya à l’époque des prélèvements à Wuhan (source New York Post, et le site des auteurs où ils présentent les similitudes génétiques entre le virus de 2012 et celui de 2019 ainsi que la thèse en question)
On notera au passage que les traitements que les 6 mineurs reçurent… sont identiques aux méthodes déployées par les Chinois début 2020 contre le couillonavirus : ventilation, stéroïdes, antiviraux, anticoagulants, et antibiotiques…
Latham dès le début du mois de juin évoquait l’hypothèse d’une fuite à Wuhan (long papier ici).
Vous savez qu’il faut toujours, par définition, se méfier de ce qui sort de Chine. Il pourrait s’agir d’une psyop destinée à prouver l’origine “naturelle” du virus.
Dans tous les cas, les autorités chinoises pourraient facilement confirmer (ou infirmer) cette histoire.
Il suffirait d’analyser le génome du virus dans les prélèvements de 2012, et de comparer avec le couillonavirus de 2019.
Mais d’abord il leur faudrait reconnaître avoir en leur possession ces fameux prélèvements… Et là, si par malheur les 2 souches étaient très proches, cela constituerait l’aveu de la fuite du virus d’un labo à Wuhan…
Autre risque d’aveu : si les deux souches sont légèrement différentes… Alors celle de 2012 pourrait avoir été “travaillée“, c’est-à-dire, manipulée, au sein du labo P4 par exemple de Wuhan, pour donner naissance à la version 2019 ?
Autant dire que l’on attendra longtemps un quelconque éclaircissement de la part des autorités chinoises…
Rappelons que ces dernières, depuis le début, mentent, biaisent, gagnent du temps, trichent et jouent sur les mots.
Il n’y a toujours eu aucune équipe sérieuse de l’OMS autorisée à enquêter à Wuhan… 8 mois après (seuls 2 experts ont pu s’y rendre en… juillet… Aucune date n’est fixée pour le voyage de l’équipe) (source).
La Chine déploie tous ses réseaux pour faire oublier cette question pourtant très simple et essentielle : quelle est l’origine du virus ?
Pourquoi ?
(la seconde partie de mon long papier “A qui profite le crime) sera bientôt mise en ligne).